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vendredi, 05 mars 2010

Analyse dissonante des élections en Ukraine

Analyse dissonante des élections en Ukraine

Un peu moins de 900.000 voix voix séparent Viktor Ianoukovitch (48.95% et 12 480 053 voix), et Youlia Timoshenko (45.47% et 11 589 638 voix) mais c'est le premier qui a été élu président, au cours d'une élection, dont la transparence a été soulignée par tous les grands états et les principales instances internationales mais qui a surtout mis un terme au mythe de la « démocratie Orange ». Seule la ravissante Youlia (l'Evita Peron de la mer noire), malheureuse perdante, a quelque peu tardé à reconnaitre le choix de ce peuple qui l'avait pourtant généreusement soutenu en 2004, veillant dans le froid et la nuit sur la place centrale de Kiev.

Orangisme, mauvaise gestion et dérives nationalistes
La gestion économique et politique des Orangistes n'a pas été brillante, aggravée il est vrai par la crise économique qui a très durement frappé le pays, comme le montre le graphique dessous sur l’évolution du PIB sur la période 2006-2009. 





Les brimades linguistiques à l'encontre de la minorité Russophone n'ont certainement pas contribué à favoriser leur implantation électorale à l'est du pays et le président sortant Viktor Iouchenko, héros de la démocratie et chouchou de l’Occident en 2004 (!), a réuni moins de 6% des suffrages et a choisi de décorer (entre les deux tours) la figure historique Ukrainienne de la collaboration nazie, Stepan Bandera, (dont les hommes ont tués plus de 100.000 Polonais pendant la seconde guerre mondiale). Il est d'ailleurs assez surprenant de n'avoir entendu aucun commentaire des démocraties Occidentales a propos de cette "émouvante cérémonie" de l’entre deux tours. Le premier ministre ayant alors affirmé que le président Ukrainien « crachait au visage de ses anciens sponsors». Logiquement, au second tour, les mouvements d'extrême droite Ukrainiens  ont appelé à soutenir le candidat Orange.
Cet échec flagrant des Orangistes est à la fois électoral mais également financier, la crise ayant privé de crédits leurs principaux bailleurs de fonds, les stratèges des diverses ONGs qui pullulent dans les pays frontaliers de la Russie, Ukraine et Géorgie en tête.
La victoire du candidat bleu n'est pas cependant une surprise totale pour tout commentateur initié, elle était même au contraire relativement prévisible. Un sondage de l'institut Ramsukov (pourtant affilié au parti du président défait) montre bien l'évolution forte des mentalités en Ukraine de 2005 (révolution Orange) à 2009 et le basculement "a l'est". En 2009 un sondage durant l'été montrait que le gouvernement Orange d'Ukraine était le gouvernement avec le soutien populaire le plus faible au monde, 85% des Ukrainiens désapprouvant l'action de leur gouvernement.

L'Ukraine plus unie qu'il n'y parait
Les élections de 2004 avaient dévoilées l'existence de deux Ukraines, la bleue (orientale, tournée vers la Russie) et l'orange (tournée vers l'Occident). Cette coupure n'est pas seulement politique et culturelle. Elle est aussi linguistique, les Ukrainiens « bleus » lorsqu'ils ne se considèrent pas comme Russes sont souvent Russophones voir parlent un dialecte local Ukraino-russe. Dans la partie Orange les populations sont Ukraïnophone (ou parlent un dialecte local Ukraino-polonais).

Les élections de 2010 ont quelque peu atténués cette coupure, comme le précise Jean Marie Chauvier, Ianoukovitch et son Parti remportent leurs plus grands succès dans les régions à majorité russophone de l’Est et du Sud : 90% à Donetsk (Donbass), 88% à Lugansk, 71% à Kharkov, 71% à Zaporojie, 73% à Odessa, 79% à Simféropol (Crimée), 84% à Sébastopol. Le leader « régionaliste » avait reçu l’appui du Parti Communiste et d’autres formations de gauche, en très net recul au premier tour.  Mais Ianoukovitch remporte également de substantiels succès dans l’Ouest ukraïnophone : 36% à Jitomir, 24% à Vinnitsa, 18% à Rovno, 41% en Transcarpatie…C’est seulement dans les régions de Galicie (Lvov, Ternopol, Ivano-Frankovsk), traditionnels bastions du nationalisme radical antirusse et antisémite, que ses scores sont les plus faibles : inférieurs à 10%.
Une remarque symétrique s’impose pour les résultats de Ioulia Timochenko. Majoritaire à l’Ouest (de 85 à 88% dans les régions galiciennes, 81% à Lutsk, 76% à Rovno, 71% à Vinnitsa, mais seulement 51% en Transcarpatie), elle remporte également des succès remarquables à l’Est (29% à Dniepropetrovsk, 34% à Kherson, 22% à Kharkov). Les 29% à Dniepropetrovsk ne sont pas le fruit du hasard : Ioulia en est originaire, et le clan industriel de cette région est rival de celui de Donetsk que domine Ianoukovitch. Comme quoi, là non plus, le clivage « est-Ouest » ou « Russophones contre ukraïnophones ne joue pas. La ville de Kiev se partage entre 65% pour Ioulia et 25% pour Viktor Ianoukovitch, alors que cette capitale est très majoritairement russophone. Le leader de l’Est industriel et ouvrier n’y est pas reconnu par une bourgeoisie et une « classe moyenne » pourtant très attachée à la langue et à la culture russes.
Enfin la percée du 3ième homme Sergueï Tiguipko montre bien que la lassitude des électeurs envers cette scission et l’intérêt que porte une grande partie d’entre eux à une éventuelle 3ième voie.


L'Ukraine nouvelle, pont entre l'est et l'ouest
Pourtant contrairement à ce que beaucoup de journalistes ou commentateurs ont affirmé, le résultat des élections en Ukraine ne traduit pourtant pas du tout un retour de l’Ukraine dans le giron Russe ou une quelconque résurgence impériale Russe qui serait un danger pour l’Ouest. Bien au contraire, la victoire bleue affirme la position de l’Ukraine comme nation périphérique de la Russie, sur la « route vers l’Europe » mais également comme « partenaire de nouveau fiable » pour la Russie. La position de Ianoukovitch de tendre la main à l’ouest et à l’est ne fait que confirmer la situation économique réelle du pays (afflux de capitaux Russes) mais également son besoin de capitaux Européens pour moderniser le pays et faire face au problèmes économiques aggravés depuis l’été 2008. A ce titre l’Ukraine de Ianoukovitch pourrait se retrouver dans la position d’un « pont » entre l’Europe et la Russie et non plus d’un fusible dirigé par Washington pour déstabiliser les relations Euro-Russes (guerre du gaz, conflits de pipelines etc.). La volonté du nouveau président de faire ses deux premiers voyages à Bruxelles et Moscou devrait rassurer les chancelleries Européennes mais également le Kremlin quand à la création du cartel énergétique Ukraino-Russe mais également du maintien de la flotte Russe en Crimée ou son opposition à ce que l’Ukraine rejoigne l’OTAN.

Comme l'a précisé le président Ukrainien lors de son investiture : " L'Ukraine poursuivra l'intégration avec l'Europe et les pays de l'ex-URSS en tant qu'Etat européen n'appartenant à aucun bloc ... L'Ukraine sera un pont entre l'Est et l'Ouest, une partie intégrante de l'Europe et de l'ex-URSS en même temps, l'Ukraine se dotera d'une politique extérieure qui nous permettra d'obtenir un résultat maximum du développement des relations paritaires et mutuellement avantageuses avec la Russie, l'UE, les Etats-Unis et autres pays qui influencent le cours des événements dans le monde". (source de l'extrait).

L’élection de Ianoukovitch semble donc ancrer l’Ukraine entre Bruxelles et Moscou, mais l’éloigner de Washington et cette ligne « globale » semble être souhaitée par le peuple Ukrainien, au début de l’année, un sondage du Kiev post montrait que 60% des Ukrainiens souhaitaient l’intégration à l’UE, 57% sont contre l’intégration à l’OTAN et seuls 7% voient la Russie comme un état hostile, 22% souhaiteraient un état unique Russie-Ukraine (Source :
Johnson Russia List 2010 issue 34 number 2).

Ianoukovitch, un « poutine ukrainien » pour la presse Occidentale ?
Il est symptomatique de voir à quel point la presse anglo-saxonne a critiqué les résultats de l’élection, l’égérie Kremlinophobe du Moscow Times, Youlia Latynina allant même jusqu’à expliquer le résultat des élections comme logique, les électeurs pauvres étant tentés par des votes Poujadistes (« letting poor people vote is dangerous »). Pas de chance pour elle, la carte électorale montre bien que c’est la partie la plus riche d’Ukraine, la plus industrielle qui est majoritairement « bleue » et pro Russe. 



Autre critique plutôt surprenante du résultat des élections, l'oligarque en exil Boris Berëzovski qui s'est fendu d'un commentaire des plus insultants (Uk / Ru), après avoir affirmé qu'il avait soutenu et financé la révolution orange.

L’Ukraine au cœur de l’Eurasie.
Le 1er janvier 2012 entrera en vigueur l’Espace économique commun Russie-Biélorussie-Kazakhstan impliquant la liberté de circulation des capitaux et des travailleurs. L’Ukraine est fortement invitée à s’y joindre ou, du moins, à s’en rapprocher. Les Russes insistent sur « l’intérêt pour l’Europe » d’encourager la formation de ce nouveau « marché commun » opérant une sorte de trait d’union entre les parties orientales (principalement la Chine) et occidentale (Union Européenne) de l’Eurasie. 
On peut se poser la question de savoir si le futur du continent ne se dessine pas également via la création de ces deux «zones», celle Occidentale de Bruxelles et celle Eurasiatique de Moscou. Une scission entre ces deux Europes, l’Occidentale, et l’Orientale reprenant la délimitation territoriale telle que le définit le projet de sécurité Européenne proposé par la Russie qui définit dans son point 10 la zone de Vancouver à Vladivostok comme séparée en deux, avec une partie qualifiée d’Euro-Atlantique et l’autre partie qualifiée d’Eurasiatique.

Pour l’heure comme le souligne l’expert Michael Averko, la tentative d’installer le nouveau mur entre les Europes à Kiev a échoué. L’impatience de l’OTAN et son extension à l’est forcenée, ou ses différentes actions militaires anti Serbes ont finalement contribué à involontairement et indirectement améliorer l’image de la Russie.

Restaurer la souveraineté monétaire

Restaurer la souveraineté monétaire

Par Jean Claude Werrebrouck

Comment solder les différences de niveaux de prix intra européens, lorsqu’a disparu l’arme de la dévaluation ? La réponse classique consiste à prôner la déflation salariale – entendre blocage ou baisse des salaires, qui entraînerait une baisse relative de l’inflation et des coûts par rapport à la zone euro et permettrait de restaurer la compétitivité des économies du sud. En clair, plusieurs années d’éreintantes vaches maigres en perspective.

billets_euros_469_300_2636b.jpgL’économiste Jacques Delpla, reprenant une étude d’Olivier Blanchard, du FMI, propose une mise en œuvre à marche forcée de ce programme. Les États du sud, propose-t-il, devraient imposer une réduction coordonnée des salaires et des prix, de l’ordre de 10 à 30%. Jean Claude Werrebrouck s’inquiète des conséquences de cette mesure « abracadabrantesque », aux effets de bord imprévisibles, et qui de plus aurait pour conséquence remarquable d’être favorable aux rentiers. Face à la grande crise qui menace, le temps n’est plus aux bricolages, juge-t-il : il convient de « rétablir la souveraineté monétaire ».

L’économiste en chef du FMI, Olivier Blanchard, propose de sanctionner les « GIPEC » (Grèce, Irlande, Portugal, Espagne et Chypre), encombrants passagers clandestins du navire Euro. Puisqu’il est impossible de les « amincir » par des progrès rapides de productivité, leur permettant tout à la fois de rétablir l’équilibre extérieur, le plein emploi et l’équilibre des comptes publics, il faut en monnaie unique, passer par une dévaluation interne. Le schéma proposé est ambitieux. Puisque la monnaie unique interdit toute manipulation de la valeur externe de la monnaie, il est urgent de procéder à une révolution des prix internes.

Concrètement il s’agit d’une déflation imposée et généralisée des prix, et si possible déflation coordonnée pour assurer l’homothétie du recul. Plus concrètement encore il est proposé une baisse générale, par exemple de 30%, de tous les prix, salaires, loyers, transferts sociaux, retraites, etc.

Il s’agirait bien d’une dévaluation puisqu’il y aurait diminution du pouvoir d’achat international des résidents, en particulier celui les salariés. En même temps, la capacité exportatrice augmenterait en raison de la baisse du niveau général des coûts et des prix. Et, en principe, l’évolution positive du solde commercial serait porteuse d’un ré enclenchement dynamique de la demande globale, et donc porteuse d’emplois nouveaux. Jacques Delpla voit dans cette proposition, un keynésianisme d’un genre sans doute nouveau, marqué par le double sceau de l’acceptabilité politique (hypothèse d’homothétie dans la déflation et donc d’équité) et de l’efficience économique (ajustement plus rapide que les politiques traditionnelles de rigueur). Remarquant toutefois que le poids relatif du stock de dettes serait accru dans les mêmes proportions, il propose à enveloppe constante des budgets bruxellois, un redéploiement des fonds structurels et de la politique agricole commune vers les « GIPEC » soumis à la dévaluation interne. On peut imaginer que les dettes privées pourraient également bénéficier de ce redéploiement.

Un tel projet laisse place à de lourdes interrogations. Tout d’abord il semble bien qu’il s’agit d’une déflation organisée. Cela signifie le rétablissement d’un contrôle des prix avec toutes les difficultés correspondantes. D’abord la mise en place d’une bureaucratie nouvelle chargée du contrôle et de la gestion des litiges. Mais aussi d’inextricables difficultés d’application : dans quelle mesure les prix des marchandises, dont le contenu en input importations est infiniment variable, doivent ils baisser au même rythme que les marchandises locales ? Faut-il établir des barèmes en fonction du contenu importation de marchandises pourtant produites localement ? Plus encore, faut-il prévoir une diminution des prix des crédits nouveaux, ce qui suppose le contrôle des banques et donc du taux de l’intérêt ? La baisse des salaires pourra t’elle être uniforme ? Et surtout peut-on sérieusement imposer une telle baisse, sans voire apparaitre de gigantesques comportements opportunistes, comme dans le cas des heures supplémentaires à la française dans le cadre de la loi « TEPA » ? La liste des questions n’est évidement pas exhaustive, et seule la mise en pratique peut faire apparaitre l’étendue des problèmes, notamment l’étendue imprévisible d’externalités elles mêmes imprévisibles. Levitt et Dubner (cf « Superfreakonomics ») et plus généralement les bons connaisseurs de la micro économie savent à quel point toute intervention développe des conséquences pour le moins inattendues.

Mais au-delà, une question fondamentale se doit d’être évoquée. Si tous les prix diminuent, il est logique que la valeur du stock d’actifs financiers soit rognée dans les mêmes proportions. Pourquoi Jacques Delpla semble soucieux de ne pas déflater la dette existante, et en contre partie mobiliser à ce titre les fonds européens devenant indisponibles par ailleurs ? Le coût d’opportunité d’un tel choix a-t-il fait l’objet d’évaluation ? Pourquoi faut-il ainsi « sacraliser » la dette existante ? Et la réponse consistant à dire qu’une bonne partie de la dette est détenue par des non résidents est insuffisante car l’autre partie est détenue par des résidents qui eux – mais pour quelle raison ?- ne seraient pas soumis à la même déflation. Pourquoi faudrait-il ainsi créer 2 catégories de résidents, les titulaires de la rente s’opposant à tous les autres ?

Mieux, attendu que durant la période de déflation autoritaire, il faudrait continuer à assurer la gestion de la dette publique avec les moyens habituels des agences des Trésors, lesquels passent toujours par des adjudications, faut-il penser que les dites adjudications seraient « déflatées » comme les autres prix ? En clair les agences pourraient-elles imposer le prix de la dette souveraine nouvelle en imposant un taux ? Dans quel Traité de Sciences Economiques a-t-on pu lire qu’un acteur de marché – fusse t-il en situation de monopole – pouvait simultanément fixer et les quantités et les prix ?

Les dérapages des économistes qui – très imprudemment – se déclarent libéraux sont saisissants : au nom de l’ajustement et donc du marché, certains sont prêts à restaurer un ordre, à tout le moins autoritaire, porteur de bien des déconvenues. Comme quoi il est difficile de sacraliser l’ordre spontané de Hayek en édifiant un ordre organisé. Comme quoi il est difficile de conserver le cercle si on le transforme en carré.

Mais s’agit-il par la voie de l’autorité, de protéger des marchés libres, ou plutôt de protéger les ardeurs prédatrices de la rente ?

Car enfin, il est une façon plus simple pour sortir de l’étau les « petits un peu ronds », et ce peut-être sans même renoncer à la monnaie unique : rétablir une souveraineté monétaire dont le blog La Crise des années 2010 se fait l’ardent défenseur.

La rencontre européenne des marchés politiques nationaux a débouché sur le drame de la dénationalisation monétaire dans les années 80 et 90. Bien des mises en gardes furent étouffées dans le climat idéologique de ces années, climat porteur de sacralisation. Et la Raison – comme toujours et partout- s’est effacée devant le nouvel objet sacré. C’est que rien ne peut être entrepris contre le sacré. La violence de ce que certains commencent à appeler – à très juste titre – la « grande crise » met à nu – peut-être plus rapidement que prévu- les incohérences des choix nationaux et européens qui furent promulgués. Et les adeptes de la dénationalisation monétaire sont aujourd’hui terrorisés par l’énormité des conséquences résultant des décisions des années 90. Face à l’énormité des coûts associés au démantèlement de la zone euro ces mêmes adeptes poursuivent leur fuite en avant en imaginant des dévaluations internes abracadabrantesques. Et bien évidemment les entreprises politiques sont encore bien plus démunies devant l’épaisseur du brouillard.

Contre-Info

Gamal Abdel Nasser, el republicano egipcio

Gamal Abdel Nasser, el republicano egipcio

Líder político más influyente en el mundo árabe de su época. Fue militar, estadista egipcio y Presidente de Egipto de 1956 a 1970.

nasserfffffffff.jpgDe origen humilde, nacido en 1918 en la provincia de Asiut, Egipto, Gamal Abdel Nasser ingresó en la Academia Militar en 1938, en plena guerra de resistencia.

El atractivo que significaba el canal de Suez, el hecho de ser la bisagra entre oriente y occidente, y las riquezas naturales de este país, no tardarían en hacerlo presa del imperio británico, la primera potencia mundial para 1882… los ingleses usaron la humillante estrategia de convertir el gran Egipto de las escrituras en un protectorado inglés. Años de guerra de resistencia, ocasionaría el ultraje imperial.

En 1949 Nasser funda la organización de militares libres, con la cual daría el golpe de estado que derrocó al Rey Faruq I, súbdito de Gran Bretaña.


La organización de los militares estaba constituida por jóvenes oficiales nacionalistas de la academia militar que compartían la preocupación de su país y por el saqueo al cual era sometido por el imperio británico.

Los militares libres poseían su propio medio de comunicación: un periódico donde exponían claramente su ideología política y la razón de su lucha. Voz de los oficiales libres:”nacionalismo árabe, lucha contra cualquier potencia colonial y en especial contra los británicos, instauración de una república laica y defensa de los principios del socialismo”.

Nasser llega al poder el 23 de junio de 1956 y constituye el consejo directivo de la revolución. Su primera acción fue la nacionalización del canal de Suez lo que desencadenó la movilización militar de Francia, Gran Bretaña e Israel, países que planearon recuperar el canal, invadir el Cairo y destituir a Nasser.

A finales de 1956 Nasser aceleró el proceso de nacionalización, liquidó los bienes británicos y franceses, acepto la ayuda soviética, e impulsó la distribución de tierras y lideraba la construcción de un nuevo partido: la unión nacional organización de masas que debía cimentar la nueva sociedad socialista egipcia.

Nasser se convirtió en un panarabista, abogaba por la unidad regional, por la unidad de los países árabes,…por los países del sur, de allí su militancia en el movimiento de los no alineados.

En enero de 1958 materializó su sueño con la creación de la Republica Árabe Unida producto de la unión de Egipto y Siria…la arremetida imperial terminó con este sueño aunque la liga de estados árabes continúa como testimonio de lo que pudo haber sido.

“Podéis matar a Gamal! El pueblo egipcio cuenta con cientos de gamales que se alzarán y os mostrarán que más vale una revolución roja que una revolución muerta”.

Gamal Nasser murió de apenas 52 años de edad, de un repentino infarto al corazón en el año 1970.

Reinaldo Bolívar

Extraído de Radio del Sur.

~ por LaBanderaNegra en Febrero 26, 2010.

jeudi, 04 mars 2010

PRESSESCHAU 1/März 2010

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1 / März 2010

Einige Links.

Bei Interesse anklicken...

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Deutsche Bewegung

Deutsche Bewegung, von W. Dilthey geprägte und durch den Pädagogen H. Nohl eingeführte Bezeichnung für die Blütezeit der deutschen Geistesgeschichte zwischen 1770 und 1830. Nach den Epochen überwiegender Fremdbestimmung (Renaissance, Humanismus, Barock, Klassizismus) stelle sie die erste Epoche eigenständiger deutscher Selbstverwirklichung nach dem Mittelalter dar: in der Dichtung (Sturm und Drang, Klassik, Romantik), der Philosophie (deutscher Idealismus), der Entdeckung der geschichtlichen Welt und des deutschen Mittelalters (J. Möser, J.G. von Herder, Romantik), der Neubegegnung mit der Antike (J.J. Winckelmann, Goethe, Schiller, Hölderlin), der Sprachdeutung und -erforschung (J.G. Hamann, Herder, J. Grimm, W. von Humboldt), der Entstehung des Nationalbewußtseins (J.G. Fichte, E.M. Arndt, F.L. Jahn), der Staatsauffassung (W. von Humboldt, Freiherr vom Stein). Die Epoche hat die Entwicklung der europäischen Geistesgeschichte nachhaltig beeinflußt.

Literatur: H. Nohl: Die Deutsche Bewegung. Vorlesungen und Aufsätze zur Geistesgeschichte von 1770–1830, herausgegeben von O.F. Bollnow und F. Rodi (1970).

(Brockhaus-Enzyklopädie, 19., völlig neubearb. Aufl., Bd 5, Mannheim 1988)

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Schwarzes Erdbeben
Von Claus Wolfschlag
Der alte weiße Mann ist ein Übel, weshalb sich die europäische Welt auch in eine „bunte“, eine „farbige“ Welt umzuwandeln habe. Vor einigen Tagen ermöglichte es die Frankfurter Rundschau in einem Interview dem Schweizer Soziologen Jean Ziegler, die These von der angeblichen Schuld des weißen Mannes neu in den Ring zu werfen.
http://www.sezession.de/12376/schwarzes-erdbeben.html#more-12376

Armeeführung unter Terrorverdacht
Ideologische Schlacht um die Zukunft der Türkei
Von Boris Kálnoky
Plante das Militär einen Putsch, oder sind die Vorwürfe gegen die verhafteten Generäle haltlos? Derzeit wird die gesamte türkische Armeeführung von 2004 unter Terrorverdacht verhört. Details der Verfahren werden gezielt über islamische Medien verbreitet, die der Regierung von Recip Tayyip Erdogan nahestehen.
http://www.welt.de/politik/ausland/article6555130/Ideologische-Schlacht-um-die-Zukunft-der-Tuerkei.html

Despot in Rage
Gaddafi ruft zum Dschihad gegen die Schweiz auf
Muammar al-Gaddafis Angriffe gegen die Schweiz werden immer schriller: Nach monatelangen diplomatischen Querelen ruft Libyens Staatschef nun zum Heiligen Krieg gegen die Alpenrepublik auf. Als Begründung nennt er das Minarett-Verbot der Eidgenossen – und fordert einen „Kampf mit allen Mitteln“.
http://www.spiegel.de/politik/ausland/0,1518,680418,00.html

Hier noch ein älterer Artikel, in dem es ebenfalls um Gaddafi geht ...
„Wenn ihr so viele tausend Ausländer ins Land laßt, braucht ihr zu eurem Schutz irgendwann einen Diktator.“
http://www.tagesspiegel.de/meinung/kommentare/art141,2823203

Medien-Streit
Auf den Stinkefinger folgt das Hakenkreuz
Als „Betrüger in der Euro-Familie“ betitelt der „Focus“ das verschuldete Griechenland, zeigt dazu Aphrodite mit dem Stinkefinger. Die griechische Presse reagiert empört mit einer Montage der Göttin Viktoria auf der Siegessäule mit einem Hakenkreuz. Nun folgen Proteste und eine Beschwerde beim deutschen Botschafter.
http://www.welt.de/politik/deutschland/article6534983/Auf-den-Stinkefinger-folgt-das-Hakenkreuz.html

Jetzt wird die Nazikeule erst richtig rausgeholt ...
Griechen erheben Nazi-Vorwürfe gegen Deutsche
Am Tag des Generalstreiks lenkt die griechische Regierung ihr Augenmerk auf Deutschland: Griechenland sei für die Nazi-Besatzung im Zweiten Weltkrieg nicht entschädigt worden, sagt Vize-Regierungschef Theodoros Pangalos. Und stellt – vor dem Hintergrund horrender Staatschulden – Forderungen.
http://www.welt.de/wirtschaft/article6536961/Griechen-erheben-Nazi-Vorwuerfe-gegen-Deutsche.html

Öl befeuert den Falkland-Konflikt
Von Thomas Kielinger
Argentinien ist wütend über Bohrungen rund um britisches Territorium und will die Vereinten Nationen einschalten – Proteste gegen London
http://www.welt.de/die-welt/politik/article6566828/Oel-befeuert-den-Falkland-Konflikt.html

Kampf gegen Terror
Bushs Folter-Juristen bleiben ohne Strafe
http://www.tagesspiegel.de/politik/international/Terrorkampf-Terror-CIA-Folter;art123,3036511

Kommentar
Die Deutschen haben recht mit ihrer Euroskepsis
Von Jörg Eigendorf
Die Deutschen glauben immer weniger an die Europäische Union. Und sie liegen richtig. Vor dem Hintergrund der Griechenlandkrise zeigt sich deutlich: Die EU ist eine Schönwetterveranstaltung. Unfähig, Spielverderber zur Vernunft zu bringen. Und diese Krise trifft die Menschen direkt in ihrem Geldbeutel.
http://www.welt.de/debatte/kommentare/article6544740/Die-Deutschen-haben-recht-mit-ihrer-Euroskepsis.html

DAS GROSSE ZITTERN UM DIE EUROPÄISCHE GEMEINSCHAFTSWÄHRUNG
Experte: Zusammenbruch des Euro nur eine Frage der Zeit
http://www.bild.de/BILD/politik/wirtschaft/2010/02/13/euro-zusammenbruch/experte-nur-noch-eine-frage-der-zeit.html

Herman ist Europas 1. Präsident
http://www.bild.de/BILD/politik/2010/01/02/herman-van-rompuy/ist-europas-erster-praesident.html

Du bist Terrorist:
http://www.dubistterrorist.de/
http://rettedeinefreiheit.de/
http://www.spiegel.de/media/0,4906,15385,00.swf

Was will man uns damit sagen ...
Verbrecher in Deutschland sind männlich
http://www.op-online.de/nachrichten/deutschland/verbrecher-deutschland-sind-maennlich-643938.html

Profildebatte in der CDU
Frustrierte Rechte machen gegen Merkel mobil
Von Philipp Wittrock
Angela Merkel hatte gehofft, die leidige Profildebatte in der CDU sei beendet. Doch jetzt formiert sich eine neue Basis-Initiative: Enttäuschte Rechtskonservative wettern gegen den „Linkstrend“ bei den Christdemokraten – und sammeln eifrig Unterstützer.
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,678809,00.html

Konservativ ist in der CDU fast ein Schimpfwort
http://www.welt.de/politik/deutschland/article5850528/Konservativ-ist-in-der-CDU-fast-ein-Schimpfwort.html

Hamburg: CDU stürzt ab
Von Insa Gall; Florian Hanauer
Umfrage zur Halbzeit der Legislaturperiode – 69 Prozent unzufrieden mit Arbeit des Senats
Zur Halbzeit der Legislaturperiode ist die Hamburger CDU in der Gunst der Wähler regelrecht abgestürzt. Würde am Sonntag gewählt, verlören die Christdemokraten im Vergleich zur Bürgerschaftswahl 2008 ganze 11,6 Prozentpunkte und kämen nur noch auf 31 Prozent. Damit lägen CDU und SPD erstmals seit dem Machtwechsel 2001 wieder gleichauf, denn auch die Sozialdemokraten erhalten 31 Prozent.
http://www.welt.de/die-welt/regionales/article6513797/CDU-stuerzt-ab.html

Angebot an Sponsoren
NRW-CDU verkauft Gesprächstermine mit Rüttgers
Von René Pfister
Jürgen Rüttgers gerät durch eine Finanzaffäre unter Druck: Nach SPIEGEL-Informationen bietet die nordrhein-westfälische CDU zahlungskräftigen Sponsoren exklusive Gesprächstermine mit dem Ministerpräsidenten an – für Tausende Euro.
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,679130,00.html

Gespräche gegen Geld
Rüttgers opfert seinen Generalsekretär
Die Sponsoring-Affäre droht dem nordrhein-westfälischen Ministerpräsidenten Rüttgers schwer zu schaden – nur zweieinhalb Monate vor der Landtagswahl. Jetzt nahm Hendrik Wüst, Generalsekretär der Landes-CDU, alle Schuld auf sich und trat zurück.
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,679547,00.html

Deutsche Kanzlerin Merkel ein Stasi-Spitzel?
http://www.schweizmagazin.ch/2009/04/13/deutsche-kanzlerin-merkel-ein-stasi-spitzel/

Miserables Zeugnis: Sarrazin giftet gegen Merkels „gefährliche“ Politik
Gegen Merkels Regierungskurs hagelt es schon länger Kritik von allen Seiten. Die Wirtschaftsweisen warfen der Kanzlerin gar eine „Münchhausen“-Politik vor, weil sie behauptet hatte, die Staatsverschuldung lasse sich durch Wachstum abbauen. Merkel ließen die Vorhaltungen stets kalt. Doch jetzt schießt auch die Bundesbank gegen sie. Vorstandsmitglied Sarrazin attackierte sie scharf.
http://www.handelsblatt.com/politik/deutschland/miserables-zeugnis-sarrazin-giftet-gegen-merkels-gefaehrliche-politik%3B2490228

Hier schreibt ein ganz Schlauer ...
Landtagswahlen in NRW: Zu Besuch bei den Islamhassern
Mit Parolen gegen Moscheen, Muslime und Migranten versucht die Partei Pro NRW in den Landtag einzuziehen. Mit Neonazis will man nichts zu tun haben, gibt sich als Bürgerbewegung aus. Eine moderne Rechte oder ein Häuflein von gestern? Ein Besuch beim Parteitag. Von Lenz Jacobsen
http://www.stern.de/politik/deutschland/landtagswahlen-in-nrw-zu-besuch-bei-den-islamhassern-1545093.html

Ganz NRW unter der Lupe
Tunnel, Bahnen, Brücken – alles wird geprüft
Der Pfusch-Verdacht beim Ausbau der U-Bahn in Düsseldorf ruft Landesregierung, Behörden und Staatsanwaltschaft auf den Plan. Landesweit sollen sämtliche Großprojekte im U- und Straßenbahnbau der vergangenen 40 Jahre überprüft werden, außerdem Brücken und Tunnel.
http://www.rp-online.de/panorama/deutschland/Tunnel-Bahnen-Bruecken-alles-wird-geprueft_aid_824286.html


Die besoffene Margot Käßmann: Wasser predigen, Wein trinken
Von Robin Classen
Die Ratsvorsitzende der Evangelischen Kirche in Deutschland (EKD), Margot Käßmann, wurde am Samstagabend, mitten in der Fastenzeit, mit 1,54 Promille im Blut von der Polizei angehalten. Ohne mit dem Finger auf die Verfehlungen von Mitmenschen deuten zu wollen; schließlich ist Irren und Sündigen menschlich; ist es doch von Zeit zu Zeit notwendig, auf bestimmte Merkwürdigkeiten hinzuweisen. Merkwürdigkeiten, wie die doch auffällige Häufung an Verfehlungen, mit der Margot Käßmann seit ihrer Amtseinführung im Oktober 2009 gestraft wurde. Ob hier böse Geister am Werk sind?
http://www.blauenarzisse.de/v3/index.php/anstoss/1377-die-besoffene-margot-kaessmann-wasser-predigen-wein-trinken

Verhütungsmittel
Bremen fordert Gratis-Pille für Hartz-IV-Empfänger
Um die Zahl der ungewollten Schwangerschaften bei Hartz-IV-Empfängerinnen zu reduzieren, setzt sich das Bremer Gesundheitsressort für die staatliche Finanzierung der Verhütungsmittel ein. Wird der Vorschlag gebilligt, folgt eine entsprechende Bundesratsinitiative.
http://www.welt.de/politik/deutschland/article6433278/Bremen-fordert-Gratis-Pille-fuer-Hartz-IV-Empfaenger.html

Hartz-IV-Debatte: Soziale Wärme durch weniger Geld
Von Felix Menzel
Die Hartz-IV-Debatte ist in vollem Gang. FDP-Chef Guido Westerwelle hat jetzt noch einmal in der BILD am Sonntag nachgelegt und gefordert, Arbeitslose sollten Schnee schippen. Außerdem müsse der Staat aufpassen, daß sie das Geld für ihre Kinder nicht „in einen neuen Fernseher“ investieren. Um dies zu verhindern, sollten Bildungsgutscheine und Ganztagsschulen an die Stelle von finanziellen Zuwendungen treten.
http://www.sezession.de/12497/hartz-iv-debatte-soziale-waerme-durch-weniger-geld.html

Dem Steuerzahler ein Notwehrrecht!
Von Thorsten Hinz
In der letzten Zeit habe ich merkwürdige Anwandlungen, von denen meine gesetzestreue, biedere Seele bis vor kurzem nicht wußte, daß sie überhaupt möglich sind: Ich entwickle Verständnis für die Steuerhinterzieher, die ihr Geld in die Schweiz verfrachtet haben und nun zittern. Knapp 500 Millionen Euro sollen durch Selbstanzeigen bereits zusammengekommen sein, doch nicht mal Schadenfreude will deswegen bei mir aufkommen.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M55265042f25.0.html


Der Polizist Bernd Merbitz ...
Von Götz Kubitschek
... ist einer der Verantwortlichen dafür, daß aus dem geplanten Trauermarsch der Jungen Landsmannschaft Ostdeutschland am 13. Februar in Dresden eine Standkundgebung wurde. Merbitz, seines Zeichens Polizeipräsident von Sachsen, begründete das passive Vorgehen der Polizei gegen die Blockierer von links mit einem Hinweis auf deren Gewaltlosigkeit.
Diese Einschätzung teilen weder wir (die wir vor Ort waren), noch etwa die Deutsche Polizeigewerkschaft, die sich mittels einer Pressemitteilung indirekt, aber vehement gegen ihren Polizeipräsidenten stellt.
http://www.sezession.de/12665/der-polizist-bernd-merbitz.html#more-12665
http://www.dpolg-sachsen.de/aktuelles/150210-presserklaerung/index.html

Dresden: Bomben vor 65 Jahren
Keinen Raum den Faschisten
http://www.sueddeutsche.de/kultur/67/503291/text/

Nachtrag zu Dresden: Fundstück aus dem Jahre 1963:
Sodom in Sachsen
LUFTKRIEG
Sieben Tage und acht Nächte lang stand die Stadt in Flammen. Ihre Menschen wurden verbrannt, erschlagen, vergiftet. Die berstenden Mauern begruben 135 000 Tote, 75 000 mehr als in Hiroshima.
http://www.spiegel.de/spiegel/print/d-45143910.html

Düsseldorf
Neuer Gastprofessor
Avi Primor holte Joschka Fischer
http://www.rp-online.de/duesseldorf/duesseldorf-stadt/nachrichten/Avi-Primor-holte-Joschka-Fischer_aid_822059.html

Afghanistan-Debatte
Lammert schließt Linke von Bundestagssitzung aus
In der Bundestagsdebatte über den Afghanistan-Einsatz der Bundeswehr ist es zu einem Eklat gekommen. Bundestagspräsident Norbert Lammert schloß die Linksfraktion von der Sitzung aus, weil sie mit Protestplakaten gegen den Einsatz demonstriert hatte. Über den Einsatz darf die Oppositionspartei aber wieder abstimmen.
http://www.welt.de/politik/deutschland/article6568721/Lammert-schliesst-Linke-von-Bundestagssitzung-aus.html

Debatte um katholischen Mißbrauch
Die Grünen, der Sex und die Kinder
Mißbrauch von Kindern als Folge der sexuellen Revolution? Auf Bischof Mixas Äußerungen folgte zu Recht Entrüstung. Ganz vorne dabei: die Grünen – und die hatten zum Thema Sexualität und Kinder einst Abenteuerliches zu sagen. Eine kleine Zeitreise von Jan Fleischhauer
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,678961,00.html

Elton John: „Jesus war ein schwuler Mann“
http://www.promiflash.de/elton-john/201002191815-elton-john-jesus-war-ein-schwuler-mann

Frankfurter Städel erforscht seine NS-Vergangenheit
http://www.welt.de/die-welt/kultur/article6499295/Frankfurter-Staedel-erforscht-seine-NS-Vergangenheit.html

Stadt Offenbach
Demo gegen NPD geplant
Jusos und andere Gruppen mobilisieren
http://www.fr-online.de/frankfurt_und_hessen/nachrichten/stadt_offenbach/2350146_Demo-gegen-NPD-geplant-Jusos-und-andere-Gruppen-mobilisieren.html

„Bewegung Morgenlicht“
Ein-Euro-Jobber nach Anschlägen in Frankfurt in U-Haft
http://www.faz.net/s/RubFAE83B7DDEFD4F2882ED5B3C15AC43E2/Doc~EAD3668DAC79D4F90B7AC22B05F7658F1~ATpl~Ecommon~Scontent.html?rss_googlenews

Deutsch-jüdische Symbiose
Von Ellen Kositza
Als ich gestern früh beim Müllrausbringen, ungekämmt und angetan mit u.a. einer Kittelschürze und übergroßen Schuhen von Kubitschek, in die ich schnell geschlüpft war, auf dem Weg zur „Gelben Tonne“ im Schnee ausrutschte und hinfiel, war mein erster Gedanke ziemlich absurd (...)
http://www.sezession.de/12623/deutsch-juedische-symbiose.html#more-12623

Melita Maschmann – Ein Nachruf
Von Karlheinz Weißmann
Es gibt den Fall, daß Menschen unserer Aufmerksamkeit entgleiten, auch dann, wenn sie in der Öffentlichkeit eine Rolle spielten, auch dann, wenn man ihren Lebenslauf mit Interesse verfolgt hat. Irgendwann verschwinden sie, ziehen sich freiwillig zurück, aus Altersgründen, weil sie ihre letzten Jahre in Ruhe verbringen wollen, beschränken sich auf eine private Existenz.
http://www.sezession.de/12456/melita-maschmann-ein-nachruf.html

Bundesrepublikanische Probleme ...
Geschichte
Kapelle mit Baumaterial aus Hitlers Berghof?
http://salzburg.orf.at/stories/424682/

Tondokument
Wie Hitlers Stimme wirklich klang
Ein finnischer Radiotechniker zeichnete 1942 heimlich ein Männergespräch auf: Darin erklärt Hitler einem finnischen General den Kriegsverlauf. Bis heute ist dies die einzige bekannte Aufnahme, auf der man den „Führer“ im normalen Gesprächston hört. SPIEGEL TV über ein außergewöhnliches Tonband.
http://www.spiegel.de/sptv/magazin/0,1518,319655,00.html

Hochinteressant (auch inhaltlich!) ...
Adolf Hitler secret recording 1942, part 1
http://www.youtube.com/watch?v=wkLKfClUiHQ&feature=channel

Adolf Hitler secret recording 1942, part 2
http://www.youtube.com/watch?v=kLlCEQ2wVsA&feature=channel

Adolf Hitler secret recording 1942, part 3
http://www.youtube.com/watch?v=PTdsvkWBGlo&feature=channel

Debatte um nationale Identität in Frankreich ...
Weder ein Volk noch eine Sprache
Von Alain de Benoist
„Waterloo“, „Begräbnis der politischen Klasse“, „bedingungslose Kapitulation“, „gravierende politische und ideologische Niederlage“: Die Kommentare zum Abschluß der im vergangenen Oktober von Staatspräsident Nicolas Sarkozy ausgerufenen „großen Debatte über die nationale Identität“ fallen eindeutig und einhellig aus. Echte Ergebnisse hat diese Debatte nicht gebracht, und ob der beschlossenen Maßnahmen weiß man kaum, ob man lachen oder weinen soll.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M51268507178.0.html

Große Überraschung ...
Integrationsbeauftragte Böhmer
„Alarmierend hoher Migrantenanteil bei Hartz IV“
Die Integrationsbeauftragte Maria Böhmer ist beunruhigt über die hohe Migranten-Quote unter den Hartz-IV-Beziehern und mahnt bessere Sprachkenntnisse und eine gute Bildung an. Auch Kanzlerin Merkel beschäftigt das Thema Hartz IV. Sie verlangt Verbesserungen – doch der FDP ist das zu wenig.
http://www.welt.de/politik/deutschland/article6477554/Alarmierend-hoher-Migrantenanteil-bei-Hartz-IV.html

Frankfurt am Main: Abschied von der Integration
Frankfurt kommt nicht zur Ruhe. Nachdem letzte Woche der Hessische Rundfunk Enthüllungen über den Bau der dritten Moschee im Stadtteil Hausen an die breite Masse der Bevölkerung verbreitete (PI berichtete), und somit die Aussagen der damaligen BI Hausen – heute PI-Frankfurt – bestätigte, wurde von der Fraktion der Freien Wähler im Römer am 10. Februar 2010 nun eine Expertise zum Integrationskonzept von Dr. Nargess Eskandari-Grünberg vorgestellt.
http://www.pi-news.net/2010/02/frankfurt-am-main-abschied-von-der-integration/#more-118870

Kriminalität
Bande terrorisiert Hamburger Hochhaussiedlung
Von André Zand-Vakili
Straßenschlägereien, Drogenhandel, Raub und lebensgefährliche Raserei – die Kriminalität am Hamburger Mümmelmannsberg gerät außer Kontrolle. Eine „multi-ethnische Bande“ terrorisiert seit Jahren die Hochhaussiedlung. Die Polizei scheint machtlos, denn die meist jungen Intensivtäter sind gut organisiert.
http://www.welt.de/vermischtes/article3693816/Bande-terrorisiert-Hamburger-Hochhaussiedlung.html

Offenbach
Für Polizei und Staatsanwaltschaft sind türkische Kickbox-Zwillinge Schutzgelderpresser
Brutale Sponsoren-Suche
Von Thomas Kirstein
Offenbach – Das als „Fight Club“ firmierende Kampfsportstudio in der Großen Marktstraße stellt auf seiner aufwendigen Internet-Seite viele derjenigen vor, die sich als Sponsoren verdient machen.
Folgt man der Offenbacher Staatsanwaltschaft und der Kriminalpolizei, dann haben sie nicht freiwillig finanzielle Beiträge geleistet. Vielmehr sollen die meist türkischstämmigen Betreiber von Spielotheken, Wettbüros, Kiosken, Gaststätten, Telecafés und einem Hotel durch massiven Druck seitens zweier Landsleute und ihrer Helfershelfer zu regelmäßigen Zahlungen genötigt worden sein – aus anfänglich 50 Euro im Monat wurden bald 300.
Klarer Fall von Schutzgelderpressung, meinen Ankläger und Ermittler. Als Drahtzieher und Hauptakteure gelten die als Kampfsport-Trainer tätigen Zwillinge Deniz und Devrim Akarsu, beide 1977 in Offenbach geboren und türkische Staatsbürger.
http://www.op-online.de/nachrichten/offenbach/brutale-sponsoren-suche-636353.html

Raubüberfall mit unerwartetem Finale
Wir berichten immer wieder über Fälle von Migrantengewalt, bei denen sich das Opfer vermeintlich wehrlos seinem Schicksal ergibt. Etwas anders verlief am Samstag ein Raubüberfall im Bonner Stadtteil Pützchen. Dort holte sich ein „südländischer“ Täter von seinem Opfer eine blutende Nase.
http://www.pi-news.net/2010/02/raubueberfall-mit-unerwartetem-finale/
http://www.general-anzeiger-bonn.de/index.php?k=loka&itemid=10490&detailid=703394


Schweinfurt
„Ehrenmord“?: Türkin stirbt durch Attacke des Vaters
http://www.zeit.de/newsticker/2010/2/24/iptc-bdt-20100224-201-24004588xml

Eine ganz normale Woche in München
„Dank“ der Political Correctness ist es bekanntlich ziemlich schwierig herauszufinden, welcher Nationalität ein Straftäter angehört, da die Medien die entsprechenden Informationen meist verschweigen. Auf der Seite der Polizei München ist das – noch – anders, hier hat man keine Hemmungen, die (traurigen) Tatsachen beim Namen zu nennen. Jeden Tag außer samstags werden dort Straftaten veröffentlicht. Ein PI-Leser hat sich einmal die Mühe gemacht und die Veröffentlichungen der vergangenen Woche hinsichtlich Nationalität bzw. Migrationshintergrund analysiert.
http://www.pi-news.net/2010/02/eine-ganz-normale-woche-in-muenchen/

Massenschlägerei bereichert Fasnachtsumzug
Im bernischen Langenthal kam es beim örtlichen Karneval zu einem politisch inkorrekten Zwischenfall: Ausscherende Fasnächtler hatten einen Wagen mit Minarett und Initiativplakat gezimmert (Foto). Auf der Spitze stand offenbar ein „echter Muezzin“, denn er habe nach Bericht der „Berner Zeitung“ während des Umzugs „gröbere Sprüche“ gemacht und „blöd heruntergeplärrt“ – wie sich das eben gehört. Ungehörig fanden es jedoch südländische Jugendliche, die sich empörten, einen Streit anfingen und dabei ein paar eidgenössische Fäuste ernteten.
http://www.pi-news.net/2010/02/massenschlaegerei-bereichert-fasnachtsumzug/

Fasnachtsschlägerei: Jetzt sprechen die „Freaks“
Noch immer wird der fasnächtliche Minarettwagen und die anschließende Massenschlägerei in Langenthal (PI berichtete) in den Schweizer Medien heftig diskutiert. Vor allem die Frage, von wem der Streit zwischen einer Gruppe junger Dachdecker aus der Region und 20 jugendlichen Ausländern ausging, steht im Raum. Ein Ausländer sagte der „Berner Zeitung“, die Dachdecker wollten bewußt prügeln und seien mit Schlagringen bewaffnet gewesen. Alles gelogen, meinen die Dachdecker gegenüber PI.
http://www.pi-news.net/2010/02/fasnachtsschlaegerei-jetzt-sprechen-die-freaks/#more-120807

Gene lassen uns Gesichter erkennen
Von Pia Heinemann
London – Offenbar ist die Fähigkeit, ein Gesicht zu erkennen, nichts, was wir im Laufe der Kindheit erlernen.Wissenschaftler des University College in London berichten in PNAS über Hinweise darauf, daß in den Genen jedes einzelnen verankert ist, wie gut Gesichter erkannt werden können.Und offenbar ist die Arbeit, die das Gehirn beim Erkennen von Gesichtern leisten muß, wesentlich höher und komplizierter als bei anderen kognitiven Prozessen, etwa der Worterkennung. Die Wissenschaftler haben für ihre Studie eineiige und zweieiige Zwillinge getestet. „Gesichtserkennung ist eine Fähigkeit, die wir jeden Tag benötigen“, sagt Hirnforscher Brad Duchaine.
http://www.welt.de/die-welt/wissen/article6514900/Gene-lassen-uns-Gesichter-erkennen.html

Verkehrskonzept Speedway
Die elektrische Autobahn
Von Jürgen Pander
In seiner Diplomarbeit hat Designer Christian Förg das Reichweiten-Problem von Elektroautos gelöst – und gleich noch ein zukunftsweisendes Verkehrssystem entwickelt. Speedway heißt das Projekt. Die Prüfer an der FH München bewerteten es mit der Note 1,0.
http://www.spiegel.de/auto/aktuell/0,1518,678168,00.html

Abrisse in Wien
Historische Schutzzone in der Leopoldstadt in Auflösung begriffen
http://www.idms.at/index.php/meldungen-nach-bundesland/meldungen-wien/97-wien2/173-historischeschutzzoneinderleopoldstadtinaufloesungbegriffen

Weißrußland erklärt Rammstein zum Staatsfeind
http://www.stern.de/kultur/musik/weissrussland-erklaert-rammstein-zum-staatsfeind-1545542.html

Rammstein darf in Weißrußland auftreten
http://www.merkur-online.de/nachrichten/stars/rammstein-darf-weissrussland-auftreten-644355.html

Jud Süß ausgepfiffen und ausgebuht
http://www.moviepilot.de/news/jud-suess-ausgepfiffen-und-ausgebuht-105462
http://film-insider.de/info/94417/

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Il Master Enrico Mattei in Vicino e Medio Oriente

Il Master Enrico Mattei in Vicino e Medio Oriente

Fra grandi attese, ottimi docenti e qualche immancabile boicottaggio, il tradizionale corso di studi all’Università di Teramo

Filippo Ghira

Enrico_Mattei.pngRiparte all’Università di Teramo il  “Master Enrico Mattei in Vicino e Medio Oriente”. Nel 2007 era stato chiuso per la nota vicenda Faurisson, per due anni è continuato a Roma sotto l’egida dello Iemasvo, Istituto Enrico Mattei in Vicino e Medio Oriente”, e adesso è di nuovo nell’Ateneo dove era stato inaugurato nel febbraio 2006 con una prolusione di Giulio Andreotti su Enrico Mattei.
E’ cambiato qualcosa? “E’ cambiato il regolamento di Facoltà - risponde il professor Claudio Moffa, coordinatore del corso di studi, le cui domande scadranno il 28 febbraio prossimo – adesso la lista dei docenti deve essere approvata dal Consiglio di Facoltà ma comunque l’impianto generale non cambia. Anzi nella fase romana è stata allargata la rosa dei conferenzieri, per fare due nomi Ilan Pappè e Clementina Forleo, e quest’anno proponiamo nuovi argomenti interessanti”. Come il convegno di economia su “Monete, acqua, oleodotti: le guerre economiche del Medio Oriente” e quello su: “Finanza, usura e signoraggio”, con economisti quali Bruno Amoroso, Gianfranco Lagrassa e Eugenio Benetazzo. O il seminario su: “L’assedio dei cristiani in Medio Oriente”, un panorama radicalmente diverso da quello dei tempi di La Pira.
Un corso dunque allo stesso tempo altamente professionale ma anche poco omologato alla lettura dominante degli eventi mediorientali.
Nessun problema dunque? “I problemi ci sono – risponde Moffa – e vengono per ora soprattutto da internet che  ci impedisce di fatto una adeguata pubblicizzazione: improvvisi blocchi della posta in uscita, scomparsa dai siti di nomi e notizie importanti che poi magicamente ricompaiono poco dopo. Ma chiunque tratta argomenti politicamente non corretti conosce questo tipo di ostacoli. Per il resto ci stiamo avvicinando al traguardo delle iscrizioni, ancora possibili. Il termine ultimo per iscriversi al Master è il 28 febbraio. L’impressione quindi è che si voglia giocare sul fattore tempo per impedire che gli incontri del Master che vedrà l’avvicendarsi di docenti di chiara fama, abbia il successo e il riscontro già avuti in passato.
Una battaglia che riguarda tutti: basta andare sul sito
www.masteruniteramo.it, ascoltare le presentazioni video del corso di studi e il già nutrito programma articolato in convegni e temi molto interessanti e spesso controcorrente per capire. La lista dei relatori, Franco Cardini, Maurizio Blondet, ma anche Agostino Cilardo, Ferdinando Pellegrini e Israel Shamir, basterebbe da sola a rassicurare che quella offerta agli iscritti e agli uditori, sarà un’analisi obiettiva degli argomenti trattati. Ci saranno anche alcuni ambasciatori, come quello venezuelano, entro un quadro di pluralismo tipico di un Ateneo pubblico”.
 
Enrico Mattei: in nome dell’Italia
Problemi per un Master intitolato a Mattei? La verità è che la figura e l’opera di Enrico Mattei sono ancora in grado di dare fastidio per tutti gli interrogativi che esse pongono oggi in materia di approvvigionamento energetico, indipendenza nazionale, colonialismo e rapporti internazionali. Della figura di Enrico Mattei si tende oggi a ricordare l’atteggiamento spregiudicato, i finanziamenti versati ai vari partiti per non dover incontrare ostacoli sul suo cammino. Ma ben pochi ricordano che il suo “utilizzare i partiti come taxi” era finalizzato a rendere l’Italia indipendente dal punto di vista energetico e non dipendente quindi dalle forniture delle Sette Sorelle statunitensi e anglo-olandesi. Basti pensare che  nell’immediato dopoguerra, Enrico Mattei, nominato commissario liquidatore dell’Agip, dimostrando una notevole lungimiranza, riuscì a convincere il governo dell’epoca a rinunciare a quella idea e di investire invece in un Ente pubblico, l’Eni appunto, che si occupasse di garantire al nostro Paese l’approvvigionamento energetico di petrolio e di gas, che fu più che determinante per sostenere il nostro boom economico. La stampa italiana, specie quella del Nord, legata agli ambienti industriali e finanziari nazionali, e con saldi legami con analoghi ambienti europei e americani, non si fece sfuggire l’occasione per attaccare la politica dell’Eni che si muoveva con estrema autonomia sugli scenari internazionali, avendo per prima preoccupazione l’interesse nazionale.
L’aspetto che determinò il successo dell’Eni nei Paesi produttori di petrolio fu l’approccio “non colonialista” con cui Mattei lo caratterizzò. Tanto per cominciare, Mattei innovò radicalmente nella percentuale che l’Eni ritagliò per se stesso nello sfruttamento dei giacimenti di petrolio scoperti. Appena un 25% per il gruppo italiano contro il 75% riservato alla compagnia petrolifera di Stato locale. Laddove le Sette Sorelle pretendevano come minimo il 50%. Secondo aspetto, fu la clausola secondo la quale se le ricerche di uno specifico giacimento non avessero avuto buon fine, l’Eni non avrebbe chiesto niente allo Stato estero a mo’ di indennizzo. Un metodo a dir poco rivoluzionario che contribuì in maniera determinante a creare una corrente di enorme simpatia verso il gruppo italiano. Terzo e non meno importante innovazione fu la scelta di Mattei di fare addestrare le maestranze locali nella scuola aziendale dell’Eni a San Donato Milanese. Il disegno era di per sé ovvio. L’Eni, voleva far capire Mattei, non vuole limitarsi a rapporti economici ma vuole far crescere professionalmente una folta schiera di tecnici che una volta formati saranno in grado di fare da soli o affiancare al meglio le società petrolifere straniere, senza quindi dover dipendere totalmente da esse. Un approccio che è ancora vivo nella memoria delle classi dirigenti di quel Paese. Un ricordo che fa sì che l’Eni possa ancora oggi vivere di rendita in quei Paesi godendo di una simpatia che non è mai venuta meno.
La politica autonoma dell’Eni si indirizzò soprattutto verso i Paesi del Vicino Oriente e del Nord Africa. Se fu l’Iran l’esempio più eclatante di un irrompere del gruppo italiano in un Paese che era considerato territorio esclusivo di caccia della British Petroleum, fu però l’Egitto di Nasser il primo Paese con il quale Mattei nel 1956 iniziò rapporti stabili e duraturi. Per non parlare dell’appoggio finanziario dato dall’imprenditore marchigiano al Fronte di liberazione nazionale algerino, un fatto che non poteva che irritare non poco la Francia la cui classe dirigente si stava ormai rassegnando all’idea di perdere i suoi territori di oltremare. Una vicinanza all’Fnl che fu rafforzata dalla disponibilità di un appartamento a Roma per il capo politico del movimento indipendentista, Mohamed Ben Bella.
L’Eni si poneva quindi come una realtà autonoma che, in nome degli interessi superiori dell’Italia, vista come un naturale prolungamento dell’Europa verso i Paesi della sponda sud del Mediterraneo, voleva rompere gli equilibri consolidati in tutta l’area. L’attivismo di Mattei dava particolare fastidio ad Israele che male sopportava il fatto che l’Eni tendesse a far crescere economicamente e autonomamente Paesi come Algeria ed Egitto. L’origine dell’attentato del 27 ottobre 1962 con la bomba piazzata nel suo aereo ed esplosa nel cielo di Bascapè deve probabilmente essere inserita in questa contrapposizione con lo Stato nato appena quindici anni prima. Una ostilità che ebbe conseguenze all’interno della stessa Eni quando Mattei, qualche mese prima della sua morte, obbligò Eugenio Cefis, vicepresidente dell’Eni e presidente dell’Anic, a lasciare il gruppo dove costituiva il capo di una corrente giudicata troppo “vicina” agli interessi atlantici ed israeliani. Lo stesso Cefis, ex braccio destro di Mattei nella guerra civile come partigiano cattolico, che fu chiamato a guidare l’Eni subito dopo la morte di Mattei. Le altre ipotesi sul’attentato sono infatti poco credibili. Da un intervento delle Sette Sorelle, con le quali in settembre aveva raggiunto una sorta di “gentlemen agreement”, all’ipotesi della Cia che giudicava Mattei destabilizzante, proprio nei giorni in cui infuriava la crisi dei missili sovietici a Cuba. Lo stesso scetticismo vale per un possibile ruolo avuto dalle compagnie petrolifere francesi, che avevano vasti interessi in Algeria, o per l’intervento della Mafia siciliana o di Cosa Nostra Usa che agirono per conto terzi. Tutte ipotesi che hanno il demerito di vedere solamente la punta dell’iceberg e di non voler leggere quella che è la sostanza del problema. L’attentato di Bascapè mise comunque fine all’esistenza di una personalità unica, un uomo che era stato capace di intravedere realtà e potenzialità che altri nemmeno si immaginavano.  
 
 
 
Per informazioni e per iscriversi al Master:
www.masteruniteramo.iit
info@mastermatteimedioriente.it;
claudio.moffa@fastwebnet.it;
mastermattei.unite@tiscali.it;
377-1520283; 347-7777.071





23 Febbraio 2010 12:00:00 - http://rinascita.eu/index.php?action=news&id=832

mercredi, 03 mars 2010

La OTAN le dicta a la Union Europea su relacion con Turquia

La OTAN le dicta a la Unión Europea su relación con Turquía

La UE debe suscribir un acuerdo bilateral en materia de seguridad, entre otros asuntos.- Catherine Ashton no asiste a la reunión

otan-turquie-copie.jpgEn materia de defensa, la OTAN -es decir, EE UU- sigue siendo quien manda. Así ha quedado de manifiesto en la reunión informal que los ministros de Defensa de la UE celebran en Palma de Mallorca. En ausencia de la Alta Representante para la Política Exterior y de Seguridad, Catherine Ashton, que ha preferido asistir a la toma de posesión del nuevo presidente ucranio, la estrella de la reunión ha sido el secretario general de la OTAN, Anders Fogh Rasmussen.

Su primera intervención en un encuentro de este tipo no se ha limitado, como se esperaba, a abordar las relaciones entre las dos organizaciones. Rasmussen se ha presentado ante los ministros europeos como el embajador de los intereses de Turquía y les ha dicho cómo deben tratar a este país islámico, miembro de la OTAN y eterno aspirante a entrar en la UE. A saber: la UE debe suscribir un acuerdo bilateral en materia de seguridad con Turquía; debe establecer mecanismos de cooperación entre Turquía y la Agencia Europea de Defensa (AED); y debe permitir que los países que participan en operaciones militares de la UE sin pertenecer a la misma intervengan en la toma de decisiones. Por si hubiera duda, ha aclarado que Turquía es el segundo contribuyente de la misión de la UE en Bosnia. Tras admitir que “se trata de un tema sensible”, ha agregado que ello “no debe servir como excusa”.


Rasmussen ha asegurado que la discusión con los ministros europeos ha sido “muy fructífera”, pero ha evitado responder si Chipre está dispuesta a dar un papel mayor en la Unión al país que ocupa el norte de su territorio desde 1974. Respecto a la ausencia de Asthon, ha asegurado que ya ha abordado este asunto con ella y que “está muy a favor de reforzar la cooperación con la OTAN”.

Preguntado por las declaraciones del jefe del Pentágono, Robert Gates, quien ha lamentado la “desmilitarización” de Europa, Rasmussen ha recordado que los europeos aportarán 10.000 soldados a Afganistán a petición de Obama, pero ha admitido que “hay un problema por la falta de capacidad [militar] en Europa”. Ha calificado de “éxito” la ofensiva en la provincia afgana de Helmand y ha dicho que “servirá como ejemplo para operaciones futuras”.

La reunión de Palma ha concluido sin que los siete países socios del avión de transporte europeo A400M (Alemania, Francia, Reino Unido, España, Turquía, Bélgica y Luxemburgo) certificaran el “principio de acuerdo” anunciado por la ministra española, Carme Chacón . El comunicado oficial es más cauto y sólo constata que se ha producido “un avance significativo en las conversaciones”. Lo cierto es que la empresa fabricante, EADS, ha aceptado la última oferta de los gobierno para compensarla por el sobrecoste del proyecto: 2.000 millones a fondo perdido y 1.500 en créditos. Aún quedan, sin embargo, notables flecos; como saber qué países participarán en el préstamo y en qué condiciones. Chacón subrayó la “voluntad inequívoca” y unánime de ir adelante con el A400M y su impresión de que “pronto” se cerrará el acuerdo.

Miguel González

Extraído de El País.

~ por LaBanderaNegra en Febrero 26, 2010.

Le nouveau site d'Ayméric Chauprade

chauprade_geopolitique.jpg

 

La géopolitique exposée par Aymeric Chauprade

Un nouveau site:

 http://realpolitik.tv/

 

Aymeric Chauprade, dont Polémia a largement développé les mesures de disgrâce qu’ils l’ont frappé voilà un an, annonce le lancement de realpolitik.tv, un site dédié à l’analyse géopolitique qui rassemble des contenus et audiovisuels. Déjà à la pointe de l’actualité internationale, on y trouve dès maintenant une excellente analyse Nouvelle doctrine de défence russe, sous la plume de Xavier Moreau, qui, en contrepoint des articles généralement destructeurs de la grande presse sur tout ce qui concerne la Russie, permet de comprendre mieux ce qui a amené la Russie à adopter sa nouvelle doctrine de défense en désignant comme ennemis principaux et immédiats les Etats-Unis et l’OTAN.

Polémia ne peut que conseiller à ses lecteurs, intéressés par la géopolitique, de mettre ce nouveau site dans la liste de leurs favoris et de le visiter régulièrement. Ils y trouveront des informations et des explications pertinentes aux grands événements mondiaux.

Polémia

 

J’ai le plaisir de vous annoncer le lancement de realpolitik.tv, un site dédié à l’analyse géopolitique qui rassemble des contenus écrits et audiovisuels.

Les intervenants sont tous des spécialistes de géopolitique d’une aire géographique (Europe, États-Unis, Chine, Russie, Amérique Latine, Afrique…) ou d’un thème (questions maritimes, énergétiques…). Issus d’horizons variés, ils s’attachent à développer une pensée indépendante et attentive aux réalités des peuples et des civilisations. Le choix du terme realpolitik signifiant simplement que nous tentons de comprendre et d’expliquer le monde tel qu’il, non tel qu’on voudrait qu’il soit.

Le site n’est pas payant, et n’a pas vocation à le devenir. Il débute son activité, il est donc loin d’avoir atteint son plein régime et vous aurez bien conscience, lors de votre première consultation, que le contenu va s’enrichir de nombreux articles et de nombreuses vidéos. Vous pouvez nous adresser vos critiques et suggestions en nous écrivant directement à l’adresse contact@realpolitik.tv.

Je vous en remercie par avance. Bienvenue dans le monde des réalités identitaires !

Aymeric Chauprade, directeur du site

 

Correspondance Polémia

25/02/2010

Polémia

mardi, 02 mars 2010

Six milliards d'euros pour la Turquie!

6 milliards d’euros pour la Turquie

Ex: http://fortune.fdesouche.com/

Subventions à la Turquie dans le cadre de sa “préadhésion” à l’Union européenne. Un coût de 6 milliards pour les contribuables européens.

Le logo ci-contre est celui du Secrétariat général pour les Affaires européennes (organisme du gouvernement turc chargé des négociations d’adhésion). La couronne d’étoiles européenne s’y transforme en croissant sous l’influence de la Turquie : tout un programme.

Le 13 janvier 2009, la Cour des comptes européenne (ECA) a rendu public un rapport, intitulé “La gestion, par la communauté européenne, de l’aide de préadhésion en faveur de la Turquie”.

Dans ce rapport, un chiffre explosif : la Commission européenne a versé 6 milliards d’euros à la Turquie dans le cadre de sa “préadhésion”.

La première période d’aide à la préadhésion (2002-2007) a vu l’Europe verser à la Turquie 1,249 milliard d’euros ; la seconde (2008 – 2013) prévoit le versement de 4,873 milliards d’euros.

Si la Commission  européenne est responsable de la gestion des fonds , l’argent est confié à l’IAP,”Instrument d’aide de préadhésion” en grande partie géré par les autorités turques. Depuis 2002, l’aide de préadhésion en faveur de la Turquie permet de financer la mise en oeuvre de projets destinés à soutenir les efforts déployés par ce pays afin de remplir les conditions requises pour adhérer à l’Union européenne.

Les « documents stratégiques » fournis à la Cour par les autorités responsables démontrent que les aides de l’UE n’ont pas été affectées de manière cohérente « en fonction d’un ensemble d’objectifs réalisables ». La Cour déplore l’opacité – pour ne pas dire le gaspillage, voire la corruption pure et simple, selon Minute– des projets financés.

D’après le rapport de la Cour, « des projets bénéficient de subventions alors que la partenariat pour l’adhésion n’en mentionnait nullement l’utilité et, dans le même temps, plus de 100 autres priorités n’étaient au centre d’aucun des projets sélectionnés. Les objectifs et la portée de 4 autres projets audités ne concernaient pas directement les priorités figurant dans le partenariat pour l’adhésion”.

Observatoire des subventions

lundi, 01 mars 2010

On relance la candidature turque en pleine crise institutionnelle!

On relance la candidature de la Turquie
en pleine crise institutionnelle

par Jean-Gilles MALLIARAKIS / http://www.insolent.fr/

islatroie.jpgChef du gouvernement de Madrid, M. José-Luis Zapatero se croit autorisé à parler au nom de l'Espagne, et même de l'Europe. Les naïfs croyaient la présidence tournante de l'Union abolie par le traité de Lisbonne. Pour lui être agréable, on a accepté de maintenir cette fiction en sa faveur. De la sorte, il a proclamé, recevant son homologue turc, Recep Tayyip Erdogan le 22 février (1), une nouvelle avancée des négociations d'adhésion de la Turquie, ouvrant le "plus grand nombre de chapitres" thématiques de discussions en vue de son intégration.

"L'Espagne est fermement partisane de l'entrée de la Turquie dans l'Union européenne. Nous avons toujours maintenu fermement cette position. C'est le cas aujourd'hui et ce le sera demain".
Voilà donc relancée, de manière fort inquiétante et de mauvaise foi, un dossier essentiel pour notre identité, et auquel votre serviteur vient de consacrer un petit livre documenté. Dans cette présentation, l'auteur s'efforce d'expliquer au public francophone un certain nombre de contradictions de ce pays, candidat extra-communautaire malheureux depuis 1987.

Il se trouve aussi que celles-ci s'accroissent, se gonflent, de semaine en semaine, au point de paraître désormais explosives, à l'intérieur.

Ainsi ce 23 février, au lendemain même des embrassades de Séville, malencontreusement perturbées par un très méchant Kurde, très mal élevé (2) on procédait à Ankara, à Istanbul, à Bursa et à Izmir, à l'arrestation d’une cinquantaine d’officiers, dont 11 importants généraux à la retraite. Ceux-ci ont été gardés à vue et interrogés dans le cadre d'un nouveau dossier d'accusation de complot. Intitulé "Bayloz", les enquêteurs l'ont rattaché à l'interminable feuilleton judiciaire "Ergenekon". Le chef d'État major Illker Basbug, désormais sur la sellette, et dont certains demandent publiquement la destitution, doit annuler un déplacement officiel à l'étranger.

On ne peut pas tout de même pas tenir de tels développements pour d'anodines péripéties !

Parallèlement et paradoxalement l'environnement international accorde de plus en plus de créance au gouvernement des fameux "islamistes modérés" de l'AKP actuellement au pouvoir.

Les médiats de notre Hexagone pointent certes, de loin en loin, un certain nombre de problèmes. Ceux-ci nous sont même devenus presque familiers.

Ainsi la lancinante question des communautés d'origine et de langue kurdes a produit des milliers de morts dans l'affrontement du dernier quart de siècle. Assagie en partie seulement, depuis l'arrestation de son chef terroriste Ocalan en 1999, la révolte sanglante du PKK s'était transposée sur le plan légal. D'inspiration et de discours marxiste-léniniste, elle a généré un parti de gauche, le DTP, représenté à la Grande Assemblée nationale d'Ankara en dépit des filtres constitutionnels. Récemment dissous, il s'est aussitôt reconstitué, sous un autre nom.

Dans un autre ordre d'idées, la tension non résolue avec l'Arménie, comprenant la terrible question de la négation du génocide de 1915, se complique de l'imbroglio des relations avec l'Azerbaïdjan. On a donc communiqué à l'automne 2009, et Mme Clinton a cru triompher, sur un accord "réconciliateur" qui ne permettait même pas d'ouvrir les frontières entre les deux États.

D'autres exemples pourraient être donnés, que la presse parisienne laisse courageusement de côté. Ceux-là semblent suffire à édifier le lecteur quant aux difficultés générales que rencontre la ligne diplomatique annoncée par le ministre des Affaires étrangères apparu récemment M. Ahmet Davutoglou.

Sa formule a été énoncée en anglais de cuisine : "no problem with our neighbours". Or, cela peut se traduire en bon français par plusieurs formulations. Et, selon que l'on entendra "il n'existe aucun litige", ou au contraire "nous refusons de prendre en considération le moindre contentieux", ou enfin "qu'on cesse de nous enquiquiner avec les jérémiades de nos voisins", il ne s'agit plus de simples nuances dans l'interprétation.

Globalement une telle politique extérieure illustre l'adage "qui trop embrasse mal étreint".

Dans le sud-est européen, par exemple, Ankara prétend à la fois marquer en souplesse sa présence, affirmée comme traditionnelle, et souffler sur les braises des revendications de minorités islamiques, généralement slaves ou pomaques. Une idée nouvelle vient de germer – combien de temps durera-t-elle ? – celle de prendre appui sur la Serbie, vecteur improbable de la pénétration d'Ankara. Mais, quelques semaines auparavant, et plus naturellement, la Bosnie-Herzégovyne faisait l'objet de toutes les attentions, puis l'Albanie. Avec la Bulgarie et avec la Grèce on agite les droits des petites minorités musulmanes, etc. tout en prétendant, simultanément, aplanir la rugueuse relation turco-hellénique, "résoudre" le problème de Chypre, etc. Par ailleurs on laisse la presse gouvernementale comme elle le fait depuis plusieurs mois, révéler les manœuvres occultes de l'État-Major kémaliste. Et on les retrouve derrière toutes les provocations anti-grecques depuis 1955 jusqu'à celles des dernières années en Mer Égée, en passant par diverses affaires d'assassinats, comme celui du journaliste arménien Hrant Dink en janvier 2007, et d'attentats inexpliqués.

Car un aspect décisif de cette situation politique oppose deux tendances apparemment irréconciliables, au sein de la république post-kémaliste. Il ne s'agit pas seulement de deux secteurs de l'opinion, la gauche laïque et la droite islamisante, ou plus exactement confrérique. On doit constater aussi le conflit de plus en plus ouvert entre centres de pouvoirs institutionnels. Ils se combattent au nom de légitimités juridiques concurrentes. La constitution en vigueur depuis le référendum de 1982 a validé un rapport de force correspondant au coup d'État militaire dirigé par le général Evren en 1980. Plusieurs fois réformée depuis, elle a prévu en faveur de l'armée un certain nombre de prérogatives et de verrous. Au sein du pouvoir judiciaire, également, les forces laïques disposent de situations stratégiques, destinées à bloquer le retour en force de l'élément religieux. Chaque jour, de nouveaux épisodes, parfois tragiques, parfois savoureux, attisent les oppositions.

Or en même temps, la politique extérieure d'Ankara avance de plus en plus. Elle paraît prendre en main les revendications du Proche orient arabe. Elle tend à évincer progressivement l'influence du pays rival, l'Égypte.

Cela conduit cette diplomatie à s'exposer à des risques peut-être inconsidérés.

Lors de la dernière réunion, ce 29 janvier à Istanbul, des sociétés de pensées des 56 pays membres de l'Organisation de la Conférence islamique, s'est ainsi produit un événement bien significatif. L'assistance s'est levée, lors de l'intervention de Rachid Benaïssa (3), pour ovationner debout l’action pro-palestinienne du "nouvel empire ottoman" (4).

Cette popularité régionale de l'actuel gouvernement d'Ankara a pris son essor avec l'incident spectaculaire du 9 janvier 2009 à Davos entre le premier ministre turc Erdogan et Shimon Peres. Elle s'est vue confirmée par les nombreux déplacements des 3 principaux dirigeants dans divers pays arabes ces 12 derniers mois.

Inutile de dire qu'en contrepartie, la relation traditionnelle avec l'État d'Israël s'est dégradée d'autant. Avec les États-Unis, le refroidissement est devenu manifeste. Les choses vont beaucoup moins bien avec les alliés.

On peut certes se poser beaucoup de questions à propos de ce concept "néo-ottoman" dont les contours souffrent d'une absence de définition.

Il fait cependant son chemin. S'il s'agissait de reprendre la voie des réformes libérales de l'époque dite "Tanzimat", interrompues sous le règne d'Abdül Hamid, et plus encore par la seconde révolution jeune turque de 1909 (5), on pourrait se réjouïr.

En revanche il existe une différence de taille entre l'Histoire de cet Empire séculaire et le gouvernement de M. Erdogan apparu en 2003.

Historiquement, en effet, ni l'expansion de l'islam aux VIIe et VIIIe siècles, ni la pénétration seldjoucide en Asie mineure au XIe siècle, ni encore moins l'avènement de la maison d'Osman à partir du XIVe siècle ne se sont opérés contre l'élément militaire. Au contraire.

Tous les dirigeants politiques de ces différentes époques se sont affirmés comme chefs d'armées. Ils s'appuyaient, tous, sur une élite de cavaliers, dont ils ont fait des seigneurs territoriaux (6).

Imaginer un gouvernement islamique modéré, susceptible de changer de paradigme pour complaire à l'Europe des petits cochons roses, pour satisfaire au président universel Obama, et pour répondre aux rêves d'un monde sans conflit (7), peuplé de gentils bizounours et de schtroumpfs bleus, paraît donc un tant soit peu prématuré.
JG Malliarakis


Apostilles

 

  1. cf. Le Monde en ligne et AFP 22 février 2010 à 18h08
  2. Sur notre petite photo, on peut voir la remise du prix Nodo au premier ministre turc. Mais "Le passage du Premier ministre turc à Séville a été plus mouvementé que prévu. Recep Tayyip Erdogan était venu recevoir le prix Nodo, remis par la Fondation Séville aux personnalités qui œuvrent pour le dialogue entre les civilisations et les cultures. Une cérémonie feutrée dont le quotidien ABC raconte le déroulement... Mais, à la sortie de la mairie andalouse où se tenait cette soirée, il a été pris à partie par un manifestant qui lui a lancé une chaussure. Son geste s'est accompagné d'un slogan: "Vive les Kurdes, vive le Kurdistan!", lancé en espagnol, comme le montrent ces images de CNN." cf.le site de la Vigilance arménienne
  3. sur ce personnage franco-algérien qui fut fonctionnaire de l'UNESCO, on peut lire, avec les réserves d'usage la fiche wikipedia qu'il a peut-être rédigé lui-même
  4. cf. Think Tanks Of The Islamic Countries Come Together In Istanbul
  5. celle qui porte la responsabilité du génocide de 1915
  6. recourir au concept occidental de féodalité relève du contresens.
  7. annoncé par un faux prophète dans une conférence célèbre à Moscou en 1991.

Les présidentielles ukrainiennes signalent le recul de l'hégémonie américaine

K. Gajendra SINGH :

Les présidentielles ukrainiennes signalent le recul de l’hégémonie américaine

 

Le 13 février dernier, l’ambassadeur e. r. K. Gajendra Singh, correspondant de la revue italienne « Eurasia », a publié son commentaire sur le résultat des dernières présidentielles en Ukraine. Le texte qui suit en est une synthèse, due à la plume d’Andrea Bogi.

 

Ukraine_federation_svg.pngLes résultats du second tour des présidentielles ukrainiennes ont sanctionné la victoire du candidat pro-russe Viktor Yanoukovitch, avec 48,95% des voix, contre Ioulia Timochenko, avec 45,47%. Environ 70% des citoyens inscrits ont exercé leur droit de vote lors de ces élections qui revêtaient une importance capitale dans la lutte stratégique qui oppose, en Ukraine, le camp occidental au « camp oriental ».

 

Le déroulement régulier de cette élection a été confirmé par plus d’un organisme international et par tous les observateurs, tant russes qu’américains, malgré les protestations de Mme Timochenko, que le vainqueur des élections a accusé, dans un entretien accordé à CNN, de trahir ses propres principes, avancés lors de la fameuse « révolution orange » de 2004 (financée et téléguidée par les Etats-Unis et par les organisations, fondations et marionnettes qu’ils manipulent partout en Eurasie).

 

Dans les commentaires que publiait le New York Times, on pouvait lire : « Timochenko a œuvré à diffuser la révolution orange qui a apporté, pour la première fois, la démocratie de type occidental en Ukraine. Sa défaite pourrait suggérer un reflux des principes de cette révolution orange, mais le fait que le pays a réussi à assumer des élections présidentielles controversées, qu’on considère désormais comme parfaitement régulières, nous fait au contraire croire que l’héritage de la révolution orange a survécu ».

 

Cet avis est partagé par le Professeur Olexej Haran, qui enseigne la politique comparée à l’Université Mohyla de Kiev : il souligne que la démocratie a obtenu un grand succès parmi les Ukrainiens, qui ont été fortement déçus de l’échec des réformes sociales et économiques qu’on leur avait pourtant promises.

 

Le Président américain Barack Obama a félicité à son tour Yanoukovitch, en lui adressant le commentaire suivant : « Le pas en avant en direction du renforcement de la démocratie en Ukraine est un pas positif », ce qui, pour Obama, constitue simultanément l’affirmation de la nécessité de continuer la coopération réciproque dans le but «d’étendre la démocratie et la prospérité, de protéger la sécurité et l’intégrité territoriale, de renforcer la légalité, de promouvoir la non prolifération et de soutenir les réformes économiques et énergétiques en Ukraine ».

 

Yanoukovitch a pourtant déclaré qu’il ne prendrait pas en considération l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN : « L’Ukraine s’intéresse aujourd’hui au développement d’un projet visant la création d’un système collectif de sécurité européenne. Nous sommes prêts à en faire partie et à soutenir l’initiative du Président russe Dimitri Medvedev ». C’est là une indication des plus claires : Yanoukovitch veut restaurer les liens avec la Russie, rompus à partir de 2004 à cause des politiques pro-occidentales de Youchtchenko.

 

Suite à la défaite de Yanoukovitch, il y a cinq ans, Youchtchenko avait opté pour une politique d’opposition à Moscou pour plaire à ses « mécènes », c’est-à-dire, aux Etats-Unis, au Royaume-Uni et aux autres, ce qui a causé de profonds dommages et pertes pour le pays. La situation qui en a résulté fut une querelle permanente avec Moscou pour fixer le prix du transit gazier vers l’Europe centrale et occidentale, querelle où les Ukrainiens n’ont vraiment pas gagner grand chose. Cette dispute a en outre permis aux organes de propagande occidentaux, comme la BBC et CNN, d’inventer force arguments pour médire de la Russie parce que celle-ci avait manifesté l’intention de fournir son gaz au prix du marché à l’Ukraine qui, en réaction, subtilisait ce gaz ou jugulait sa livraison aux pays d’Europe centrale et occidentale.

 

L’Allemagne entendait garder des relations économiques stables et fructueuses avec la Russie pour échapper à l’emprise de l’arrogance américaine. Berlin a garanti pour un milliard d’euro le coût du projet North Stream, qui veut faire passer un gazoduc sous la Baltique pour éviter tout transit par le territoire ukrainien ou par d’autres pays jugés peu sûrs ; l’ancien Chancelier Gerhard Schroeder a ainsi accepté d’être nommé par Gazprom au poste de chef du conseil d’administration. Le changement à Kiev est de bon augure pour les Ukrainiens, qui n’étaient plus que de simples pions sur l’échiquier Est/Ouest.

 

Immédiatement après la victoire de Youchtchenko, il y a cinq ans, les marines américains faisaient leur apparition dans la région pontique pour un exercice naval en Crimée, un territoire russe qui a été donné à l’Ukraine par le leader soviétique Nikita Khrouchtchev, d’origine ukrainienne et où stationne encore la flotte russe. La population russophone avait protesté et chassé les Yankees, les obligeant à quitter rapidement le terrain.

 

(K. G. Singh a été ambassadeur de la République Indienne en Turquie, en Azerbaïdjan, en Jordanie, en Roumanie et au Sénégal. Aujourd’hui, il préside la « Foundation for Indo-Turkic Studies »).

(Ce texte est tiré du site de la revue italienne « Eurasia », http://www.eurasia-rivista.org/ ).

America - A country of serfs ruled by oligarchs

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Ex: VDARE.COM -

http://vdare.com/roberts/100215_america.htm

February 15, 2010

America—A Country of Serfs Ruled By Oligarchs

By Paul Craig Roberts 

The media has headlined good economic news: fourth quarter GDP growth of 5.7 percent ("the recession is over"), Jan. retail sales up, productivity up in 4th quarter, the dollar is gaining strength. Is any of it true? What does it mean?

The 5.7 percent growth figure is a guesstimate made in advance of the release of the U.S. trade deficit statistic. It assumed that the U.S. trade deficit would show an improvement. When the trade deficit was released a few days later, it showed a deterioration, knocking the 5.7 percent growth figure down to 4.6 percent. Much of the remaining GDP growth consists of inventory accumulation.

More than a fourth of the reported gain in Jan. retail sales is due to higher gasoline and food prices. Questionable seasonal adjustments account for the rest.

Productivity was up, because labor costs fell 4.4 percent in the fourth quarter, the fourth successive decline. Initial claims for jobless benefits rose. Productivity increases that do not translate into wage gains cannot drive the consumer economy.

Housing is still under pressure, and commercial real estate is about to become a big problem.

The dollar’s gains are not due to inherent strengths. The dollar is gaining because government deficits in Greece and other EU countries are causing the dollar carry trade to unwind. America’s low interest rates made it profitable for investors and speculators to borrow dollars and use them to buy overseas bonds paying higher interest, such as Greek, Spanish and Portuguese bonds denominated in euros. The deficit troubles in these countries have caused investors and speculators to sell the bonds and convert the euros back into dollars in order to pay off their dollar loans. This unwinding temporarily raises the demand for dollars and boosts the dollar’s exchange value.

The problems of the American economy are too great to be reached by traditional policies. Large numbers of middle class American jobs have been moved offshore: manufacturing, industrial and professional service jobs. When the jobs are moved offshore, consumer incomes and U.S. GDP go with them. So many jobs have been moved abroad that there has been no growth in U.S. real incomes in the 21st century, except for the incomes of the super rich who collect multi-million dollar bonuses for moving U.S. jobs offshore.

Without growth in consumer incomes, the economy can go nowhere. Washington policymakers substituted debt growth for income growth. Instead of growing richer, consumers grew more indebted. Federal Reserve chairman Alan Greenspan accomplished this with his low interest rate policy, which drove up housing prices, producing home equity that consumers could tap and spend by refinancing their homes.

Unable to maintain their accustomed living standards with income alone, Americans spent their equity in their homes and ran up credit card debts, maxing out credit cards in anticipation that rising asset prices would cover the debts. When the bubble burst, the debts strangled consumer demand, and the economy died.

As I write about the economic hardships created for Americans by Wall Street and corporate greed and by indifferent and bribed political representatives, I get many letters from former middle class families who are being driven into penury. Here is one recently arrived:

"Thank you for your continued truthful commentary on the 'New Economy.' My husband and I could be its poster children. Nine years ago when we married, we were both working good paying, secure jobs in the semiconductor manufacturing sector. Our combined income topped $100,000 a year. We were living the dream. Then the nightmare began. I lost my job in the great tech bubble of 2003, and decided to leave the labor force to care for our infant son. Fine, we tightened the belt. Then we started getting squeezed. Expenses rose, we downsized, yet my husband's job stagnated. After several years of no pay raises, he finally lost his job a year and a half ago. But he didn't just lose a job, he lost a career. The semiconductor industry is virtually gone here in Arizona. Three months later, my husband, with a technical degree and 20-plus years of solid work experience, received one job offer for an entry level corrections officer. He had to take it, at an almost 40 percent reduction in pay. Bankruptcy followed when our savings were depleted. We lost our house, a car, and any assets we had left. His salary last year, less than $40,000, to support a family of four. A year and a half later, we are still struggling to get by. I can't find a job that would cover the cost of daycare. We are stuck. Every jump in gas and food prices hits us hard. Without help from my family, we wouldn't have made it. So, I could tell you just how that 'New Economy' has worked for us, but I'd really rather not use that kind of language."

Policymakers who are banking on stimulus programs are thinking in terms of an economy that no longer exists. Post-war U.S. recessions and recoveries followed Federal Reserve policy. When the economy heated up and inflation became a problem, the Federal Reserve would raise interest rates and reduce the growth of money and credit. Sales would fall. Inventories would build up. Companies would lay off workers.

Inflation cooled, and unemployment became the problem. Then the Federal Reserve would reverse course. Interest rates would fall, and money and credit would expand. As the jobs were still there, the work force would be called back, and the process would continue.

It is a different situation today. Layoffs result from the jobs being moved offshore and from corporations replacing their domestic work forces with foreigners brought in on H-1B, L-1 and other work visas. The U.S. labor force is being separated from the incomes associated with the goods and services that it consumes. With the rise of offshoring, layoffs are not only due to restrictive monetary policy and inventory buildup. They are also the result of the substitution of cheaper foreign labor for U.S. labor by American corporations. Americans cannot be called back to work to jobs that have been moved abroad. In the New Economy, layoffs can continue despite low interest rates and government stimulus programs.

To the extent that monetary and fiscal policy can stimulate U.S. consumer demand, much of the demand flows to the goods and services that are produced offshore for U.S. markets. China, for example, benefits from the stimulation of U.S. consumer demand. The rise in China’s GDP is financed by a rise in the U.S. public debt burden.

Another barrier to the success of stimulus programs is the high debt levels of Americans. The banks are being criticized for a failure to lend, but much of the problem is that there are no consumers to whom to lend. Most Americans already have more debt than they can handle.

Hapless Americans, unrepresented and betrayed, are in store for a greater crisis to come. President Bush’s war deficits were financed by America’s trade deficit. China, Japan, and OPEC, with whom the U.S. runs trade deficits, used their trade surpluses to purchase U.S. Treasury debt, thus financing the U.S. government budget deficit.

The problem now is that the U.S. budget deficits have suddenly grown immensely from wars, bankster bailouts, jobs stimulus programs, and lower tax revenues as a result of the serious recession. Budget deficits are now three times the size of the trade deficit. Thus, the surpluses of China, Japan, and OPEC are insufficient to take the newly issued U.S. government debt off the market.

If the Treasury’s bonds can’t be sold to investors, pension funds, banks, and foreign governments, the Federal Reserve will have to purchase them by creating new money. When the rest of the world realizes the inflationary implications, the US dollar will lose its reserve currency role. When that happens Americans will experience a large economic shock as their living standards take another big hit.

America is on its way to becoming a country of serfs ruled by oligarchs.

Paul Craig Roberts [email him] was Assistant Secretary of the Treasury during President Reagan’s first term.  He was Associate Editor of the Wall Street Journal.  He has held numerous academic appointments, including the William E. Simon Chair, Center for Strategic and International Studies, Georgetown University, and Senior Research Fellow, Hoover Institution, Stanford University. He was awarded the Legion of Honor by French President Francois Mitterrand. He is the author of Supply-Side Revolution : An Insider's Account of Policymaking in Washington;  Alienation and the Soviet Economy and Meltdown: Inside the Soviet Economy, and is the co-author with Lawrence M. Stratton of The Tyranny of Good Intentions : How Prosecutors and Bureaucrats Are Trampling the Constitution in the Name of Justice. Click here for Peter Brimelow’s Forbes Magazine interview with Roberts about the epidemic of prosecutorial misconduct. His latest book, How The Economy Was Lost, has just been published by CounterPunch/AK Press.

dimanche, 28 février 2010

Giappone: desecretati i patti clandestini imposti dagli USA

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Giappone: desecretati i patti clandestini imposti dagli USA

Ex: http://www.eurasia-rivista.org/

Per anni i responsabili giapponesi hanno fatto di tutto per nascondere i patti clandestini firmati segretamente con gli Stati Uniti negli anni della guerra fredda, aventi lo scopo di assicurare agli Usa il controllo dell’Asia orientale; tali patti obbligavano il Giappone a far stazionare presso i propri porti armi nucleari statunitensi nonché a pagare il costo dell’occupazione militare americana.

Addirittura, nel 1972, dopo aver negato voci attendibili di protagonisti e diplomatici sull’esistenza degli accordi, fu arrestato un giornalista che aveva portato alla luce prove evidenti. Ora la questione torna alla ribalta grazie alla volontà del nuovo Governo giapponese, eletto la scorsa estate dopo un cinquantennio di ininterrotto governo liberal-democratico, che a quanto pare vuole farla finita con anni di reticenze e controllo burocratico. In febbraio sono infatti attese le risposte di un gruppo di studio creato ad hoc dal Ministero degli esteri.

Il Governo guidato da Yukio Hatoyama che si sta segnalando fra l’altro per l’indipendenza con cui sta reclamando il trasferimento di una base americana a Okinawa (tanto da aver ricevuto un richiamo ufficiale dal Ministro degli esteri Usa Hilary Clinton), sta spaventando i fautori del patronato Usa in Giappone, che temono un allontanamento di Tokyo da Washington.

Se questa sopravvenuta indipendenza non produrrà nel medio periodo la temuta fine dell’alleanza fra Giappone e Usa, considerata da questi ultimi una “pietra miliare” per la sicurezza (ossia sicurezza degli interessi strategici Usa)  dell’Asia orientale, di certo produrrà degli effetti culturali e politici non indifferenti. Primo fra tutti bisognerà ripensare i concetti che impediscono il riarmo nucleare del Giappone quando sarà evidente che armi nucleari sul suolo giapponese ci sono sempre state e per di più sotto controllo americano. E si porrà la possibilità di revisione della Costituzione “pacifista” imposta dai vincitori della seconda guerra mondiale, oltre che l’eventuale richiesta di eliminazione delle basi militari Usa ancora presenti.

La possibilità di raggiungere alcuni documenti non più secretati (ma quanti ancora lo sono?) darà la possibilità di sapere qualcosa in più su quanto successe subito dopo la fine della seconda guerra mondiale e aiuterà a capire in che modo fu amministrata la forza americana dipanata nel mondo.

Questo sarà interessante anche per quanto riguarda l’Italia che nel dopoguerra ebbe, con tutte le differenze del caso, un trattamento per certi versi simile a quello giapponese, con l’istallazione di numerose basi Nato/Usa sia terrestri sia marittime sul proprio territorio, data l’importanza strategica durante la guerra fredda; gli archivi militari e civili, europei ed americani ci diranno sicuramente verità in più, che in tempi di democrazia (termine più che mai abusato a quanto pare), sarebbero dovute essere di dominio pubblico già da molto tempo, ma che, per gli effetti che potrebbero avere sul sistema di sicurezza statunitense, vengono rese note con reticenza quando non negate.

 


Article printed from eurasia-rivista.org: http://www.eurasia-rivista.org

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00:25 Publié dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : japon, politique internationale, etats-unis, pacifique | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Presseschau 04/Februar 2010

giornalimmmmmmm.jpgPresseschau

04 / Februar 2010

Einige Links. Bei Interesse anklicken...

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Karlheinz Weißmann über die Notwendigkeit metapolitischer Arbeit und den Zustand der Unionsparteien (Auszug aus dem Antaios-Gesprächsband):

Weißmann: (...) Die amerikanischen Konservativen haben die schöne Parole aufgebracht „ideas have consequences“ – „Ideen haben Konsequenzen“. Das entspricht genau meiner Anschauung. Denjenigen, die meinen, es komme nur darauf an, Personal zu plazieren, die Wirtschaft anzukurbeln oder einen Fernsehsender in die Hand zu kriegen, sei gesagt, daß das alles nicht genügen wird, wenn man keine Begriffe und keine Vorstellungen davon hat, welche Ziele man verfolgen will. Das 21. Jahrhundert wird die Legitimitätsfragen in einem ungeahnten Ausmaß zur Geltung bringen, darauf können Sie sich verlassen, und da ist einem mit „weiter so“ nicht geholfen.

Kubitschek: Trotzdem möchte ich noch einmal auf die Parteienfrage zurückkommen.

Weißmann: Ich habe niemals einer Partei angehört, ich gehöre keiner an und ich gedenke daran nichts zu ändern. Das bedeutet umgekehrt nicht, daß ich die Bedeutung von Parteien unterschätze. Sie sind in modernen Staaten ein wesentlicher Bestandteil des politischen Lebens. Das heißt aber nicht, daß ihre Existenz gottgegeben ist. Das gilt auch und gerade im Hinblick auf die Union. Man kann sich des Eindrucks nicht erwehren, daß CDU und CSU personell weitgehend ausgezehrt sind und jenseits des Machtgewinns überhaupt keine Ziele mehr kennen. Die Rechtfertigung des dauernden Opportunismus mit dem Charakter der Volkspartei, dem Wählerwillen etc. ist lächerlich. Tatsächlich weiß in dieser Partei niemand, wofür er inhaltlich steht. Es gibt noch ein paar Üblichkeiten, ein paar Vorbehalte, aber ansonsten nur eine große weltanschauliche Leere. Das zieht neben denjenigen, die aus Familientradition zur Union gehen, nur die an, die ihrerseits weltanschaulich leer sind oder Karrieristen. Wenn sich die Gesamtlage verschärft, wird man hier kaum jemanden finden, der die Situation meistern könnte oder wollte.

(Karlheinz Weißmann: Unsere Zeit kommt. Götz Kubitschek im Gespräch mit Karlheinz Weißmann, Schnellroda 2006, S. 85 f.)

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Ausbildungseinsatz in Kriegsgebiet
Afghanistan-Mission frustriert deutsche Polizisten
Von Jörg Diehl
Raketenangriffe, Selbstmordanschläge, Feuergefechte: In Afghanistan bilden deutsche Polizisten Einheimische aus – regelmäßig geraten sie dabei in Gefahr. Die Beamten fühlen sich für den Einsatz schlecht vorbereitet und halten viele afghanische Rekruten für untauglich. Sie zweifeln am Sinn der Mission.
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,676729,00.html

Ist Gebirgsjäger-Skandal wirklich ein Skandal?
Mittenwald – Schweineleber oder Gärfisch? Für die einen ekelhaft, für die anderen eine Delikatesse. Im einen Fall werden Gebirgsjäger gegeißelt, im anderen Fall Biathletinnen gefeiert.
http://www.merkur-online.de/lokales/nachrichten/gebirgsjaeger-skandal-wirklich-skandal-628799.html

Mord an Hamas-Funktionär
Mutmaßliche Killer tarnten sich als Tennisspieler
Aus Abu Dhabi berichtet Alexander Smoltczyk
Der aufsehenerregende Mord an einem Hamas-Führer in Dubai war offensichtlich perfekt geplant. Die Killer sollen in einer geheimdienstartigen Blitzaktion zugeschlagen haben – die Polizei hält eine Beteiligung des Mossad für möglich. Sie fahndet nach elf Verdächtigen, unter ihnen ein Deutscher.
http://www.spiegel.de/politik/ausland/0,1518,678113,00.html

2010:
Obama setzt auf Atomkraft
Seit mehr als zwei Jahrzehnten ist in den USA kein neuer Meiler mehr gebaut worden. US-Präsident Obama will das ändern: Eine neue Kommission ist eingesetzt, Kreditgarantien für die Atomindustrie sollen verdreifacht werden.
http://www.sueddeutsche.de/politik/498/501751/text/
http://www.sueddeutsche.de/politik/174/503397/text/
http://www.tagesschau.de/obamaatomplaene100.html
http://www.handelsblatt.com/newsticker/politik/atom-obama-stellt-weichen-fuer-atomenergie;2521582

So hieß es noch 2009:
Wir wissen nicht, ob Barack Obama auf Kernkraft setzt
http://www.3sat.de/dynamic/sitegen/bin/sitegen.php?tab=2&source=/nano/bstuecke/132418/index.html

Und so 2008:
McCain will Atomkraftwerke, Obama will Ökostrom
http://www.welt.de/politik/article2121664/McCain_will_Atomkraftwerke_Obama_will_Oekostrom.html
http://www.nzz.ch/nachrichten/international/mccain_setzt_auf_atomkraft__obama_auf_sonnenenergie_1.769728.html

CDU-Kritiker protestieren gegen Linkstrend
BERLIN. Mit einem „Manifest gegen den Linkstrend“ hat eine Reihe ehemaliger CDU-Politiker und Publizisten auf die Berliner Erklärung der CDU reagiert. In dem Aufruf fordern die Unterzeichner um den ehemaligen CDU-Bundesrichter Friedrich-Wilhelm Siebeke von der Parteiführung eine „grundlegende politische Kurskorrektur, eine geistige Wende“.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M546359fa06e.0.html

CDU-Politiker weisen Kritik am Kurs der Partei zurück
BERLIN. Führende CDU-Politiker haben den Vorwurf eines Linkstrends ihrer Partei zurückgewiesen. CDU-Generalsekretär Hermann Gröhe sagte der Welt, der CDU zu unterstellen, sie sei nach links gerückt, sei „absurd“.
Auch der Parlamentarische Geschäftsführer der Unionsfraktion, Peter Altmaier, verwahrte sich gegen den Vorwurf. Vielmehr sei die CDU unter der Führung von Bundeskanzlerin Angela Merkel in die Mitte gerückt, sagte Altmeier im Deutschlandfunk.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M542354c6fd1.0.html

Aktion Linkstrend stoppen
Von Karlheinz Weißmann
Die Initiative „Stoppen Sie den Linkstrend“, die der ehemalige CDU-Bundesrichter Friedrich-Wilhelm Siebeke angestoßen hat, ist eine honorige Sache. Das, was die Unterzeichner, meistens ältere und ausgewiesen konservative Parteimitglieder fordern, kann man nur unterstützen: Schluß mit der Verschuldung, dem Multikulturalismus, der weichen Gesellschafts- und Schulpolitik, dem einseitigen Gedenken, massenhafter Abtreibung, schleichender Islamisierung.
Allerdings fragt sich der wohlwollende Betrachter, ob die Initiatoren im Ernst glauben, mit ihrem Manifest die „geistige Wende“ einzuleiten. Selbst wenn man annimmt, daß sie für einen Teil der schweigenden Unionsbasis sprechen: Sie repräsentieren keinen Flügel der Partei, sie haben keinen aktiven Bundes- oder Landtagsabgeordneten, der offen auf ihre Seite tritt, und Angela Merkel wird der Vorgang nicht einmal eine Stellungnahme wert sein. (...).
http://www.sezession.de/12321/aktion-linkstrend-stoppen.html#more-12321

Reconquista in der CDU
Von Dieter Stein
Wer sich an den Regierungsantritt von Helmut Kohl 1982 zurückerinnert, der weiß: Wenn CDU/CSU und FDP eine Koalition eingehen, stellt sich sofort die Frage der Integrationsfähigkeit nach rechts. Damals hatte Kohl mit seiner Forderung nach einer „geistig-moralischen Wende“ Erwartungen unter Konservativen geweckt, eine von der Union geführte Regierung werde politisch wesentliche Korrekturen vornehmen. Schon nach nur einem Jahr traten erhebliche Friktionen zutage, als klar wurde, daß Kohl nicht nur deutschland-, sondern auch gesellschaftspolitisch bruchlos an die sozial-liberale Vorgängerregierung anknüpfte.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M5b44c8e75e8.0.html

Private Abrüstung: Niedersachsen gibt seine Waffen ab
http://www.spiegel.de/video/video-1045023.html

Streit über Regelsätze
Hartz-IV-Forscher springen Westerwelle bei
Guido Westerwelle mag sich bei seiner Hartz-IV-Schelte im Ton vergriffen haben – in der Sache aber hat er recht, sagen Ökonomen des Kieler Instituts für Weltwirtschaft. Sie legen neue Zahlen vor, die klarmachen: Für viele Arbeitslosengeld-II-Empfänger rentiert sich ein regulärer Job schlicht nicht. Von Anne Seith und Alexander Landsberg
http://www.spiegel.de/wirtschaft/soziales/0,1518,678478,00.html

Immobilienblase
US-Experten fürchten den nächsten Mega-Crash
Von Marc Pitzke, New York
Die US-Regierung verbreitet Optimismus, die Rezession sei überstanden. Doch renommierte Experten widersprechen: Sie warnen vor einem neuen, katastrophalen Crash. Diesmal auf dem Markt für Gewerbeimmobilien samt riesigen Mietwohnungskomplexen. Betroffen wäre fast jeder Amerikaner – und die Deutsche Bank.
http://www.spiegel.de/wirtschaft/unternehmen/0,1518,678126,00.html

Defizit-Kosmetik
Griechenland zahlte 300 Millionen Dollar an Goldman Sachs
Wall-Street-Banker sind an der katastrophalen Schuldenkrise Griechenlands in großem Stil beteiligt. Vor neun Jahren schon half Goldman Sachs dem maroden Land, Milliardenschulden zu verbergen – für ein stattliches Entgelt, wie die „New York Times“ berichtet.
http://www.spiegel.de/wirtschaft/soziales/0,1518,677750,00.html#ref=nldt


In Würde trauern
Von Thorsten Hinz
Der Trauermarsch, den eine Junge Landsmannschaft Ostdeutschland zum 65. Jahrestag des anglo-amerikanischen Bombenangriffs auf Dresden plant, steht unter dem Motto: „Gegen Krieg, Bombenterror und Vertreibung!“ Ein unanfechtbarer Appell, selbst wenn man in Rechnung stellt, daß es den Organisatoren um die politische Provokation und den schmerzenden Stachel für den offiziellen Gedenkbetrieb geht statt um die Bekundung von Trauer.
Ihre Erwartung hat sich bereits erfüllt. Seit Wochen findet eine Gegenmobilisierung statt, die einschlägige Antifa-Initiativen, Politiker, Künstler, Gewerkschafter, Kirchenführer, Medienvertreter – die sogenannte Zivilgesellschaft – umfaßt. Am 13. Februar soll eine Menschenkette durch die Dresdner Innenstadt gebildet werden. Die Teilnehmer sind aufgerufen, sich eine weiße Rose anzuheften: eine obszöne Berufung auf die 1943 hingerichteten Geschwister Scholl. Die Scholls handelten unter Lebensgefahr, gestützt allein auf ihr Gewissen und aus der konsequentesten Sezession heraus. Die Gegendemonstranten haben das staatliche und mediale Wohlwollen auf ihrer Seite und die Aussicht auf ein herzerwärmendes Kollektiverlebnis. Zum Bombenjubiläum die Widerstandsinszenierung als Wochenendspaß! Wer sich so etwas ausdenkt, hat die Trauermarschierer wirklich verdient.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M5e4fabeee6f.0.html

Warum nicht jede Seite die falsche ist
Von Götz Kubitschek
Die offiziellen Zahlen reichen aus: Selbst wenn bei der Bombardierung Dresdens nur die von einer Historikerkommission im Jahre 2008 angenommenen rund 25000 Menschen umkamen (verbrannten, erstickten, erschlagen und zerfetzt wurden), hätte die Bundesregierung Jahr für Jahr in einer großen Veranstaltung einem unvergleichlichen Vernichtungsverbrechen zu gedenken.
Aber sie kommt dieser nationalen Erinnerungspflicht nicht nach, die Repräsentanz der Nation, und daß offiziell also nicht angemessen gedacht wird – auch in Hamburg oder Pforzheim oder Halberstadt oderoderoder nicht – ist geschichtspolitisch so bedeutsam, daß man vor dieser Lücke nicht unentschieden stehen kann.
http://www.sezession.de/11947/warum-nicht-jede-seite-die-falsche-ist.html#more-11947

Kundgebung in Dresden aufgelöst
DRESDEN. Die Kundgebung der Jungen Landsmannschaft Ostdeutschland (JLO) aus Anlaß der Bombardierung der Stadt Dresden vor 65 Jahren ist am Samstag um 17 Uhr vom Versammlungsleiter aufgelöst worden.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M555a9b65a6e.0.html

Ich war dabei
Von Ellen Kositza
Noch auf der Autobahn Richtung Dresden stand keineswegs fest, ob wir uns zu den Trauermärschlern der Jungen Landsmannschaft gesellen würden. Besser: inwiefern den Ankündigungen zu trauen sei, daß es sich um eine würdige Gedenkveranstaltung handeln würde. Die Jahre davor, so hatten uns Veteranen dieser Veranstaltung berichtet, sei das tatsächlich so gewesen. Das sei kein Glatzenaufmarsch, sondern ein sehr stilles, ja schweigsames „Gesichtzeigen“.
http://www.sezession.de/12126/ich-war-dabei.html#more-12126

Linke Gewalt in Dresden – Indifferenzen
Von Götz Kubitschek
Man tut gut daran, selbst vor Ort zu gehen, um hinterher zu wissen, was geschehen ist und was nicht. Auf der Rückfahrt von Dresden war mir klar, daß es über die linke Gewalt kein klares Wort in den Medien geben würde. Dabei gibt es zahlreiche Bilder und Filmausschnitte sowie Berichte über die Gewalt linker Schlägertrupps, die wahlweise rechte Trauermarschteilnehmer oder Polizisten angriffen. Ein paar Links setze ich unten.
http://www.sezession.de/12147/linke-gewalt-in-dresden-indifferenzen.html#more-12147

So wurde von den Linken mobilisiert ...
No pasaran! Antinazi-Demo Mobi-Clip Dresden 13.02.2010
http://www.youtube.com/watch?v=QE2bKXOAvzs

Gemeinsame Webseite von „Autonomen“ und Alt-Stalinisten
http://komunya.org/

Albrecht Schröter in Dresden
Von Felix Menzel
Am 29. und 30. Januar 2010 organisierte der Oberbürgermeister von Jena, Albrecht Schröter (SPD), eine Konferenz zum Thema „Kommunen gegen Rechtsextremismus“ und lud dazu Vertreter aus mitteldeutschen Städten und „zivilgesellschaftliche Initiativen“ ein. Seine Strategie im „Kampf gegen rechts“ zeigte sich nun am 13. Februar in Dresden.
Schröter sprach am Sonnabend auf einer nicht angemeldeten Demonstration des Bündnisses „Dresden Nazifrei“ auf dem Albertplatz in der Neustadt. Stern.de hat diesen Auftritt zusammengefaßt.
http://www.sezession.de/12155/albrecht-schroeter-in-dresden.html#more-12155

Ich war dabei (II)
Von Martin Lichtmesz
Ich bin im geradezu militärisch abgeriegelten Dresden-Neustadt um etwa halb neun eingetroffen, als die Polizei gerade erst begann, die feindlichen Lager auseinanderzusortieren. Mit dem bloßen Auge ist das gar nicht so einfach. Bei einer Gruppe mit schwarzen Anoraks, Palitüchern und Kapuzen, die neben mir ihr Frühstück einnahm, war es mir auch physiognomisch nicht möglich, die Glaubensrichtung zu bestimmen.
http://www.sezession.de/12148/ich-war-dabei-ii.html

Biedermänner und Brandstifter (Rückblick auf Dresden)
Von Martin Lichtmesz
Die Berichterstattung der Mainstream-Medien über die Demoblockade von Dresden geriet wie erwartet zum diffusen Feelgood-Geschunkel, gepflastert mit dem üblichen abgedroschenen Vokabular, das auf Reflexe und Emotionen, nicht aber auf Erhellung der Situation abzielt.
Eine kleine Auswahl, erstellt via Google-News-Suche:  „Ein Bollwerk gegen die Ewiggestrigen“ (Zeit online).“Dresden und die Neonazis: die anständigen Aufständischen“ (Stern).  „Dresden bietet Neonazis die Stirn“ (Focus). “Dresdner Debakel für die Neonazis stärkt die Zivilgesellschaft“ (Wiener Zeitung).“Buntes Dresden stoppt braune Einfalt“ (Neues Deutschland). „Dresden wehrt sich erfolgreich gegen Rechts“ (Welt).  „Dresden stemmt sich gegen die Geschichtsklitterer“ (Spiegel Online).
http://www.sezession.de/12272/biedermaenner-und-brandstifter-rueckblick-auf-dresden.html#more-12272

Dresdner Nachlese: Rosen von Götz Aly
Normalerweise halte ich es mit Nietzsche: Ohne Geschichtsbewußtsein sinkt man zum blöde blinzelnden, letzten Menschen herab, doch zuviel davon drückt einen ebenfalls nieder. Auch halte ich es mit dem Ausspruch: Kommt Zeit, vergeht Unrat! Andererseits fällt in unserer schnellebigen Zeit viel zu viel unter den Tisch, das es verdient hat, aufgehoben und in seiner Bedeutung erkannt zu werden. So eine Kostbarkeit stellt der am 9. Februar in der Berliner Zeitung veröffentliche Kommentar „Dresden und Auschwitz“ des Historikers und Publizisten Götz Aly dar.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M5fdf5639d17.0.html

„Jetzt werde ich etwas tun“
Hitler-Gegnerin und BDM-Mädel, kühle Hochbegabte und verliebter Teenie, wilde Tänzerin und strenge Asketin: Hinter der Widerstandsikone Sophie Scholl entdeckt die bislang umfassendste Biografie des berühmtesten Mitglieds der „Weißen Rose“ eine junge Frau voller menschlicher Widersprüche. Von Katja Iken
[Viele dieser vermeintlichen „Widersprüche“ dürften sich wohl in Luft auflösen, wenn man weiß, daß sie eine deutsche Patriotin war und nicht zuletzt aus dieser Motivation heraus handelte ...]
http://einestages.spiegel.de/static/topicalbumbackground/6144/_jetzt_werde_ich_etwas_tun.html

Kinofilm: „Jud Süß – Film ohne Gewissen“
Kunstfreiheit oder Geschichtsfälschung?
http://www.br-online.de/bayerisches-fernsehen/kino-kino/oskar-roehler-jud-suess-film-ohne-gewissen-hintergrund-ID1266405396822.xml
http://derstandard.at/1266279110570/Vor-der-Premiere-Jud-Suess-Produzenten-weisen-Vorwuerfe-zurueck

Das bewältigende Klassenzimmer (Teil 1: Sichtung)
Von Claus Wolfschlag
Während der 70er und 80er Jahre geisterten regelmäßig Warnrufe von Pädagogen oder Polit-Lobbyisten durch den Blätterwald, nach denen die deutschen Schüler viel zu geringe Kenntnisse über die NS-Zeit besäßen. Wieviel Kenntnisse Jugendliche von Karl dem Großen oder Bismarck hatten, wurde dabei nie gefragt oder in Relation gesetzt.
Schon damals wirkten die Kassandra-Rufe penetrant und angestaubt. Sie kamen primär aus der Alt-68er-Ecke und somit sei einmal entlastend in Erwägung gezogen, daß das Bewußtsein jener Wissenschaftler und Meinungsforscher schlicht in ihrem Heimatkundeunterricht der 50er Jahre steckengeblieben sein mochte. Mittlerweile sind die Warnrufe aus dieser Ecke weitgehend verstummt, allzu peinlich und weltfremd wäre es heute wohl, mangelnde NS-Aufarbeitung ausgerechnet dem Schulunterricht noch anlasten zu wollen.
http://www.sezession.de/12361/das-bewaeltigende-klassenzimmer-teil-1-sichtung.html

Das bewältigende Klassenzimmer (Teil 2: Schlußfolgerung)
Von Claus Wolfschlag
Woher rührt der Drang nach solchermaßen forcierter Vergangenheitsbewältigung im Klassenzimmer, wie ich sie exemplarisch am Projektplan des Kölner Maximilian-Kolbe-Gymnasiums (mkg) veranschaulichen konnte? Welche Interessen werden da vertreten? Was reitet das pädagogische Personal?
http://www.sezession.de/12364/das-bewaeltigende-klassenzimmer-teil-2-schlussfolgerung.html#more-12364

CDU ...
Lammert will mehr Migranten einbürgern
Auch der Bundestagspräsident Dr. Norbert Lammert (CDU) wirbt jetzt fleißig bei Migranten um deren Einbürgerung: „Unser Problem in Deutschland ist nicht eine zu hohe Zuwanderung, sondern die zu geringe Einbürgerung.“
http://www.pi-news.net/2010/02/lammert-will-mehr-migranten-einbuergern/

München: Türke verlangt Wegezoll
Die multikulturelle Bereicherung ist schon weit fortgeschritten. Wegezoll verlangte jetzt in München-Ramersdorf ein Türke von einem deutschen Nachtbummler, die gebotenen zehn Euro waren ihm aber zu wenig. Er drohte mit der Tötung seines Opfers und nahm die ganze Geldbörse.
http://www.pi-news.net/2010/02/muenchen-tuerke-verlangt-wegezoll/

Hamburg
Fahndung nach Bus-Schlägern mit Video-Bildern
Wegen einer Lappalie haben zwei junge Männer einen Fahrgast in der Hamburger Linienbus halbtot geschlagen: Ein 19jähriger hatte sich über die laute Musik beschwert, woraufhin die Schläger den jungen Mann lebensgefährlich verletzten. Jetzt sucht die Polizei die Täter mit Bildern der Überwachungskamera.
http://www.welt.de/vermischtes/article6429328/Fahndung-nach-Bus-Schlaegern-mit-Video-Bildern.html

Verdächtige stellen sich nach Attacke in Hamburger Linienbus
Nach dem lebensgefährlichen Angriff von zwei jungen Männern auf einen 19jährigen in einem Hamburger Linienbus haben sich die beiden Verdächtigen der Polizei gestellt.
http://portal.gmx.net/de/themen/nachrichten/panorama/9899308-Hamburg-Angreifer-stellen-sich-der-Polizei.html#.00000002

Offenbach
Mit gezielten Schlägen und Tritten wehrte sich ein 31jähriger Mann aus Obertshausen
Opfer hatte schlagende Argumente
http://www.op-online.de/nachrichten/offenbach/opfer-hatte-schlagende-argumente-633313.html

„Südländer“ jagen Punks
Punks fühlen sich politisch für gewöhnlich am linken Rand zuhause, sind im „Kampf gegen Rechts“ ganz vorn dabei. Und weil es gut tut, sich andere vorzustellen, die noch weiter unten sind als man selber, fühlen sie sich besonders berufen, angeblich verfolgte Südländer vor bösen Deutschen zu schützen. Pech, daß die das nicht immer zu würdigen wissen. Einige Südländer in Hildesheim betrachten die Angelegenheit offenbar wenig differenziert.
http://www.pi-news.net/2010/02/suedlaender-jagen-punks/#more-118235

Offenbach/Darmstadt
Fußballprügel-Prozeß: Landgericht bestätigt Urteil
Jugendliche 27 Monate nach der Tat bestraft
http://www.op-online.de/nachrichten/offenbach/fussball-pruegel-prozess-jugendliche-bestraft-627167.html

Hier nochmals der Hintergrund:
http://www.op-online.de/nachrichten/offenbach/gedaechtnisdunkel-gasse-347082.html

TV-Kritik: „Alt geworden in der Fremde“
Zufällig stieß ich am Sonntagabend auf eine Sendung von BR Alpha mit dem Titel „Alt geworden in der Fremde – Muslime in Deutschland“, dieser Titel machte mich neugierig. Schon nach wenigen Augenblicken wurde mir klar, um was es in dieser Sendung geht: Die Muslime stellen Forderungen, die von bösen Deutschen jedoch nicht erfüllt werden.
http://www.pi-news.net/2010/02/tv-kritik-alt-geworden-in-der-fremde/#more-119016

BNP öffnet sich für Einwanderer
LONDON. Die rechte British National Party hat beschlossen, künftig auch Farbige aufzunehmen. Mit diesem Beschluß eines Sonderparteitages entgeht die Partei einer Klage durch die Kommission für Gleichberechtigung und Menschenrechte (EHRC). Diese hatte die bisherige Parteisatzung als nicht vereinbar mit dem britischen Anti-Diskriminierungsgesetz bewertet.
Neben einer möglichen Haftstrafe für Parteichef Nick Griffin hätten die Prozeßkosten die Partei finanziell ruinieren können. Griffin erklärte in einem Rundschreiben, daß man sich jedoch weiterhin für die einheimischen Briten einsetze. „Wir werden uns weiterhin zum Recht der ethnischen Briten bekennen, als ein ethnisches Volk mit allen gültigen Rechten anerkannt zu werden.“
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M51131ae2714.0.html

Udo Ulfkotte
Ethnische Europäer: Menschen zweiter Klasse
http://info.kopp-verlag.de/nc/news/ethnische-europaeer-menschen-zweiter-klasse.html

Debatte um Islamkritiker
Im Zweifel für den Populisten
Aus Den Haag berichtet Henryk M. Broder
Für manche ist er ein Freiheitskämpfer, für andere ein Haßprediger: Geert Wilders steht in den Niederlanden wegen Volksverhetzung vor Gericht. Ein peinlicher Prozeß, der die zentrale Frage unbeantwortet läßt: Warum sollte eine demokratische Gesellschaft eine Meinung bestrafen?
http://www.spiegel.de/kultur/gesellschaft/0,1518,678451,00.html

Italien
Mailänder Migranten liefern sich blutige Kämpfe
In einem überwiegend von Einwanderern bewohnten Viertel von Mailand ist es zu schweren Auseinandersetzungen gekommen. Auslöser war die Ermordung eines jungen Ägypters, der offenbar von einem Lateinamerikaner niedergestochen wurde.
http://www.spiegel.de/panorama/justiz/0,1518,677775,00.html#ref=nldt

Tod eines jungen Ägypters
Mailands Immigranten-Viertel wird zum Pulverfaß
Von Martin Zöller
Dutzende Einwanderer aus Nordafrika warfen Fensterscheiben ein und Autos um. Ausgelöst wurden die schweren Ausschreitungen in Mailand durch einen Mord an einem jungen Ägypter. Kritiker der Regierung beklagen nach den heftigen Unruhen jetzt eine verfehlte Einwanderungspolitik.
http://www.welt.de/politik/ausland/article6410433/Mailands-Immigranten-Viertel-wird-zum-Pulverfass.html

Das kann auch noch auf uns zukommmen ...
Eigene Partei
Bushido will Bürgermeister von Berlin werden
http://www.augsburger-allgemeine.de/Home/Nachrichten/Aus-aller-Welt/Artikel,-Bushido-will-Buergermeister-von-Berlin-werden-_arid,2073495_regid,2_puid,2_pageid,4293.html
http://www.gala.de/stars/ticker/BSBS95600/Bushido-plant-eigene-Partei.html

Bushido
„Du hast theoretisch einen Mord frei“
Rapper Bushido vergleicht Jugendstrafanstalten in Deutschland mit einem Jugendclub. Allgemein hätten die Strafen für Verbrechen wie Diebstahl oder Mord keine abschreckende Wirkung.
http://www.focus.de/panorama/boulevard/bushido-du-hast-theoretisch-einen-mord-frei_aid_477985.html

Mit Hegiss hat die Stadt ein Projekt geschaffen, das auch dem DFB und Mercedes gefällt
Dietzenbach erhält Integrationspreis
http://www.op-online.de/nachrichten/dietzenbach/dietzenbach-erhaelt-integrationspreis-634644.html

Tag der Muttersprache:
1.000 Gründe für die deutsche Sprache gesucht
Erlangen, 19. Februar 2010 – „1.000 Gründe für die deutsche Sprache“ will die DEUTSCHE SPRACHWELT mit vereinten Kräften zusammentragen. Anläßlich des Internationalen Tags der Muttersprache am 21. Februar stellte die Sprachzeitschrift heute ihre Aktion vor. Ziel ist es, ein Zeichen gegen die Verdrängung der deutschen Sprache zu setzen und das Bewußtsein für den Wert der Muttersprache zu fördern, erklärte Chefredakteur Thomas Paulwitz.
Die DEUTSCHE SPRACHWELT ruft deswegen alle Freunde der deutschen Sprache auf, ihre Zuneigung zur deutschen Sprache zu begründen und den Satz „Ich mag die deutsche Sprache, weil .“ zu ergänzen. Über einhundert Gründe hat die Sprachzeitung bereits mit Hilfe ihrer Leser gesammelt und ins Netz gestellt. Wer will, kann die Bekundung seiner Sympathie für Deutsch über ein Eingabeformular an die DEUTSCHE SPRACHWELT senden. Die Sprachzeitung veröffentlicht die Gründe dann auf einer eigenen Netzseite, die sie fortlaufend ergänzt.
http://deutschesprachwelt.de/berichte/pm-2010-02-19.shtml
http://www.deutsche-sprachwelt.de/forum/1000.shtml

Anglizismen
Nie wieder „Kiss & Ride“ mit der Deutschen Bahn
http://www.zeit.de/wirtschaft/unternehmen/2010-02/deutsche-bahn-anglizismen

Wieder mal Abrisse für ein Einkaufszentrum ...
Leipzig
Abbruch in der Henricistraße: Nach zehn Jahren droht Lindenau doch noch ein überdimensioniertes Einkaufs-Center
http://www.l-iz.de/Politik/Brennpunkt/2010/02/Abbruch-Henricistrasse-Lindenau-Einkaufscenter.html

Bürgerwiderstand zahlt sich manchmal doch aus ...
Velbert
Denkmalschützer entscheiden
Die Villa Herminghaus bleibt
http://www.derwesten.de/staedte/velbert/Die-Villa-Herminghaus-bleibt-id2604814.html
http://www.derwesten.de/staedte/velbert/Buergerbegehren-geht-weiter-id2610487.html

Berlin Stadtentwicklung
Bauakademie darf auferstehen
http://www.taz.de/1/berlin/artikel/1/bauakademie-darf-auferstehen/

Eisiger Dauerfrost
Jetzt kämpfen selbst Wildschweine ums Überleben
Von Katharina Wiechers
Einen solchen Winter hat es seit Jahrzehnten nicht gegeben: Seit Wochen liegen große Teile Deutschlands unter einer dichten Schneedecke – hart und kompakt durch den Wechsel von Tauwetter und Minusgraden. Als Folge sind zahlreiche Wildtiere verhungert. Landkreise haben die sogenannte Notzeit ausgerufen.
http://www.welt.de/wissenschaft/umwelt/article6333255/Jetzt-kaempfen-selbst-Wildschweine-ums-Ueberleben.html

samedi, 27 février 2010

Maniobras militares conjuntas entre Turquia e Israel

Maniobras militares conjuntas entre Turquía e Israel

Finalmente el ministro turco de defensa, Vecdi Gonül mencionó que después de la crisis del octubre de 2009 en las relaciones de este país y el régimen sionista, el ejército de este régimen ha participado dos veces en maniobras celebradas en el territorio de Turquía. El gobierno turco el mes de octubre de 2009 anuló el programa de la celebración de entrenamientos militares conjuntos con el régimen sionista en protesta a los crímenes de este régimen en la franja de Gaza.

Pero Vecdi Gonül finalmente frente las preguntas de los diputados de diferentes partidos en el parlamento, confesó que una de estas maniobras fue celebrada de forma trilateral entre Turquía, el régimen sionista y Jordania el mes de noviembre de 2009 en Ankara y la segunda en mes de diciembre en la misma ciudad.

Esta confesión de Gonül tuvo amplios ecos en los medios noticieros turcos, de forma que el diario Vakit publicado en Turquía escribió que el ejército de este país sigue actuando de forma obstinado y no acata plenamente al gobierno de este país.


Esto significa que el ejército de Turquía al contrario que los políticos de este país, persigue sus intereses en relaciones con el régimen sionista.

Al mismo tiempo algunos analistas no rechazan la posibilidad de que teniendo en cuanta las relaciones estratégicas de Turquía y el régimen sionista, haya un acuerdo entre el ejercito y el gobierno de Turquía de forma que los mandatarios de este país tomen postura contra el régimen sionista con el fin de responder las reclamaciones de la opinión publica del país ante los crímenes de este régimen en Gaza, y por otro lado, el ejercito mantenga sus relaciones militares con el régimen sionista.

De forma que algunos medios noticieros de Turquía anunciaron la ejecución del acuerdo de varios millones de dólares de este país y el régimen sionista para la compra de aviones no tripulados Heron el mes de marzo.
Otro punto de vista es que el ejército del régimen sionista, con el fin de destruir la posición y lugar del primer ministro de Turquía, Recep Tayyip Erdogan y separar este país del mundo islámico, insiste en mantener relaciones militares con Turquía.

Después de la fuerte disputa verbal el año pasado entre Erdogan y Simon Pérez, presidente del régimen sionista al margen del foro de Davos, los políticos israelíes incluso calificaron a Erdogan de anti judío.
Mientras tanto dirigente del partido Kadima del régimen sionista, Tzipi Livni, dijo de forma explicita que Turquía debe elegir entre el mundo islámico e Israel.

Parece que el Partido Republicano del Pueblo de Turquía como mas grande partido de oposición en el parlamento, teniendo en cuenta la sensibilidad de la opinión publica de la población musulmana de Turquía a la forma de la relación de su país con este régimen, intenta llevar bajo la tela de juicio la actuación del gobierno dirigido por Erdogan y aprovechar de ello a su favor en las próximas elecciones generales.

Extraído de IRIB.

~ por LaBanderaNegra en Febrero 20, 2010.

Entrevista al ex-ministro iraqui del petroleo Issam al-Chalabi

Entrevista al ex-ministro iraquí del petróleo Issam al-Chalabi

“La UE está tirando millones de euros a la basura en proyectos imaginarios”

En el informe de mayo de 2001, titulado “Cheney Energy Task Force”, el ex vicepresidente estadounidense Dick Cheney, explicó abiertamente que el objetivo de la política estadounidense en Iraq, era “[…] abrir áreas del sector energético iraquí a la inversión extranjera”. Una nueva ley del petróleo, propuesta por el gobierno estadounidense y las grandes compañías petroleras, sería el marco “legal” para la venta del petróleo iraquí.

Sin embargo, a pesar de los siete años de ocupación no han conseguido la aprobación de una nueva ley del petróleo. El régimen clientelista iraquí la aprobó, pero no el Parlamento. Pero ni al consejo de gobierno ni a las grandes compañías parece preocuparles por lo que han decidido seguir adelante con dos ventas públicas llevadas a cabo en junio y diciembre de 2009. La mayoría de las reservas confirmadas de Iraq fueron regaladas en forma de contratos de servicio a las compañías extranjeras debilitando y menospreciando de este modo el papel de la nación, que antes de 1972 se había fortalecido gracias a los decretos de nacionalización de las compañías extranjeras del petróleo.


Sigyn Meyer [P]: ¿Podría por favor, comentarnos los resultados de estos acuerdos y la naturaleza de los contratos que firmaron? La duración de los mismos parece un término excesivamente largo, de 20 a 25 años, para contratos de servicios técnicos.

Issam al-Chalabi [R]: Los contratos no se han dado a conocer ni siquiera al Parlamento iraquí, por lo que los detalles exactos se desconocen, no obstante se sabe que su duración es de 20 años, ampliable a otros cinco más. A pesar de que la denominación de los contratos es de “servicios” muchos lo dudamos. Hay un refrán que dice: “el demonio se oculta en los detalles”. Iraq, ciertamente perderá su capacidad para tomar decisiones acordes a los intereses nacionales.

[P]: ¿Qué nos puede decir sobre la legalidad y la transparencia de esos contratos? Parece que al menos el contrato de Rumaila ha sido impugnado ante los tribunales.

[R]: Desde que el actual gobierno fue incapaz de aprobar el proyecto de ley sobre petróleo y gas —debido a las diferencias con el gobierno regional del Kurdistán— decidió dar un paso más al declarar que podrían basar su política en anteriores leyes aprobadas en las décadas anteriores. Esas leyes especifican con términos muy claros que el desarrollo de las fuentes del petróleo se ha de realizar mediante la puesta en práctica de una política nacional, lo que significa que es la nación la que tiene que poner los medios y si fuera necesaria la intervención de una entidad extranjera, eso se haría estudiando caso por caso, mediante una ley que regularía específicamente cada caso. Eso está determinado por la ley 97 de 1967, en base a la cual se firmaron algunos contratos en 1968 y a principio de la década de 1970. Esta y otras leyes siguen en vigor, según el artículo 130 de la nueva constitución aprobada en 2005, la cual estipula que, a menos que se enmienden o deroguen, todas las leyes anteriores siguen en vigor. Sin embargo, el actual gobierno está saltándose el Parlamento y firmando contratos tras el acuerdo del gobierno, por lo tanto, todos esos contratos son ciertamente ilegales.

[P]: ¿Cuál es la relación entre el gobierno central y el gobierno regional del Kurdistán. Ellos afirman que les pertenece el petróleo de “su” parte de Iraq y por ello firman sus propios contratos de petróleo. Además se han producido escándalos como el de Peter Galbraith, que en Suecia ha pasado desapercibido casi por completo. ¿Puede darnos su opinión al respecto?

[R]: De acuerdo a todas las leyes en vigor, el petróleo y el gas de Iraq pertenecen a todos los iraquíes y puesto que el Parlamento central representa a los iraquíes y a falta de la nueva ley de petróleo y gas, esto significa que el Ministerio del Petróleo está autorizado para gestionar los asuntos del petróleo, por lo que las reivindicaciones y los actos del gobierno regional del Kurdistán y todos los acuerdos y contratos firmados por ellos son completamente ilegales. Por este mismo motivo, todas las compañías que firmaron acuerdos con el gobierno regional del Kurdistán, como la DNO de Noruega, son completamente responsables y tendrán que asumir las consecuencias.

Ha quedado demostrado que Peter Galbrith, ex embajador estadounidense y asesor del gobierno regional del Kurdistán, quien jugó un papel esencial en la formulación de la constitución de 2005 y más tarde en la redacción del proyecto de ley de petróleo y gas (sin aprobar todavía), recibió al menos un 5% del contrato firmado por la DNO. Actualmente el asunto está siendo investigado por los tribunales. En este asunto también han aparecido nombres de algunos altos cargos del gobierno regional kurdo.

[P]: El gobierno iraquí y las empresas hablan sobre una fabulosa producción de petróleo y que las exportaciones aumentarán en muy poco tiempo. Usted que conoce bien las infraestructuras petroleras de Iraq, ¿qué opina de estas afirmaciones?

[R]: El ministro de Petróleo habla sobre el incremento de la producción hasta alrededor de los 12 millones de barriles al día, pero admite que no se espera que Iraq exporte tanto puesto que el mercado no absorberá tales incrementos. Por tanto, para empezar, Iraq tendrá que pagar a las compañías por el coste de la capacidad adicional de seis millones de barriles al día que no se pueden utilizar y eso dando por sentado que Iraq pueda exportar los otros seis millones de barriles al día.

Muchos expertos iraquíes, entre ellos altos cargos del ministerio dudan de la capacidad de esos campos de petróleo para alcanzar los aumentos prometidos.

Voy a poner un ejemplo: Iraq actualmente produce alrededor de un millón de barriles de petróleo de los campos de petróleo del sur y del norte de Rumaila y en las ofertas y en las concesiones el Ministerio no espera que la producción supere los 1,7 millones de barriles al día como máximo de su capacidad sostenible. Las compañías adjudicatarias, la BP de Reino Unido y la CNPC de China, se comprometieron a 2,85 millones de barriles al día, cifra similar a la producción de otros campos adjudicados. Otra cuestión es que esas compañías se comprometen a incrementar la producción actual en un 10 por ciento (alrededor de 2,4 millones de barriles al día en 2009), por lo que no se espera un gran incremento de la producción hasta dentro de seis o siete años como poco. Además, Iraq es incapaz de llevar su capacidad exportadora hasta los 12 millones de barriles al día. Actualmente la cifra está en 1,5 millones de barriles exportados a través del Golfo en el Sur y en 700 millones de barriles exportados a través de Turquía.

[P]: Halliburton, KEB y otras compañías estadounidenses, conocidas por su corrupción y precios inflados, participan en la carrera por conseguir la bonanza del petróleo iraquí. Estos que se benefician de la guerra, y que ya han ganado fortunas en Iraq, ahora obtendrán nuevas fortunas con la reconstrucción. Ni siquiera parece que tengan que negociar porque obtienen subcontratas de las compañías petroleras. Se introducen subrepticiamente en ellas. ¿Qué opina sobre esto y quién va a pagar esas fabulosas sumas?

[R]: Todos los gastos en los que incurran las compañías petroleras serán pagados por Iraq, empezando por el día en el que las compañías petroleras alcancen el 10 por ciento. Sí, ciertamente las compañías petroleras insisten en contratar servicios a un precio muy superior al normal en función del tiempo y de las capacidades mencionadas, cuando Iraq lo podría hacer mucho más barato aunque la verdad es que tardaría más tiempo, pero como he dicho antes la mayoría de los [supuestos] incrementos adicionales serán nulos.

[P]: Europa también ha puesto los ojos en Iraq. “Iraq representa un nexo fundamental para la seguridad energética” ha dicho Andris Piebalgs, comisario para la energía de la Unión Europea, quien en enero firmó con Hussain al-Shahristani, actual ministro del petróleo iraquí, el memorando de entendimiento en Bagdad. Iraq, con las terceras reservas de petróleo del mundo, ya es un importante proveedor de petróleo y puede convertirse en un proveedor clave de gas para el corredor Sur, afirmó Piebalgs. David Cameron, el líder británico tory, afirmó recientemente en Chatham House que “[…] la OTAN, tiene que desarrollar, de forma ideológica y práctica, los conceptos de solidaridad y asistencia mutua en el contexto de la amenaza a la seguridad energética como parte de la operación de apuntalamiento de la seguridad [energética] colectiva en el siglo XXI”. Sin embargo, no se muestran tan entusiastas cuando se trata de condenar criminales de guerra. ¿Cómo ve usted el papel de la Unión Europea en Iraq?

[R]: Es muy poco práctico decir que el gas iraquí llegará a Europa. El último acuerdo entre la Unión Europea e Iraq no se llevará a cabo sencillamente porque no hay suficiente gas en Iraq y el que está disponible apenas es suficiente para el consumo local en Iraq. La Unión Europea está tirando a la basura millones de euros en proyectos imaginarios y empleando decenas de miles en sus agencias sin ver el beneficio real para los europeos cuyo dinero y cuyos impuestos se están despilfarrando. La Unión europea sigue las políticas estadunidenses en el mundo, lo que incluye Iraq y Afganistán.

[P]: Recientemente Irán envió soldados para ocupar el campo de petróleo de Fakka en el lado iraquí de la frontera con Irán, ¿qué opina al respecto?

[R]: Los iraníes afirman que las fronteras no están claramente definidas, lo que es absolutamente falso. Las fronteras se definieron en el Acuerdo de Argel de 1975 y según éste, las fronteras se definieron en los mapas y en el memorando de acuerdo final, que incluía especificaciones de los límites y los ministros de exteriores firmaron las coordenadas de cada uno de los límites establecidos. Fueron los iraníes quienes depositaron las copias de esos acuerdos, en inglés y en francés, en la sede de Naciones Unidas en 1976.

Los iraníes ocuparon el pozo número cuatro y tras multitudinarias manifestaciones contra los actuales dirigentes iraquíes conocidos por su lealtad a Irán, éste último retiró a los soldados del pozo pero los dejó dentro de las fronteras iraquíes. Este campo de petróleo es totalmente iraquí y está dentro de las fronteras iraquíes. Este es un ejemplo de las intenciones de Irán y de la interferencia de Irán en asuntos iraquíes.

[P]: Una gran publicación industrial sueca, “Dagens industria”, afirmó el 15 de enero que “Iraq destaca entre los países productores”. Los contratos han sido ejemplares porque predicen que puede ser posible producir mucho más petróleo de lo que puedan bajar los precios, al menos durante un par de años. “Quienes creen en una carencia de petróleo en los próximos diez años, tienen desde luego que asegurarse el suministro”.

[R]: Como he explicado antes, hay dudas legítimas sobre la posibilidad de que Iraq alcance tales niveles de producción, y eso sin tener en cuenta su capacidad para exportar. No podemos predecir correctamente los precios del petróleo mañana por lo tanto, ¡cómo hacerlo para los próximos siete años! Todas las declaraciones de las compañías internacionales de petróleo son engaños para el público y para justificar sus propios gastos y beneficios.

[P]: El mundo entero tiene puestos los ojos en el petróleo iraquí. Hay una lucha feroz en marcha, no solo Estados Unidos y las empresas occidentales compiten, sino que además algún Estado y algunas empresas privadas de países emergentes, como China, con importancia creciente importancia en el mundo de los negocios y con creciente necesidad energética. ¿Cuál es su consideración al respecto?

[R]: Lo que es importante para Estados Unidos, y para el libre comercio, es despojar a los pueblos y a las empresas nacionales petroleras el control sobre el petróleo y lo que no es tan importante es qué empresa internacional en concreto lo controla porque todas tienen los mismos objetivos. Además, parece que todo el mundo lucha por su trozo de pastel.

Sigyn Meder

Traducido por Paloma Valverde, extraído de Rebelión.

~ por LaBanderaNegra en Febrero 21, 2010.

Chile y la formacion de su Esrtado-Nacion

ModifChili.jpgChile y la formación de su Estado-nación

 

                                                                                 Alberto Buela (*)

 

Luego de la derrota española en la definitiva batalla de Maipú el 5 de abril de 1818, los vencedores, las fuerza criollas, se enfrentaron con el problema de la organización del territorio que tenía un sistema colonial de gobierno. Había que establecer un modelo político nuevo, una organización administrativa que lograse reemplazar la antigua administración. De modo tal que se produjo un doble quiebre, como sucedió en toda Nuestra América: a) un quiebre político, el reemplazo de una administración y un régimen, el de la monarquía por la república. Y b) un quiebre de la identidad subjetiva de la nación, no más españoles americanos sino simplemente americanos (ideal de Bolivar y San Martín) o chilenos, paraguayos, argentinos, etc. (ideal del nacionalismo de patria chica) que fue lo que realmente sucedió.

 

La función de construir un Estado-nación propio va a ir emparejada a la importancia que adquieren las armas, así se va cumplir aquí el adagio de Clausewich: la guerra es la continuación de la política por otros medios. En el caso de Chile, a la guerra de la Independencia continuarán Portales y la batalla de Lircay, la guerra contra la confederación peruano-boliviana y la guerra civil de 1851.

 

Es que a partir de 1818 la unidad política alrededor del Estado-nación se va a tornar confusa e inestable y así lo que establecía O´Higgins, lo derribaba Freire y aquello que sostenía éste, lo volteaba Pinto. En realidad, ellos eran obstáculos a la integración en un orden nacional. Es que el caudillismo y los intereses locales eran divergentes. Así O´Higgins se enfrenta a los terratenientes, quienes eran representados por Freire. Fracasa en Chile el proyecto federalista. Y se impone luego de la derrota de Freire en la batalla de  Lircay en 1830, el unitarismo del régimen portaliano, que no fue otra cosa que la síntesis entre la espada y la civilidad. Los dos autores más significativos en esta tema; el ensayista e historiador Alberto Edwards Bello (1874-1932) en su libro La Fronda aristocrática y el historiador Mario Góngora (1915-1985) en su libro Ensayo histórico sobre la noción de Estado en Chile en los siglo XIX y XX  van a respaldar con sus investigaciones esta tesis.

 

A partir de 1830 surge un gobierno fuerte pero extraño al militarismo de los tiempos de la independencia, que proclama la Constitución de 1833  sosteniendo que Chile es una república democrática y representativa, pero que al carecer de tradición republicana debe ser gobernada autoritariamente. Y Diego Portales es el principal resorte de ese régimen aun cuando no sea el presidente.

Aparece entonces en el horizonte político chileno la Confederación peruano-boliviana que “siempre serán más que Chile en todo orden  Y que “debemos dominar para siempre el Pacífico”  según Portales, por lo tanto, “guerra a la Confederación que debe desaparecer”.

Sin embargo, Portales es asesinado en Cerro Barón y el propósito de los conspiradores, detener la guerra contra el cholo Santa Cruz no sólo no se cumplió sino que de impopular, la guerra se transformó en una causa nacional.

Con el triunfo del general Bulnes triunfador de Yungay en 1841 y su posterior asunción a la presidencia de la República se consolida definitivamente el Estado-nación chileno en donde la “institucionalidad portaliana” reemplazó definitivamente al antiguo “caudillaje”.

 

 

(*) arkegueta, aprendiz constante, mejor que filósofo

alberto.buela@gmail.com

Casilla 3198 (1000) Buenos Aires

 

vendredi, 26 février 2010

Cinco paises pediran a Washington que retire su arsenal atomico de Europa

Cinco países pedirán a Washington que retire su arsenal atómico de Europa

Alemania, Bélgica, Holanda, Luxemburgo y Noruega

Alemania, Bélgica, Holanda, Luxemburgo y Noruega van a pedir de forma conjunta a Estados Unidos la retirada de todas las armas nucleares que el Pentágono mantiene en suelo europeo. Así lo anunció este viernes el primer ministro belga, Ives Leterme.

Los cinco socios de la OTAN tienen previsto presentar esa iniciativa en el marco de la revisión del concepto estratégico de la Alianza Atlántica, explicó el mandatario en un breve comunicado: “Bélgica está a favor de un mundo sin armas nucleares y defiende esta postura en el seno de la OTAN en preparación de la conferencia de revisión del Tratado de no proliferación de mayo en Nueva York”.

Según Leterme, “los avances concretos sólo serán posibles a través de una concertación seria con los socios de la OTAN y teniendo en cuenta los progresos en las negociaciones en el campo del desarme”. El primer ministro aseguró que su Gobierno “quiere aprovechar la oportunidad brindada por el llamamiento del presidente Barack Obama a un mundo sin armas nucleares”, añadió.


El comunicado de Leterme es una respuesta al mensaje de dos antiguos primeros ministros belgas, Guy Verhofstadt y Jean-Luc Dehaene, y dos ex responsables de exteriores, Willy Claes y Louis Michel, publicado este viernes en la prensa. En él, los cuatro urgen a la retirada del arsenal atómico estadounidense en Europa y aseguran que éste “ha perdido toda su importancia militar”. “La Guerra Fría ha terminado. Es el momento de adaptar nuestra política nuclear a las nuevas circunstancias”, señalan los cuatro políticos.

Extraído de Radio Mundial.

~ por LaBanderaNegra en Febrero 20, 2010.

Nabucco con futuro incierto por falta de gas

Nabucco con futuro incierto por falta de gas

nabucco_pipeline_100.jpgProyectado por Europa para reducir la dependencia energética de Rusia, el gasoducto Nabucco en la región del mar Caspio está lejos aún de materializarse a causa de la escasez de carburante, afirmó hoy un experto europeo.

Para Alexander Rahr, especialista del Consejo Alemán en asuntos energéticos y los países de la Comunidad de Estados Independientes, el proyecto ideado por Estados Unidos y la Unión Europea tropieza con muchos obstáculos y el principal es la falta de gas a fin de garantizar el trasiego en los plazos previstos.

Dijo que las fuentes no podrán llenar las tuberías como se creyó y sencillamente Nabucco no tiene hoy gas disponible.


Azerbaiyán, según el experto, parece ser la única alternativa posible para el del trasiego del carburante hacia Europa, aunque recordó los grandes volúmenes de combustible azul vendidos por ese país a Rusia y a Irán.

En Occidente están esperanzados en completar las necesidades con el gas proveniente de Iraq, pero la situación de inestabilidad del país árabe pone en duda que pueda ingresar al mercado europeo, sostuvo el analista alemán.

Otro de los proveedores importantes de gas en Asia Central es Turkmenistán, que vende casi todo el carburante a Rusia y a China; además de haberse comprometido con Moscú en la construcción de un gasoducto en el Caspio para diversificar las rutas energéticas hacia Europa.

Nabucco se ha visto en un callejón sin salida porque Rusia actuó con habilidad al convencer a varios estados balcánicos de unirse al proyecto South Stream (Corriente Sur), otra de las variantes alternativas, puntualizó Rahr.

Considerado clave para la geopolítica energética de Estados Unidos y de la UE en Asia Central y la zona del Caspio, el proyecto involucra a Azerbaiyán, Bulgaria, Georgia, Hungría, Rumania y Turquía, junto a Austria, donde terminaría uno de los ramales.

El director general de esta obra, Reinhard Mitchek, aseguró recientemente que Nabucco comenzará a operar en 2014.

A un costo estimado de 7 mil 9 millones de dólares, se espera que el gasoducto bombee 31 mil millones de metros cúbicos de gas anuales desde la estación primaria en la ciudad turca de Erzurum.

Bautizada por sus iniciadores como la ruta transcaspia, Nabucco fue diseñado para acabar con el monopolio de Rusia en la exportación de hidrocarburos a Europa y controlar las principales fuentes de materia prima en Asia Central.

Extraído de Prensa Latina.

~ por LaBanderaNegra en Febrero 23, 2010.

Stillgestanden, Pappkameraden: Europäische Armeen verkommen zu militärischen Pleitegeiern

Stillgestanden, Pappkameraden: Europäische Armeen verkommen zu militärischen Pleitegeiern

Udo Ulfkotte / http://info.kopp-verlag.de/

Europäische Armeen waren einmal wehrhaft. Sie wurden aufgestellt, um jederzeit Land und Bürger zu verteidigen. Doch verweichlichte Politiker haben aus europäischen Demokratien Bananenrepubliken gemacht. Und aus den europäischen Armeen arme Pappkameraden. Für Verteidigung ist kein Geld mehr da. Denn Feinde sind aus der Sicht unserer Politiker ja inzwischen zu angeblichen »Kulturbereicherern« mutiert. Jeder Böswillige wird als »kulturelle Bereicherung« hofiert. Und so wächst das innere Aggressionspotenzial in den europäischen Bananenrepubliken unaufhaltsam. Die Folge des Geldmangels der Armeen: Die Schweizer haben inzwischen nur noch Medikamenten-Attrappen in den Sanitätszelten. Und die Bundeswehr hat für das ganze Jahr 2010 keinen Schuss Munition mehr für das Standardgewehr G36. Ein Bundeswehreinsatz im Innern wäre 2010 deshalb wohl eher eine satirische Lachnummer.

spielzeug_musik_g.jpgAm 26. Januar wurde auf dem Schweizer Infanterie-Gebirgsschiessplatz Rothenthurm-Altmatt ein Soldat durch eine explodierende Handgranate schwer verletzt. Doch statt – wie geschehen – die Sanitätskompanie-7 zu Hilfe zu rufen, hätte man besser sofort das nächste Krankenhaus und einen Notarzt informiert. Wegen der Finanznot der Armee verfügen Schweizer Sanitäter nur noch über Medikamenten-Attrappen. Dem vor Schmerzen stöhnenden Opfer, das in Beinen, Brust und Bauch Granatsplitter hatte, konnten die Armee-Sanitäter nur eine einfache Infusion mit einer Salzlösung anbieten. Inzwischen gehören nicht einmal mehr Schmerzmittel bei Wehrübungen zur Grundausstattung Schweizer Sanitäter. Das Opfer wurde in einer Notoperation in einer privaten Klinik gerettet.

Bei der deutschen Bundeswehr sieht es nicht besser aus: Sie gibt zwar Milliarden für neue Rüstungsgroßprojekte aus, kann aber den Soldaten nicht einmal mehr die einfachsten Patronen aushändigen. Der Etat für Handfeuerwaffen der Bundeswehr ist schon jetzt für das komplette Jahr 2010 aufgebraucht. Es wurden bislang 30 Millionen Patronen des Typ 5,65 Millimeter Doppelkern (für das G36) verschossen. Das Verteidigungsministerium sucht nun einen Sponsor, der deutschen Soldaten 31,2 Millionen Euro für den Munitionsbedarf bis Ende 2010 zur Verfügung stellt. Auch wenn sich morgen ein Geldgeber finden würde, hilft das nicht sofort weiter: Die Lieferzeit für die Munition beträgt derzeit mehr als ein halbes Jahr. Wenn deutsche Politiker also über einen Bundeswehreinsatz im Innern fabulieren, dann ist das vor diesem Hintergrund eine Satire erster Klasse.

 

Mittwoch, 17.02.2010

Kategorie: Allgemeines, Enthüllungen, Wirtschaft & Finanzen, Politik

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El Estado iberoamericano entre 1810 a 1850

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El Estado iberoamericano entre 1810 a 1850

 

Alberto BUELA

 

Cuando se produce el movimiento independentista americano alrededor de 1810 a propósito de la invasión napoleónica a España la única institución del poder político colonial que queda en pie y la que sirve al la transición de la monarquía a la república como forma de gobierno en América es el cabildo. Específicamente los cabildos locales con sus juntas ejecutivas. Hay que recordar siempre que los cabildos eran las únicas instituciones coloniales donde tenía cabida mayoritariamente el elemento criollo.

Mucho se ha escrito acerca de la independencia de los países americanos en el sentido si fue verdaderamente un movimiento que produjo la independencia deseada o, más bien, si nos enfeudó a Inglaterra, y en menor medida a Francia y Holanda, que terminaron por explotar a la América Criolla durante todo el siglo XIX y la primera mitad del siglo XX, de un modo más sutil pero más profundo del que lo hiciera España.

Pero el objeto de este trabajo no son las valoraciones político-económicas y culturales sino institucionales, en la forma más neutral que nos sea posible.

América, como dijimos, hereda de España el sistema de municipios y cabildos que acá son transformados en verdaderos foros de participación ciudadana y, más específicamente, criolla. Este régimen le da un todo a la organización política de toda Nuestra América, como gustaba decir José Martí.

La superestructura estatal no nace sino después de producido el deterioro del régimen municipal y de cabildos. Es por esto que con justa razón afirma Ernesto Quesada, el fundador de la sociología argentina: “que el federalismo argentino fue implantado artificialmente, por espíritu de imitación de los Estados Unidos, por Sarmiento que contribuyó a popularizar el error, afirmando – con el soberbio dogmatismo que lo caracterizó y tras el cual ocultaba magistralmente el vacío, a veces profundo, de su educación autodidacta y enemiga de las investigaciones penosas- que hay un vicio de juicio entre nosotros en materia de organización política” [1]

En el fondo todo el período de las guerras civiles en América no es otra cosa, desde el punto de vista institucional, que el amor tradicional a la descentralización administrativa por parte de las provincias y las fuerzas criollas enfrentadas al centralismo administrativo de los ilustrados citadinos y afrancesados, habitantes de las ciudades capitales.

Se impuso, finalmente, en todos nuestros países, el centralismo administrativo del “nacionalismo de patria chica” como lo fue el mitrismo en Argentina, por sobre el “nacionalismo de patria grande”, de las fuerzas populares y criollas del interior de nuestros países.

La gran anfibología institución al respecto se produce cuando la idea federal, que aunque el nombre sea moderno, estaba en la vida colonial por la naturaleza de las cosas, es adoptada por el centralismo administrativo de influencia francesa – Francia representa la quintaesencia del centralismo administrativo- y es interpretada como idea unitaria. De ahí que la mayoría de nuestros países hispanoamericanos (Bolivia era la excepción con su antigua constitución) declaren en sus respectivas constituciones el carácter de federales, pero sean en la práctica y de hecho “unitarias” por el peso absoluto que posee la capitalidad de cada uno de nuestros países. Repetimos la idea federal es interpretada en América como idea unitaria.

 

Así, a partir de mediados del siglo XIX se van estableciendo las distintas constituciones que fijan la forma de nuestros actuales Estados.

Esta latente y no resuelta contradicción entre estas dos tradiciones de pensamiento. La nacional y popular por un lado y la ilustrada y europeizante por el otro, ha dado lugar a la secuencia y sucesión de “revoluciones latinoamericanas” del siglo XX. Viene así a cuento, una vez más, la afirmación del gran polítólogo boliviano, teórico del MNR, don Carlos Montenegro: “debajo de la delgada capa de tierra del orden republicano yace la insobornable existencia del orden hispanoamericano”. Orden que se manifiesta en la primacía de la ecuación Nación-pueblo por sobre la de Estado-nación propia del Estado liberal-burgués de la Europa ilustrada. Es que somos entitativamente algo diverso y distinto de aquello que hemos adoptado para representarnos.

 

Y así, y esto es significativo a tener en cuenta, mientras el nacionalismo europeo se identifica con la idea de Estado-nación, el nacionalismo hispanoamericano tiende a identificarse con la idea de nación-pueblo., identificación que obedece a una doble exigencia histórica: a) a la integración étnica y cultural en la formación de nuestra identidad a través del mestizaje y b) el carácter revolucionario de nuestros propios pueblos expresado en la movilidad social y política que se da en Iberoamérica a diferencia de Europa.[2]

 

El Estado en Iberoamérica

 

Ante el fracaso rotundo del modelo neoliberal que desde hace ya una década se aplica en nuestro país, estamos obligados a proponer nuevos lineamientos para un modelo alternativo, y para ello debemos fijar previamente que entendemos por Estado-Nación su naturaleza, principios y fines específicos, dado que él es el marco de pertenencia a partir del cual adquieren sentido nuestras propuestas en los diferentes campos de acción pública.

 

Hoy asistimos a la crisis terminal del Estado-Nación, aquél a quien Max Weber reservaba el monopolio de la fuerza, pues ha sido superado por instancias mucho más poderosas. Conviene pues comenzar repensando la génesis, en nuestro caso americana, de dicho Estado para luego hablar de su naturaleza.

 

El Estado surge en Europa a partir de la nación mientras que, por el contrario, en Nuestra América el Estado crea la nación, pero la nación pequeña, Argentina, Bolivia, Chile, et alii. Así en Europa los movimientos lingüísticos y filosóficos de cepa romántica del siglo XVII aspiraban a formar estados nacionales. España es el primer Estado-Nación a partir de la unión de las naciones o reinos de Castilla y Aragón. Por el contrario, en América el movimiento se realizó a la inversa.

La finalidad de este Estado-nación americano, de carácter republicano y liberal creado a principios del siglo XIX,  será la creación de las naciones. Este Estado-nación tendrá por ideología el nacionalismo “de fronteras adentro”, expresión de los localismos más irreductibles encarnados por las oligarquías vernáculas, impermeables a una visión continental. Los Estados independizados de España como repúblicas llegan luego de devastadoras luchas civiles recién a finales del siglo XIX a transformase en naciones. De ahí que la expresión histórica por antonomasia de este nacionalismo localista, hijo putativo de Inglaterra, liberal en economía y conservador en política sea el “nacionalismo mitrista” argentino.

Los nacionalismos europeos fueron imaginados sobre una base étnica, lingüística y geográfica común en tanto que los nacionalismos americanos fueron, paradójicamente, producto de una voluntad ideológica ajena a América, la del Iluminismo filosófico. Siendo sus gestores políticos Gran Bretaña y su Secretario de Estado George Canning quien se apresuró en l825 en reconocer la independencia de los nuevos Estados, luego del triunfo de Ayacucho (1824) sobre el último ejercito realista.

Vemos pues, como estos nacionalismos de “patrias chicas” son europeos dependientes tanto en su génesis como en su contenido. Ello explica en gran parte su fracaso político reiterado. Carecen de encarnadura popular. Y son elitistas no por méritos propios, ya que carecen de nobles, sino porque su ideología conduce a la exclusión del otro.

Estos nacionalismos de invención europea surgidos ante la quiebra de la cristiandad a causa de la reforma protestante, “han venido a llenar el vacío dejado por el debilitamiento de la religión cristiana y el sentido de seguridad de los pueblos en un mundo secularizado”(13).Ello explica el hecho, aparentemente curioso, que la mayor parte de estos Estados-nación republicanos surgieron antes en América que en Europa. Porque  aquí se crearon Estados virtuales porque eran Estados sin naciones, lo que explica a su vez la carencia de soberanía nacional. Cambiamos el envase, las instituciones, sólo para pasar de un amo a otro, a Gran Bretaña en el siglo XIX y a los Estados Unidos en el siglo XX.

Este nacionalismo al ser un producto ideológico trasplantado desde Europa a América, carece en nosotros de genuinidad. Este nacionalismo es el que engendró las pocas guerras que tuvimos en Hispanoamérica. La guerra del Pacífico entre Perú, Chile y Bolivia(1879); la del Chaco entre Bolivia y Paraguay(1932/35); la de la Triple Alianza entre Brasil, Argentina y Uruguay por un lado y el Paraguay por el otro(1865-1870) donde al decir de Franz Josef Strauss “por primera vez en la modernidad el deseo del vencedor fue lograr una rendición incondicional - traducción moderna del clásico vae victis =¡ay! de los vencidos = la guerra de exterminio”- lo que condujo a un resultado abominable”(14).

 

La naturaleza de este Estado se concibió limitada a la normatividad jurídica y así se lo definió como la nación jurídicamente organizada siendo sus fines los propios del Estado liberal-burgués en tanto Estado-gendarme ocupado, fundamentalmente, de la seguridad de las personas y la propiedad. Fueron el radicalismo yrigoyenista, de facto, incorporando el principio de solidaridad ausente en dicho Estado  y el justicialismo, de juri, modificando la Constitución del 53, quienes intentaron cambiar su naturaleza para el ámbito argentino.

 

Nuestra actual propuesta alternativa se funda en una distinta concepción del Estado-nación.

En primer lugar porque preferimos hablar de Nación desde el punto de vista de “Patria Grande” y de “Nacionalismo Continental” y no de patria chica y nacionalismo chauvinista de fronteras adentro. Tenemos que volver a pensarnos como “americanos” tal como lo hicieron San Martín y Bolívar.

En segundo término porque pensamos el Estado no como una “sustancia ética” a la manera del fascismo, ni como “un gendarme” a la manera de liberalismo, ni como “la máquina de opresión de una clase sobre otra” según el marxismo, sino que el Estado es, para nosotros, un “plexo de relaciones”. En una palabra, sólo existe en sus aparatos.

El Estado, entonces, no tiene un ser en sí mismo sino en otro, en sus aparatos que son, antes que nada, instituciones ejecutivas. Así el Estado es un órgano de ejecución con sus distintos ministerios, secretarías y direcciones(15)

La sana teoría del Estado, nos dice que tiene dos principios fundamentales el de solidaridad (viene de soldum=consistente) que hace que todos los miembros se encuentren “soldados” entre sí. Es el principio de unidad de pertenencia- la gran tarea de Yrigoyen fue que las grandes masas de inmigrantes incorporaran en sí mismas, a la Argentina como propia -. Y el principio de subsidiariedad, por el cual el Estado “ayuda a hacer” al que no puede solo con sus fuerzas- la gran tarea del peronismo fue ayudar a la gran masa de trabajadores a organizarse social y políticamente en la defensa de sus intereses -. Siendo el fin del Estado el logro del bien común, entendido como la felicidad del pueblo y la grandeza de la nación.

 

Así pues, el Estado es un medio y no un fin en sí mismo. Y por el hecho de ser medio, debe ser tomado como tal. De modo que está de más toda polémica acerca de estatista o privatista. Ello está determinado por las diferentes y cambiantes circunstancias históricas y queda librado a la prudencia política de los gobernantes.

 

Ello nos obliga a distinguir claramente, con el fin de fijar una mínima ingeniería política, entre gobierno, Estado y cuerpos intermedios. Así la naturaleza del gobierno es concebir; fijar los fines. La del Estado, como se ha dicho, ejecutar y la de las organizaciones libres del pueblo, ser factores concurrentes en los aparatos del Estado que les sean específicos para condicionar, sugerir, presionar, interferir de manera tal que el gobierno haga las cosas lo mejor posible(16).

Resumiendo entonces el Estado en sí, es una entelequia, no existe. Lo que existen son sus aparatos, que como tales son medios o instrumentos que sirven como gestores al gobierno para el logro del bien común. Por el hecho de ser medios tienen su fin en otro, y este otro es la Nación como proyecto de vida histórico de una comunidad política. De ahí que un Estado solo pueda ser un Estado nacional  de lo contrario devendrá una nada de Estado.

 

 

Nota: Un párrafo aparte merece el tema de la crisis de representatividad de los partidos políticos, tema de una actualidad  insoslayable.

De todas maneras quisiera dejar la siguiente idea: Nuestra crítica a al sistema de partidos políticos tal como se da en  el estado demoliberal no encierra una crítica subrepticia a la democracia sino a la  degeneración que de ésta última realizan los partidos cuando monopolizan la vida política usufructuando del Estado para su propio beneficio. Nuestra crítica va dirigida a la partidocracia que es una clara degeneración de la democracia cuando se reduce a “juego de partidos”.

 

1.- Hoy tenemos como ejemplo el caso de Ponsombilandia, como denominaba al Uruguay ese patriota historiador oriental que fue Washington Reyes Abadie, donde la compañía finlandesa Botnia se muestra más poderosa que el Estado uruguayo y no tiene en cuenta el pedido del presidente de ese país para detener las obras de la papelera que seguramente contaminará las aguas del río homónimo.

2.- Los italianos denominaro lo Stato, que significa: lo que está ahí, al aparato de poder superpuesto artificiosamente, mecánicamente a la vida orgánica, natural y espontánea de la ciudad, de la antigua Comuna.

3.- Bodin, Jean: Six livres sur la République(1576)

4.- Locke, John: Ensayo sobre el gobierno civil, cap.VII

5.- Mussolini, Benito: El espíritu de la revolución fascista, Bs.As., 1984, cap.IV.-

6.- Lenín: Sobre el Estado, Pekín, 1975. p-11 y 25.-

7.- Gamsci, Antonio: Sobre el Estado moderno, Bs.As., 1984, p.161.-

8.- Lenín: op.cit. p.25.-

9.- Sampay, Arturo: Constitución nacional 1949, Bs.As., Ed. Pequén, 1983, pp.35 y 36.-

10.- Lenín: op. cit. p.1.-

11.- Maritain, Jacques: El hombre y el estado, Bs.As., 1953, p.13.-

12.- Cfr. Perón, Juan : Política y estrategia, Ed.Pleamar, Bs.As., 1971, p. 166 y siguientes.-

13.- Pakkasvurta, Jussi: ¿Un continente, una nación?, Academia de la Ciencia de Finlandia, Helsinki, 1997, p.43.-

14.- Strauss, Franz Josef: Consideraciones sobre Europa, Buenos Aires, Pleamar, p. 134.-

15,. Cfr. Buela, Alberto: Aportes al pensamiento nacional, Bs.As., Ed. Cultura et Labor, 1987, pp. 93 a101; y, Metapolítica y filosofía, Bs.As., Ed. Theoría, pp.65 a 69.-

16.- Buela, Alberto: La idea de comunidad organizada, Bs.As., Ed. Cultura et labor, 1999.-



[1] Quesada, Ernesto: La época de Rosas, Buenos Aires, Plus Ultra, tomo 5, 1965, p.20

[2] Quien más en profundidad ha trabajado esta idea en América ha sido uno de los padres de la sociología indiana don Julio Ycaza Tigerino en su libro Perfil político y cultural de Hispanoamérica, Madrid, Ed. Cultura Hispánica, 1971

jeudi, 25 février 2010

Breve nota sobre el Artico

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BREVE NOTA SOBRE EL ÁRTICO

  

Tiberio Graziani *

Eurasia. Revista de estudios Geopolíticos

 

 

 

Los ciclos geopolíticos de la región Ártica

 

La historia geopolítica de la región Ártica –si se prescinde de las referencias de los Antiguos  respecto a tal región y a las exploraciones de los Vikingos, que con cierta dificultad podemos valorar en términos típicamente geopolíticos –puede ser subdividida, en una primera aproximación, al menos en tres ciclos.

 

Un primer gran ciclo, que podríamos denominar el ciclo de las grandes exploraciones y de la primera maritimización ártica, puede situarse entre 1553, es decir, cuando el navegador Hugh Willoughby partió en busca del paso del Nordeste, y la segunda mitad de los años veinte del siglo XIX. Este primer ciclo –durante el cual se lleva a cabo el proceso de “maritimización” de la Orilla ártica, ejecutado mediante la construcción de puertos y la proyectación de rutas comerciales –encaja en el ámbito de la búsqueda de nuevas vías hacia Oriente, una empresa sostenida principalmente por las naciones europeas. Entre finales del Setecientos e inicios del Ochocientos los actores regionales son Dinamarca y los Imperios inglés y ruso. La rivalidad entre Rusia y Gran Bretaña, es decir, entre una potencia de tierra y una de mar, constituye la clave de lectura de las principales tensiones geopolíticas que tienen lugar en esta región en el curso de los primeros años del Ochocientos.

 

El acuerdo, firmado en 1826 entre San Petersburgo y Londres sobre la delimitación de las fronteras entre la Rusia llamada “americana” y las posesiones inglesas en América septentrional, inaugura una nueva fase histórica de la región polar. Tal acuerdo, destinado a reducir las fricciones entre las dos entidades geopolíticas, sin embargo, no triunfó en su intento. La tensión geopolítica entre los dos Imperios se atenuará, al menos en esta parte del planeta, sólo en 1867, cuando Rusia, con la finalidad de enfrentarse al asentamiento británico en la zona ártica, cederá Alaska por 7,5 millones de dólares a los emergentes Estados Unidos de América.

 

Lejos de ser la locura de Seward, como fue definida por el nombre del entonces secretario de Estado norteamericano, la adquisición de Alaska representaba, al menos para aquella época, el punto de llegada de la política “nórdica” de Washington. De hecho, los Estados Unidos, que tenían la intención de proyectar su poder hacia el polo ártico, habían entablado, en los mismos años, algunas negociaciones con Dinamarca con respecto a la adquisición de Groenlandia. Como se sabe, los EE.UU. alcanzaron el objetivo estratégico de controlar gran parte del círculo polar ártico sólo después de la Segunda Guerra Mundial, instalando, precisamente en Groenlandia, la base militar de Thule.

 

Con el ingreso del recién llegado en el club de las naciones circumpolares comienzan a germinar las fricciones que marcarán la posterior historia geopolítica de la región Ártica. Es este el ciclo de la soberanía o de las reivindicaciones territoriales, que empiezan precisamente en 1826 con una delimitación de las fronteras que termina en 1991, con la disolución de la URSS. Este se caracteriza por la enunciación de las teorías sobre la división de la región y de su creciente militarización, que, puesta en marcha en el curso de las dos guerras mundiales, fue, sin solución de continuidad, proseguida e intensificada en el contexto de la “guerra fría”. La importante función geoestratégica del área ártica que hace de ella, todavía hoy, una de las principales plataformas de disuasión nuclear, fue plenamente reconocida por los principales actores regionales, en primer lugar por los EE.UU. y por la URSS y, secundariamente, por Canadá, e incluida en las respectivas doctrinas geopolíticas del momento.

 

El tercer ciclo, que podríamos definir de la identidad regional ártica o del multilateralismo y que podemos situar entre 1990 y los primeros años del siglo actual, está marcado por el escaso compromiso de Moscú –geopolíticamente replegado sobre sí mismo tras el colapso del edificio soviético –en el sostenimiento de sus intereses regionales,  por las renovadas tensiones entre Canadá y los Estados Unidos, por una tímida presencia de la Unión Europea, que enuncia la llamada política de la Dimensión Nórdica, y, en particular, por algunas iniciativas internacionales o multilaterales. Estas últimas, que se basan principalmente en la común identidad ártica, en la idea del “mediterráneo ártico”, en el respeto de las minorías y del medioambiente y en el llamado desarrollo sostenible tienden tanto al refuerzo de la internacionalización del área como a la atenuación de las tiranteces surgidas dentro del restringido club de las naciones circumpolares con respecto a la soberanía. Sin embargo, hay que observar que en el plano de las relaciones de fuerza reales, en particular las referentes a los ámbitos militares y geoestratégico, los EE.UU. ostentan, en el curso de este breve ciclo, la primacía de nación hegemónica de toda la zona, ya sea directamente, o a través de la alianza atlántica; los otros actores recitan el papel marginal de simples comparsas.

 

 

El Ártico en el escenario multipolar

 

 El Ártico es actualmente, en el marco de la estructuración del nuevo sistema multipolar, una de las áreas más diputadas del planeta, no sólo por los recursos energéticos y minerales presentes bajo su banco de hielo, por su particular posición geoestratégica y por los efectos que el calentamiento global podría producir respecto a su mayor practicabilidad, sino, sobre todo, debido al retorno de Rusia como actor global.

 

Considerado durante mucho tiempo de limitado interés geopolítico, a causa de su inaccesibilidad, el círculo polar ártico, de hecho, ha llegado a ser –desde el 2 de agosto de 2007, cuando la tripulación de dos submarinos  colocaron la bandera tricolor rusa en los fondos del Océano Glacial Ártico, a 4200 metros de profundidad –una zona de crecientes choques entre los países circumpolares y de gran interés para China y Japón. Esta fecha, que muy probablemente celebra el inicio de una nueva era geopolítica para la historia de la región ártica, evidencia, ante todo, el renovado interés de los Rusos en la defensa de su espacio continental y costero, así como la determinación perseguida por el Kremlin de competir en la constitución de un nuevo orden planetario, después de la larga fase del bipolarismo y el breve, y geopolíticamente catastrófico, “momento unipolar”.

 

La “reivindicación” rusa del espacio ártico se inserta, por tanto, plenamente en la Doctrina Putin destinada a reestablecer, en una perspectiva multipolar, el justo peso de Rusia en todo el complejo tablero mundial. Una “reivindicación”, o más bien, una asunción de responsabilidad en referencia al nuevo escenario mundial, que también el presidente Medvedev, actual inquilino del Kremlin, parece sostener con convicción.

 

Moscú, después de haber adquirido nuevamente prestigio en el Cáucaso y en Asia central, reanudado las relaciones con China y, sobre todo, limitado, en la medida de lo posible, la descomposición de su “exterior próximo”, se dirige ahora hacia el Norte.

 

 

Esto no debe sorprender en absoluto, siendo el territorio ruso, como nos recuerda Pascal Marchand, el resultado de un proceso histórico distinguido por dos caracteres geográficos: la continentalidad, es decir, la expansión en la masa continental eurasiática y la nordicidad, es decir, la expansión hacia el Ártico.

 

Estas dos directrices, además del impulso hacia el Océano Índico, marcarán una vez más el destino de Rusia en el nuevo Gran Juego del siglo XXI.

 

En este marco de referencia el Ártico, la mítica morada de los pueblos védicos según los estudios efectuados por el político e intelectual indio Bal Gangadhar Tilak, se convertirá en una de las principales puestas en juego de los próximos veinte años.

 

 

 

* Director de Eurasia –Rivista di studi geopolitici– y de la colección Quaderni di geopolitica (Edizioni all’insegna del Veltro), Parma, Italia. Cofundador del Istituto Enrico Mattei di Alti Studi per il Vicino e Medio Oriente, Ha dictado cursos y seminarios de geopolítica en universidades y centros de investigación y análisis. Docente del Istituto per il Commercio Estero (Ministerio de Asuntos Exteriores italiano), dictando cursos en distintos países, como Uzbekistán, Argentina, India, China, Libia. – e-mail:  direzione@eurasia-rivista.org

 

(Traducido por Javier Estrada)

mercredi, 24 février 2010

Le elezioni ucraine confermano l'arretramento dell'egemonia USA

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K. G. Singh: “Le elezioni ucraine confermano l’arretramento dell’egemonia USA”

Ex: http://www.eurasia-rivista.org 

Il 13 febbraio l’ambasciatore (rit.) K. Gajendra Singh, corrispondente abituale di “Eurasia”, ha pubblicato un suo commento sull’esito delle recenti elezioni presidenziali in Ucraìna. Quella che segue ne è una sintesi, curata da Andrea Bogi; il testo completo (in lingua inglese) può essere letto qui.

I risultati del secondo turno delle combattute elezioni presidenziali ucraine hanno consegnato la vittoria al filo-russo Viktor Janukovič con il 48,95% dei voti, contro il 45,47 di Julia Timošenko. Circa il 70% dei votanti registrati ha esercitato il proprio diritto in queste elezioni di fondamentale importanza per la continua battaglia strategica tra Est e Ovest.

Il regolare svolgimento del voto è stato confermato da più di un organismo internazionale e da tutti gli osservatori, tanto russi quanto americani, nonostante le proteste della Timošenko, accusata per questo dal vincitore, in un’intervista alla CNN, di tradire gli stessi principi della sua Rivoluzione Arancione del 2004 (comunque finanziata e diretta dagli USA e dalle loro organizzazioni, fondazioni e marionette in Eurasia).

Nel commento alle elezioni, il New York Times ha scritto: “Timošenko ha aiutato a diffondere la Rivoluzione Arancione, che ha portato per la prima volta la democrazia di stile occidentale in Ucraina. Mentre la sua sconfitta potrebbe indicare un rifiuto della rivoluzione, il fatto che il paese sia riuscito a svolgere una controversa elezione presidenziale che è stata largamente considerata corretta suggerisce che l’eredità arancione è sopravvissuta”.

Dello stesso avviso è il professor Olexej Haran, insegnante di politica comparata all’Università Mohyla di Kiev, che sottolinea come la democrazia abbia riscosso grande successo tra gli ucraini, pur essendo rimasti delusi dalle mancate riforme sociali ed economiche.

Congratulandosi con Janukovič, anche il presidente americano Barack Obama si è complimentato per “l’ulteriore positivo passo verso il rafforzamento della democrazia in Ucraina, affermando inoltre la necessità di continuare la cooperazione reciproca nel “espandere la democrazia e la prosperità, proteggere la sicurezza e l’integrità territoriale, rafforzare la legalità, promuovere la non-proliferazione, e supportare le riforme economiche ed energetiche in Ucraina.”

Janukovič ha però chiarito di non prendere neppure in considerazione l’ingresso dell’Ucraina nella NATO: “L’Ucraina è interessata oggi nello sviluppo di un progetto per creare un sistema collettivo di sicurezza europeo. Noi siamo pronti a prendervi parte e a supportare l’iniziativa del presidente russo Dimitrj Medvedev.” Una chiara indicazione della sua volontà di restaurare i legami con la Russia, deteriorati a partire dal 2004 a causa delle politiche filo-occidentali di Juščenko.

A seguito della sconfitta di Janukovič cinque anni fa, Juščenko decise per una politica di contrapposizione con Mosca per far piacere a i suoi sostenitori, USA, UK e altri, con gravi danni e perdite per il paese. Ci sono state continue dispute con Mosca per il prezzo e le forniture di gas all’Europa centrale e occidentale, dalle quali gli ucraini hanno gudagnato ben poco. Questo ha provvisto gli organi della propaganda occidentale come BBC e CNN di materiale per parlar male della Russia, quando Mosca aveva intenzione di applicare prezzi di mercato al gas venduto all’Ucraina, che rubava il gas o strozzava le forniture di gas verso l’occidente.

La Germania vuole avere stabili e benefiche relazioni economiche con la Russia per togliersi l’arrogante Washington dalla schiena. Berlino ha persino garantito la copertura di 1 miliardo di euro dei costi del progetto Nord Stream per la stesura di un gasdotto sotto il Baltico per evitare l’attraversamento dellUcraina e di altri territori, con l’ex cancelliere Gerhard Schroeder che ha accettato la nomina di Gazprom per il posto a capo del consiglio d’amministrazione. Il cambiamento a Kiev è di buon auspicio per gli ucraini, che sono diventati una pedina nel gioco strategico tra Est e Ovest.

Subito dopo la vittoria di Juščenko 5 anni fa, marines americani comparirono persino per un’esercitazione navale in Crimea (un territorio russo che fu trasferito all’Ucraina dal leader sovietico Nikita Kruščёv, di origini ucraine), dove è ancorata la flotta russa. La popolazione di lingua russa protestò e cacciò gli Yankee costringendoli ad una rapida uscita di scena.

* K. Gajendra Singh è stato ambasciatore della Repubblica Indiana in Turchia, Azerbaigian, Giordania, Romania e Senegal. Oggi presiede la Foundation for Indo-Turkic Studies.

Kriegsvorbereitungen: Nach 28 Jahren rüsten sich Argentinier und Briten vor den Falkland-Inseln für die nächste Schlacht

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Kriegsvorbereitungen: Nach 28 Jahren rüsten sich Argentinier und Briten vor den Falkland-Inseln für die nächste Schlacht

Udo Ulfkotte / Ex: http://info.kopp-verlag.de/

Unbemerkt von deutschen »Qualitätsjournalisten« rüsten sich Briten und Argentinier für einen neuen Falkland-Krieg. Der letzte hat rund tausend Menschen das Leben gekostet. In der kommenden Woche wird sich der Ton verschärfen, die Argentinier durchsuchen nun alle Schiffe, die auf die Falkland-Inseln wollen. Denn die Briten wollen dort die Ölförderung aufnehmen. Die Argentinier aber sehen die Inselgruppe weiterhin als ihr Staatsgebiet an.

Zwischen April und Juni 1982 führten Großbritannien und Argentinien Krieg um die Falkland-Inseln (auch Malwinen – argentinisch »Islas Malvinas« – genannt), die Sandwich-Inseln und um Südgeorgien. Der damalige amerikanische Präsident Ronald Reagan sagte zu jener Zeit, er können  nicht verstehen, warum sich zwei Verbündete um »einige eisige Felsen« stritten. Doch es ging nicht um die kaum bewohnten Felsen. Es ging schon damals um die vermuteten reichen Ölvorkommen. Argentinien beharrt seither weiterhin auf dem Besitzanspruch in Bezug auf die Inseln. Der Konflikt zwischen beiden Staaten um die Rohstoffe der Region ist zwar seither in Vergessenheit geraten, aber nicht gelöst.

Vor dem Hintergrund der schweren britischen Wirtschaftskrise sucht die Londoner Regierung nun nach neuen Einnahmen und nach einer Möglichkeit, die immer unzufriedender werdende britische Bevölkerung geschlossen hinter sich zu vereinen. Mit einem neuen Krieg um die Falkland-Inseln könnte sie beides erreichen: Die Briten patriotisch hinter sich aufreihen und Großbritannien nach den versiegenden Nordeefeldern endlich große neue Ölvorkommen dauerhaft sichern lassen. In aller Ruhe hat die Lononer Regierung in den vergangenen Wochen Ölbohrungen auf den Falkland-Inseln vorbereitet – und parallel dazu »rein zufällig« immer mehr Kriegsschiffe und Truppen in die Region verlegt.

Die Argentinier kontrollieren nun alle Schiffe, die in Richtung der umstrittenen Inselgruppe fahren und durchsuchen diese. Ein britisches Schiff mit Ölbohrausrüstung haben sie gerade beschlagnahmt.

Nun will Buenos Aires offiziell wieder die Kontrolle über den gesamten Seeverkehr zwischen Südamerika und der Inselgruppe ausüben, die ohnehin energisch von Argentinien beansprucht wird, auch wenn dort Briten leben. Mit der Entdeckung gewaltiger Erdöl- und Gasvorräte in dem Seegebiet um die drei großen Inseln geht der Streit nun in die nächste – möglicherweise kriegerische – Runde. Denn die großen britischen Ölkonzerne vermuten allein unter einem einzigen Feld südlich der Falklands mindestens 60 Milliarden Barrel Öl. Wenn das zutrifft, dann wäre es etwa ein Drittel mehr, als bislang in der gesamten Nordsee gefördert wurde. Man muss, um sich die gewaltige Dimension vorstellen zu könenn, auch wissen: Das größte Ölfeld der Welt, Ghawar in Saudi-Arabien, wird auf 80 Milliarden Barrel geschätzt.

Großbritannien hat zum Schutz der genannten Ölvorkommen schon wieder mehr als tausend Soldaten auf der Inselgruppe stationiert, vor der Küste zudem Fregatten und einen Zerstörer. Luftlandetruppen werden derzeit verlegt. In den nächsten Tagen wird eine Ölbohrinsel zu den Inseln geschleppt. Die Argentinier sehen das als offene Kriegserklärung an. Wenn die Londoner Regierung will, dann kann sie die unzufriedene eigene Bevölkerung nun jederzeit mit einem spontanen Krieg von den inneren Problemen ablenken.

 

Donnerstag, 18.02.2010

Kategorie: Allgemeines, Geostrategie, Enthüllungen, Wirtschaft & Finanzen, Politik

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mardi, 23 février 2010

Presseschau 03/Februar 2010

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Presseschau

 

03 / Februar 2010

Einige Links. Bei Interesse anklicken...

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Atomstreit
Irans Außenminister Mottaki brüskiert die Welt
Keine Zusagen, nur heiße Luft: Wenn das ein Versöhnungsversuch war, ist er gescheitert. Irans Außenminister Mottaki hat bei seinem Auftritt auf der Münchner Sicherheitskonferenz die Mächtigen der Welt enttäuscht. Nun stehen Sanktionsdrohungen im Raum.
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,676364,00.html
http://www.spiegel.de/politik/ausland/0,1518,676412,00.html

Atomstreit
US-Senator Lieberman droht Iran mit Krieg
Den Auftritt von Irans Außenminister Mottaki bei der Münchner Sicherheitskonferenz nennt er „lachhaft“ und „unredlich“: Jetzt hat US-Senator Joseph Lieberman mit einem Militärschlag gedroht, wenn Wirtschaftssanktionen nicht wirken sollten.
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,676380,00.html

Jerusalem
Berlusconi wirbt für Aufnahme Israels in die EU
http://www.focus.de/politik/ausland/jerusalem-berlusconi-wirbt-fuer-aufnahme-israels-in-die-eu_aid_476208.html

Türkische Schulen
„Wir erklären sogar den Dreisatz mit Atatürk“
Aus Istanbul berichten Markus Flohr und Maximilian Popp
In der Schule lernen Kinder lesen, rechnen, schreiben. In der Türkei lernen sie außerdem: Staatsgründer Atatürk bedingungslos zu lieben. Sie können seinen Lebenslauf auswendig und singen seine Kampflieder – als Schutz gegen den Islamismus, sagen Befürworter. Die Kritiker leiden unter der Indoktrination.
http://www.spiegel.de/schulspiegel/ausland/0,1518,675820,00.html

Visumpolitik
Türkei ärgert EU mit Grenzöffnung nach Nahost
Von Boris Kalnoky
Ankara hebt die Visumpflicht für mehrere Länder des Nahen Ostens auf, darunter Syrien und Libyen. Für die Harmonisierung mit der EU ist das ein Rückschlag. Denn über die Türkei reisen schon jetzt zahlreiche illegale Migranten in EU-Länder ein. Die Entscheidung ist nur ein Beispiel für einen neuen Konfrontationskurs.
http://www.welt.de/politik/ausland/article6353908/Tuerkei-aergert-EU-mit-Grenzoeffnung-nach-Nahost.html

Türkei „unschätzbar kostbar“ für Deutschland
Der deutsche Botschafter in der Türkei Dr. Eckart Cuntz (Foto) meint, sein Land sei dazu verpflichtet, dafür zu sorgen, daß die Beitrittsverhandlungen der Türkei in die EU fortgeführt würden. Eine privilegierte Parnerschaft als Alternativlösung komme nicht in Frage. Cuntz stützt sich mit dieser Ansicht explizit auf Außenminister Westerwelle, der bei seinem Besuch in der Türkei am 6. Februar versprochen hatte, Deutschland werde seine besondere Verantwortung in diesem Prozeß wahrnehmen.
http://www.pi-news.net/2010/02/tuerkei-unschaetzbar-kostbar-fuer-deutschland/#more-117967

Militärtechnologie
Chinas Massenarmee wandelt sich zur Hightech-Truppe
Von Markus Becker
Tarnkappenflugzeuge, U-Boote, Anti-Satelliten-Waffen und sogar ein eigener Flugzeugträger: China modernisiert seine Streitkräfte in enormer Geschwindigkeit. Schon bald könnte die militärtechnologische Überlegenheit der USA wanken.
http://www.spiegel.de/wissenschaft/mensch/0,1518,676549,00.html

Jemen: Tummelplatz für „al Qaida“ oder geopolitischer Engpaß für Eurasien
F. William Engdahl
Am 25. Dezember 2009 wurde in den USA der Nigerianer Abdulmutallab verhaftet, weil er versucht hatte, ein Flugzeug der „Northwest Airlines“ auf dem Flug von Amsterdam nach Detroit mit eingeschmuggeltem Sprengstoff in die Luft zu sprengen. Seitdem überschlagen sich die Medien, von CNN bis zur „New York Times“, mit Meldungen, es bestehe der „Verdacht“, daß er im Jemen für seine Mission ausgebildet worden sei. Die Weltöffentlichkeit wird auf ein neues Ziel für den „Krieg gegen den Terror“ der USA vorbereitet: Jemen, ein trostloser Staat auf der arabischen Halbinsel. Sieht man sich jedoch den Hintergrund etwas genauer an, dann scheint es, als verfolgten das Pentagon und der US-Geheimdienst im Jemen ganz andere Pläne.
http://info.kopp-verlag.de/news/jemen-tummelplatz-fuer-al-qaida-oder-geopolitischer-engpass-fuer-eurasien.html

Regierung: „Bewaffneter Konflikt“ in Afghanistan
Westerwelle wirbt im Bundestag für neues Mandat – Oberst Klein vor Kundus-Ausschuß
Die Bundesregierung stuft die Situation in Afghanistan jetzt offiziell als „bewaffneten Konflikt im Sinne des Völkerrechts“ ein. Die Lage klar zu benennen, habe rechtliche Folgen für die deutschen Soldaten, sagte Außenminister Westerwelle im Bundestag.
http://www.heute.de/ZDFheute/inhalt/31/0,3672,8031487,00.html

Klein: Angriff war legal und gerechtfertigt
Oberst vor Untersuchungsausschuß
Legal und gerechtfertigt: Oberst Klein steht zu seinem Befehl vom September, der den Luftschlag auf die beiden Tanklaster in Afghanistan ausgelöst hat. Das teilte sein Anwalt mit. Klein steht heute vor dem Untersuchungsausschuß des Bundestages.
http://www.heute.de/ZDFheute/inhalt/5/0,3672,8031557,00.html

Klingt nach guter Arbeit des KSK (was hat dieser „Spiegel“-Schreiberling überhaupt für ein Problem?) ...
Kunduz-Untersuchungsausschuß
Die dunklen Geheimnisse der KSK-Krieger
Von Matthias Gebauer
Mit dem Auftritt von Oberst Klein startet der Kunduz-Ausschuß – doch gleich danach werden sich die Parlamentarier mit dem Kommando Spezialkräfte beschäftigen müssen. Geheime Nato-Unterlagen belegen: In der Bombennacht spielten KSK-Elitekämpfer eine entscheidende Rolle.
http://www.spiegel.de/politik/ausland/0,1518,676923,00.html

Abstellen!
Demütigung bei der Bundeswehr
Soldaten mußten rohe Schweineleber essen
Der Bundeswehr droht ein neuer Mißbrauchsskandal: Ein ehemaliger Wehrpflichtiger hat sich einem Zeitungsbericht zufolge beim Wehrbeauftragten über entwürdigende Mutproben und Aufnahmerituale beschwert – demnach mußten Soldaten rohe Schweineleber essen und bis zum Erbrechen Alkohol trinken.
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,676897,00.html

Das Stigma besiegen!
Von Carlo Clemens
Wenn ich Interviews mit vermeintlich „konservativen“ Hoffnungsträgern der Union lese, bleibt bei mir immer die Frage: Geht es diesen Leuten eigentlich um Deutschlands Zukunft, oder um die Zukunft ihrer Partei? Um Prozente und Posten oder um Inhalte und Überzeugungen?
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M5d8d4b42199.0.html

Koalition plant „Löschgesetz“
Schwarz-Gelb rückt von Internetsperren ab
Von Stefan Berg und Marcel Rosenbach
Kurswechsel nach monatelangem Hickhack: In einem Brief an Bundespräsident Köhler geht die Regierung nach Informationen des SPIEGEL auf Distanz zum umstrittenen Internet-Sperrgesetz. Schwarz-Gelb kündigt nun eine neue Initiative für ein „Löschgesetz“ an.
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,676669,00.html

Kommentar zu Hartz IV
Der Staat muß die Spendierhosen ablegen
Von Dorothea Siems
Die Hartz-IV-Regelsätze müssen neu berechnet werden. Das heißt nicht unbedingt, daß die Transferempfänger künftig mehr Geld in der Tasche haben. Schon heute leben sie manchmal besser als andere Arbeitnehmer. Der Staat sollte unbedingt dafür sorgen, daß nicht der Steuerzahler der Dumme ist.
http://www.welt.de/debatte/article6315717/Der-Staat-muss-die-Spendierhosen-ablegen.html

Wie man mit viel Geld Armut vermehrt
Von Gunnar Heinsohn
Höhere Sozialleistungen steigern die Geburtenrate von arbeitslosen Frauen. Bill Clinton kürzte in Amerika die Bezüge – mit Erfolg.
[Heinsohn hat vieles begriffen – vom „youth bulge“ bis eben zur Sozialstaatsproblematik. Seine Weisheit hat jedoch enge Grenzen, wie seine grandiosen Vorschläge zur massenhaften Aufnahme von Chinesen aus rein wirtschaftlichen Erwägungen offenbaren. Darauf, daß das Hauptaugenmerk auf die demographische Stabilisierung des deutschen Volkes und die Verhinderung der Abwanderung bzw. die Rückgewinnung qualifizierter Deutscher gelegt werden müßte, ergänzt um ethnisch-kulturell kompatible europäische bzw. europäischstämmige Zuwanderung, kommt er nicht. Er bleibt halt doch der alte 68er, der er immer war: jemand, dem die Zukunft seines Volkes letztlich vollkommen gleichgültig ist.]
http://www.welt.de/die-welt/debatte/article6311869/Wie-man-mit-viel-Geld-Armut-vermehrt.html

Debatte um Hartz-IV-Urteil
Westerwelles Worte schlagen Wellen
In Deutschland herrscht „geistiger Sozialismus“ – das findet zumindest FDP-Chef Guido Westerwelle, wenn es um die Hartz-IV-Regelsätze geht. Ein einmaliger verbaler Ausrutscher des Vizekanzlers? Keineswegs, denn nun legte er noch einmal nach: „Die Diskussion über das Hartz-IV-Urteil des Bundesverfassungsgerichts hat sozialistische Züge. Von meiner Kommentierung dieser Debatte habe ich keine Silbe zurückzunehmen“, sagte Westerwelle der „Passauer Neuen Presse“. Und schob als Erklärung hinterher: „Wenn man in Deutschland schon dafür angegriffen wird, daß derjenige, der arbeitet, mehr haben muß als derjenige, der nicht arbeitet, dann ist das geistiger Sozialismus.“
http://www.tagesschau.de/inland/westerwellehartziv100.html

Krisenprophet Max Otte
„Die Welt steht kurz vor dem Crash“
Schon 2006 warnte Max Otte vor der Krise – kaum einer hörte zu. Jetzt meldet sich der Ökonom erneut zu Wort: warum das Schlimmste noch kommt.
http://www.focus.de/finanzen/boerse/finanzkrise/tid-16399/krisenprophet-max-otte-die-welt-steht-kurz-vor-dem-crash_aid_458118.html

„PIGS“
Von Michael Paulwitz
Sage noch einer, Banker hätten keinen Humor. Für die inflationsgeneigten Hochrisikostaaten der Eurozone, die mit ihren Schuldenbergen immer munter an der Klippe zum Staatsbankrott entlangschrammen, für Portugal, Italien, Griechenland und Spanien also, hat die Finanzwelt seit kurzem ein prägnantes Sammelkürzel: PIGS.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display.154+M5636df48d98.0.html

Schuldenkrise
Europa fürchtet die verflixten Fünf
Von Stefan Schultz
Erst Griechenland, dann Portugal und Spanien – schließlich Italien und Irland? Die Krise hat die Schulden von fünf EU-Problemstaaten so hochgetrieben, daß es Ökonomen vor einem Euro-Crash graut. SPIEGEL ONLINE tastet die Risikozonen des Kontinents ab: Wieviel Grund zur Panik gibt es wirklich?
http://www.spiegel.de/wirtschaft/soziales/0,1518,676966,00.html

Politisches Gangsterstück
Von Thorsten Hinz
Und es kommt, wie’s kommen mußte. Europa (also vor allem Deutschland) wird für den Schlendrian in Griechenland (und danach in Portugal, Spanien, Italien, Irland) einstehen. Darüber läßt sich nicht mehr nur in politischen Kategorien reden.
Wir befinden uns mitten in einem Gangsterstück. Nichts gegen supranationale Strukturen in Europa, allein schon aus der Erwägung heraus, daß die europäischen Nationalstaaten im globalen Konkurrenzkampf sich nur gemeinsam behaupten können. Vielleicht war und ist auch die Idee des Euro im Prinzip richtig, aber daß man keine Rennpferde mit einer mediterranen Schindmähre wie Griechenland in dasselbe Gespann zwingen kann, hätte klar sein müssen.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M54303cf8937.0.html

Brüsseler Roulette
Vor knapp zwölf Jahren, im Sommer 1998, wohnte ich zum ersten und bisher letzten Mal einer Partei-Wahlveranstaltung bei. Die Partei wurde damals als eine vielversprechende nationalliberale Neugründung und aufstrebende Alternative für von der verkrusteten CDU/FDP-Koalition enttäuschte Wähler gehandelt. Ihr Name tut nichts zur Sache, denn sie verschwand – wie auch bis heute auf dieser Seite der politischen Arithmetik üblich – wieder in der Versenkung.
http://www.pi-news.net/2010/02/bruesseler-roulette/#more-118046

Extremismus
BKA beklagt zunehmende Gewalt gegen Polizisten
http://www.focus.de/politik/deutschland/extremismus-bka-beklagt-zunehmende-gewalt-gegen-polizisten_aid_475545.html

Umstrittene Studie zu Gewalt gegen Polizisten startet
http://www.welt.de/die-welt/politik/article6275916/Umstrittene-Studie-zu-Gewalt-gegen-Polizisten-startet.html

Die deutsche Sprache vor Gericht
Von Thomas Paulwitz
Der Vorstoß, Englisch zur Gerichtssprache in Deutschland zu machen, trifft nun endlich auf entscheidenden Widerstand. Kein Geringerer als der Präsident des Bundesgerichtshofs (BGH) äußerte nun Bedenken. Das kommt genau zur rechten Zeit, denn in knapp einer Woche soll angeblich der Gesetzesentwurf Hamburgs und Nordrhein-Westfalens im Bundesrat beraten werden.
Der BGH wäre von einer Änderung des Gerichtsverfassungsgesetzes (GVG) unmittelbar betroffen. So soll Paragraph 184 GVG unter anderem mit dem Satz ergänzt werden: „Vor dem Bundesgerichtshof kann in internationalen Handelssachen das Verfahren in englischer Sprache geführt werden.“
http://www.jungefreiheit.de/index.php?id=154&tx_ttnews%5Btt_news%5D=85959&tx_ttnews%5BbackPid%5D=468&cHash=4fbf0e01c1&MP=154-576

Angeblich Schlamperei vor Einsturz von Kölner Stadtarchiv
Bei den Ermittlungen zum Einsturz des Kölner Stadtarchivs liegt der Staatsanwaltschaft einem Zeitungsbericht zufolge ein erstes Geständnis vor: Wie der „Kölner Stadt-Anzeiger“ berichtet, räumte ein Bauarbeiter der U-Bahnlinie unter der Kölner Südstadt ein, daß an der Unglücksstelle bewußt nachlässig gearbeitet worden sei.
http://portal.gmx.net/de/themen/nachrichten/panorama/9836648-Schlamperei-bei-Koelner-U-Bahnbau.html#.00000002?CUSTOMERNO=39290822&t=de1201636392.1265920406.4704aac2

Platzeck nennt Stasi-Kritiker „Revolutionswächter“
POTSDAM. Brandenburgs Ministerpräsident Matthias Platzeck (SPD) hat die Kritiker der Stasi-Vergangenheit von Abgeordneten der Linkspartei scharf zurechtgewiesen. „Wir haben eine Schar von Revolutionswächtern, die gehen mir auf den Keks“, zitieren ihn die „Potsdamer Neuesten Nachrichten“.
http://www.jungefreiheit.de/index.php?id=154&tx_ttnews%5Btt_news%5D=85957&cHash=6accd4a8e0

Stasi-Fälle
Kritik an Lötzsch wegen IM-Fürsprache
http://www.focus.de/politik/deutschland/stasi-faelle-kritik-an-loetzsch-wegen-im-fuersprache_aid_478013.html

Gründung vor 60 Jahren
Die tödlichen Methoden der DDR-Staatssicherheit
Von Sven Felix Kellerhoff
Lauschen, spähen, schnüffeln: Vor 60 Jahren wurde die DDR-Staatssicherheit gegründet. Mehr als 91.000 hauptamtliche und doppelt so viele inoffizielle Mitarbeiter garantierten der SED die Macht. Ein Geheimdienst im klassischen Sinn war der Apparat nie, eher schon eine kriminelle Vereinigung mit tödlichen Methoden.
http://www.welt.de/politik/deutschland/article6299413/Die-toedlichen-Methoden-der-DDR-Staatssicherheit.html

Konstanz
Rechter Professor sorgt für Wirbel
An der Universität Konstanz erwächst Widerstand gegen den rechtskonservativen Professor Jost Bauch. Die Studenten beschlossen per Vollversammlung eine Ablehnung seiner Lehre. Der Universitätsleitung sind zwar juristisch die Hände gebunden, sie weist jedoch darauf hin, daß jeder entscheiden könne, ob er die Veranstaltung besuchen wolle.
http://www.suedkurier.de/region/kreis-konstanz/konstanz/Rechter-Professor-sorgt-fuer-Wirbel;art372448,4158892

Österreichischer Südtirol-Aktivist in Integrationsrat gewählt
MEERBUSCH. Der österreichische Arzt Erhard Hartung ist am vergangenen Sonntag in den Integrationsrat der nordrhein-westfälischen Stadt Meerbusch gewählt worden. Wegen seiner Beteiligung am Freiheitskampf in Südtirol in den sechziger Jahren hatte ihn die Unabhängige Wählergemeinschaft (UWG) im Rat der Stadt vor der Wahl zum Verzicht auf die Kandidatur aufgefordert.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display.154+M5588583cc6b.0.html

Video: Dumm, dümmer, Antifa
http://www.youtube.com/watch?v=aOFfVD248gI

Produzieren Nazis Bioessen?
Wer Bio-Produkte kauft, kann sich nicht sicher sein, wen seine Einkäufe da unterstützen: Es gibt tatsächlich völkisch-nationalistische Biobauern, die mit nett-nachbarschaftlichem Auftreten auf NPD-Stimmenfang gehen. Proteste führten bisher bei den Bioprodukte-Vertrieben nicht wirklich zu Reaktionen. Betrachtungen aus Mecklenburg-Vorpommern.
http://www.netz-gegen-nazis.de/artikel/produzieren-neonazis-bioessen-3412

Brandanschlag
Feuer in Berliner Stiftung Wissenschaft und Politik
http://www.focus.de/panorama/vermischtes/brandanschlag-feuer-in-berliner-stiftung-wissenschaft-und-politik_aid_476306.html

Brände
Brandanschlag auf Haus der Wirtschaft in Berlin
http://www.zeit.de/newsticker/2010/2/4/iptc-bdt-20100204-60-23763212xml

Republik und Terror
Ein eiserner Windhauch
Von Jan Puhl
Die Erfinder der Guillotine waren beseelt vom Geist der Aufklärung.
http://www.spiegel.de/spiegelgeschichte/0,1518,674286,00.html

Vertriebenenstiftung
Regierungsfraktionen beenden Streit mit Steinbach
Der monatelange Konflikt über die Besetzung des Stiftungsrats der Vertriebenengedenkstätte ist beigelegt. Künftig wird der Bundestag die Mitglieder des Rats benennen, der Bund der Vertriebenen soll sechs statt wie geplant drei Sitze in dem Gremium bekommen. Steinbach sprach von einer „guten Lösung“.
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,677268,00.html
http://nachrichten.rp-online.de/article/politik/Einigung-im-Fall-Steinbach/67619
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,677350,00.html
http://www.tagesschau.de/multimedia/video/video653194.html
http://www.welt.de/politik/deutschland/article6358384/Opposition-Steinbach-Einigung-ist-beschaemend.html
http://www.rp-online.de/politik/deutschland/Steinbach-Kompromiss-Beschaemend-und-enttaeuschend_aid_819140.html

Kommentar
Sieg und Niederlage für Erika Steinbach
Von Marcus Schmidt
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M5b9c8efd5d0.0.html

Verräter
Von Stefan Scheil
Das Münchner Institut für Zeitgeschichte gibt in der neuesten Ausgabe seiner Vierteljahrshefte sechzehn Seiten frei, auf denen Kurt Neuhiebel eine Attacke auf Manfred Kittels angebliche „Entkoppelung von Krieg und Vertreibung“ ausbreiten darf. In Neuhiebels Argumentationsgang treten dabei die altbekannten Kausalitäten auf.
http://www.jungefreiheit.de/index.php?id=154&tx_ttnews%5Btt_news%5D=85951&tx_ttnews%5BbackPid%5D=154&cHash=06dc287194&MP=154-594

Stefan Scheil im Gespräch: „Der Bombenkrieg war für die Westalliierten ein geeignetes Mittel zur Kriegsführung und Tötung“
Der Historiker Stefan Scheil forscht zu den Ursachen des Zweiten Weltkriegs. Er ist langjähriger Autor der „Jungen Freiheit“ und der „Frankfurter Allgemeinen Zeitung“. 2005 erhielt er den „Gerhard-Löwenthal-Preis für Journalismus“. BlaueNarzisse.de sprach mit ihm im Vorfeld des 65. Jahrestags der Bombardierung Dresdens über die Ergebnisse der Dresdner Historikerkommission, Flüchtlinge in Dresden und die politischen Schatten der Bombardierung.
http://www.blauenarzisse.de/v3/index.php/aktuelles/1331-stefan-scheil-im-gespraech-der-bombenkrieg-war-fuer-die-westalliierten-ein-geeignetes-mittel-zur-kriegsfuehrung-und-toetung

Kontrovers diskutiert ...
Deutschland, halt’s Maul
Von Martin Lichtmesz
Wenn man noch irgendeinen Beweis dafür braucht, daß die Deutschen des beginnenden 21. Jahrhunderts das degenerierteste Volk auf diesem ganzen Erdball sind, dann sollte man sich den alljährlichen Hickhack um die Gedenkfeiern von Dresden zu Gemüte führen. Was hier geschieht, ist international beispiellos, und daß der Grad der Verkommenheit kaum mehr jemandem auffällt, ist Teil der Krankheit.
http://www.sezession.de/11660/deutschland-halts-maul.html

Unbedingt auch noch lesen ...
Sodom und Gomorrah (nochmals Dresden)
Von Martin Lichtmesz
Die Genesis, das 1. Buch Mose des Alten Testaments, berichtet, wie Gott in Begleitung zweier Engel bei Abraham einkehrte, dessen Neffe Lot mit seiner Familie in der vom Glauben abgefallenen Stadt Sodom lebte.  Gott war gekommen, um Abraham trotz des fortgeschrittenen Alters seines Weibes Sara die Geburt eines Sohnes anzukündigen. Als er sich anschickte weiterzuziehen, zögerte Gott:„Wie kann ich Abraham verbergen, was ich tue, sintemal er ein großes und mächtiges Volk soll werden, und alle Völker auf Erden in ihm gesegnet werden sollen?“
http://www.sezession.de/11993/sodom-und-gomorrah-nochmals-dresden.html

„Perlensamt“ von Barbara Bongartz
Von Götz Kubitschek
Möchte man ein Jude sein, heutzutage, ein Broder etwa, der ausstoßen darf, was er will, weil er weiß, daß ihm niemand kann? Vielleicht, manchmal. Aber es gibt auch einen anderen Weg: Man könnte der Erbe einer Nazigröße sein und sehr öffentlich zeigen, daß man alles wiedergutmachen will. Darum gehts in Perlensamt, und es gibt – nach einigem Nachdenken und wiederholter Lektüre dieses Buches – keinen Zweifel:
Perlensamt ist ein Schlüsselroman des deutschen Schuldstolzes um die Jahrtausendwende, und zwar ein sehr gelungener.
http://www.sezession.de/11787/perlensamt-von-barbara-bongartz.html#more-11787

Judenvergleich
Jesuiten distanzieren sich
http://www.tagesspiegel.de/weltspiegel/art1117,3023254
http://newsticker.welt.de/?module=dpa&id=23781084
http://www.wienerzeitung.at/DesktopDefault.aspx?TabID=3941&Alias=wzo&cob=470392

„Max Manus“ in den Kinos
Historien-Drama
http://www.filmstarts.de/kritiken/104143-Max-Manus.html

Einbeinige, rollstuhlfahrende, blinde Puppen oder siamesische Zwillinge aus Plastik sind auch noch viel zu wenig in Spielwarenläden verbreitet ...
Hanau
Ausstellung im Puppenmuseum hinterfragt Rollenklischees in Kinderzimmern
Mama kocht, Papa schaut fern
http://www.op-online.de/nachrichten/hanau/mama-kocht-papa-schaut-fern-620970.html

Diskriminierte Puppen
Von Ellen Kositza
Ans Puppenmuseum der Brüder-Grimm-Stadt Hanau hab ich noch folgende Erinnerung: Als uns in der sechsten Klasse mitgeteilt wurde, daß der nächste „Wandertag“ eine Fahrt in ebendieses Puppenmsueum bedeuten würde, ertönte Jubel, 25 Armpaare erhoben sich in frenetischer Begeisterung, zwei blieben unten – jene Mädchen haßten Puppen.
http://www.sezession.de/11939/diskriminierte-puppen.html

Verfassungspatriotismus funktioniert nicht ...
Regierungsbilanz
Frankreichs Nationaldebatte stigmatisiert Ausländer
Von Gesche Wüpper
Die von Staatspräsident Nicolas Sarkozy angestoßene Debatte über die nationale Identität ist gescheitert. Statt zu einer besseren Integration führte sie zu einer weiteren Stigmatisierung von Ausländern und vor allem der etwa fünf bis sechs Millionen in Frankreich lebenden Muslime. Profitiert haben die Rechtsextremen.
http://www.welt.de/politik/ausland/article6306935/Frankreichs-Nationaldebatte-stigmatisiert-Auslaender.html

Furchtbare Juristen ...
Abgeschobener Asylbewerber darf nach Deutschland zurückkehren
FRANKFURT/ODER. Ein nach Griechenland abgeschobener Iraker muß nach Deutschland zurückgeholt werden. Das entschied das Verwaltungsgericht Frankfurt/Oder. Das Gericht begründete nach einem Bericht der „Berliner Zeitung“ seine Entscheidung damit, daß die in Griechenland für Asylbewerber herrschenden Verhältnisse dem Iraker nicht zuzumuten seien. Zur Zeit müsse dieser als Obdachloser in einem Park leben.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display.154+M595ecc094db.0.html

Kolat: Migranten wollen Nestwärme fühlen
Kenan Kolat, Chef der Türkischen Gemeinde in Deutschland, findet, daß die Migranten so viel zur Integration geleistet hätten, daß jetzt mal die Deutschen dran sind. Die Kanzlerin solle sich gefälligst persönlich einbringen und ein Willkommensfest für Zuwanderer organisieren.
Angesichts zunehmender Fälle von Migrantengewalt auf unseren Straßen, tun wir nichts lieber, als die moslemischen Zuwanderer und ihre Kinder bei uns herzlich willkommen zu heißen. Herr Kauder hatte dies ja bereits auch von uns gefordert.
http://www.pi-news.net/2010/02/kolat-migranten-wollen-nestwaerme-fuehlen/#more-117159

Berliner Polizisten müssen immer öfter flüchten
Die Islamisierung Berlins schreitet zügig voran. In den „Tagesthemen“ vom 2. Februar lieferte die ARD einen tiefen Einblick in die dramatische Situation der Berliner Polizei. Die Sendung ist zwar schon über eine Woche alt, aber ihr Inhalt ist hochbrisant und brandaktuell.
http://www.pi-news.net/2010/02/berliner-polizisten-muessen-immer-oefter-fluechten/#more-118021

Gewalt gegen Polizisten
Bespuckt, beschimpft, bedroht
Von Jörg Diehl
Freund und Helfer war gestern – heute treffen Polizisten immer öfter auf Verachtung, Ablehnung, Aggression. In einer großen Studie soll der beunruhigende Trend jetzt untersucht werden: „Bullen aufzumischen“ sei längst zum Hobby gewalttätiger Jugendgangs geworden, klagen Beamte.
http://www.spiegel.de/panorama/justiz/0,1518,677320,00.html

Kölner Polizei sucht sonnengebräunten Südländer
Die Kölner Polizei sucht nach einem brutalen Überfall am Donnerstag auf eine 26jährige Frau nach einem „südländisch wirkenden, schlanken Mann zwischen 30 und 40 Jahren, der stark sonnengebräunt ist“. Der Täter soll der Frau mit der Faust ins Gesicht geschlagen und sie am Boden liegend getreten haben.
http://www.pi-news.net/2010/02/koelner-polizei-sucht-sonnengebraeunten-suedlaender/#more-117098

München: Zivilcourage mit Messerstich bezahlt
Wenn demnächst kaum mehr einer Zivilcourage zeigen will, dann liegt es an Fällen wie diesem, die in letzter Zeit immer häufiger passieren: In München – in der Stadt also, wo vor einigen Monaten Dominik Brunner zu Tode getreten wurde – mußte in der Nacht zu Samstag auch ein 18jähriger fast mit seinem Leben bezahlen, weil er einem Bekannten helfen wollte. Einer der Angreifer, laut Münchner tz türkischstämmig, stach ihn mit dem Messer nieder.
http://www.pi-news.net/2010/02/muenchen-zivilcourage-mit-messerstich-bezahlt/

Dieser Fall ist schon etwas älter ...
Brutale Attacke vor der Disco
Mehrjährige Haftstrafen für gefährliche Schlägerei
Darmstadt (ddp). Das Darmstädter Landgericht hat drei brutale Schläger im Alter zwischen 19 und 42 Jahren zu mehrjährigen Haftstrafen verurteilt. Das Gericht sah es als erwiesen an, daß die Angeklagten den 29 Jahre alten Fabian S. aus dem südhessischen Bensheim im September 2008 bewußtlos geschlagen und ihn hilflos auf der Straße zurückgelassen hatten.
Das Opfer wurde von einem Taxi überrollt und starb vier Wochen später. Der 29jährige war zuvor in einer Bensheimer Diskothek einem jungen Mann zu Hilfe geeilt, der von den Schlägern verprügelt wurde.
Ein vierter Tatbeteiligter hatte sich vor Prozeßeröffnung in die Türkei abgesetzt. Vor Gericht verantworten mußten sich der 42jährige Erdogan M. aus Bensheim, sein 19jähriger Sohn Haydar M. und dessen gleichaltriger Halbbruder Volkan T. Auch weil er als Vater besondere Verantwortung trug, verurteilte das Gericht Erdogan M. zu sechs Jahren Gefängnis. Sein Sohn muß drei Jahre und sechs Monate in Haft, Volkan T. für drei Jahre und drei Monate. Alle drei Angeklagten wurden wegen gemeinschaftlich begangener gefährlicher Körperverletzung sowie anschließender Aussetzung mit Todesfolge schuldig gesprochen.
http://www3.e110.de/index.cfm?event=page.detail&cid=2&fkcid=1&id=46571

Dietzenbach/Offenbach
Polizei läßt Bande auffliegen
http://www.fr-online.de/frankfurt_und_hessen/nachrichten/kreis_offenbach/2271619_Dietzenbach-Offenbach-Polizei-laesst-Bande-auffliegen.html

Multikulturelle Bereicherung zum Après-Ski
Die multikulturelle Bereicherung hat inzwischen auch einen der letzten Horte der Freiheit erreicht, die Skigebiete. Im österreichischen Mayerhofen gingen beim Après-Ski zwölf Türken u.a. mit Schlagringen, Messern und einer zerbrochenen Flasche auf sieben Niederländer los.
http://www.pi-news.net/2010/02/multikulturelle-bereicherung-zum-apres-ski/#more-117806

Türke
Mordversuch
„Ich hab halt einfach zugestochen“
http://www.spiegel.de/panorama/justiz/0,1518,676782,00.html

Da können sie sich wohl vor allem bei ihren Landsleuten bedanken ...
Bewerber-Diskriminierung
Tobias wirft Serkan aus dem Rennen
Von Christoph Titz
Und ist der Lebenslauf noch so toll – klingt ein Name türkisch, haben Jobbewerber schlechtere Chancen. Forscher haben Namenslotto mit fiktiven Studenten gespielt. Sie bestätigen, was immer vermutet wurde: Tobias und Dennis bekommen meist das Praktikum, Serkan und Fatih gehen oft leer aus.
http://www.spiegel.de/unispiegel/jobundberuf/0,1518,676649,00.html

Vorurteil? Vorurteil!
Von Karlheinz Weißmann
„Und ist der Lebenslauf noch so toll – klingt ein Name türkisch, haben Jobbewerber schlechtere Chancen.“ Wir glauben es der jüngsten „Spiegel“-Ausgabe, – unbesehen. Ein aufwendiges „Namenslotto“ mit fiktiven Bewerbungsunterlagen, fiktiven Zeugnissen von fiktiven Studenten, die sich um ein Praktikum in einem realen Unternehmen bemühen und trotz gleichartiger Leistungen verschieden behandelt wurden.
http://www.sezession.de/11849/vorurteil-vorurteil.html#more-11849

Bewährung für Straftat in der Bewährung
Eigentlich können sie machen, was sie wollen, so lange ein Migrations- und kein rechtsradikaler Hintergrund vorliegt. Wegen mehrfacher Körperverletzung in der Bewährungszeit wurde jetzt ein türkischer Hatz IV-Empfänger vom Amtsgericht Dortmund (Foto) erneut zu einer Bewährungsstrafe verurteilt. Der Richter hob aber drohend den Zeigefinger.
http://www.pi-news.net/2010/02/bewaehrung-fuer-straftat-in-der-bewaehrung/

NRW: Schöffe bestätigt Migrantenbonus
PI hat unzählige Male über den Mythos des Migrantenbonus berichtet. Von den Gutmenschen stets vehement bestritten, wird nun das Offensichtliche sehr rasant immer offensichtlicher. Ein Schöffe aus Nordrhein-Westfalen hat sich in einer mehr als eindrucksvollen E-Mail an den Bestsellerautor Udo Ulfkotte gewandt. Lesen Sie auch bei PI, was Udo Ulfkotte diesbezüglich geschildert wurde.
http://www.pi-news.net/2010/02/nrw-schoeffe-bestaetigt-migrantenbonus/

Migrationsbericht
Statistik – Mehr Abwanderung als Zuzug
(Böhmer sieht Zuwanderung als wirtschaftlichen „Gewinn“)
http://www.focus.de/politik/weitere-meldungen/migrationsbericht-statistik-mehr-abwanderung-als-zuzug_aid_476800.html

Wulff will neuerdings wohl Armin Laschet Konkurrenz machen ...
Migranten
Wulff fordert mehr Zuwanderer in deutschen Firmen
Niedersachsens Ministerpräsident Christian Wulff hat sich dafür ausgesprochen, daß deutsche Firmen mehr Zuwanderer einstellen sollen. „Es muß uns gelingen, auch ohne Quote den Anteil von Migranten zu erhöhen“, sagte der CDU-Politiker. Die Türkische Gemeinde in Deutschland sieht dies anders.
http://www.welt.de/politik/deutschland/article5972271/Wulff-fordert-mehr-Zuwanderer-in-deutschen-Firmen.html

Ismail Tipi wird erster türkischstämmiger CDU-Landtagsabgeordneter Hessens
„Kenne Wünsche der Migranten“
http://www.op-online.de/nachrichten/heusenstamm/kenne-wuensche-migranten-613285.html

Nach Text zu Minarettverbot
Linke: CDU-Abgeordneter Irmer ein „Haßprediger“
http://www.faz.net/s/Rub5785324EF29440359B02AF69CB1BB8CC/Doc~E526283E3CBBB4841966F4D8F5812DA8F~ATpl~Ecommon~Scontent.html?rss_googlenews

Angst vor Rockerkrieg
Die Polizei rechnet mit Racheakten nach Wechsel von Bandidos zu Hells Angels
Der Wechsel des Bandido-Unterstützer-Clubs „El Centro“ zu den verfeindeten Hells Angels hat in der Szene für Verwirrung gesorgt und am Sonnabend die Polizei auf den Plan gerufen. Ein Großaufgebot von Beamten kontrollierte ab 18 Uhr mehr als 280 „Höllen-Engel“ in Alt-Hohenschönhausen. Unter ihnen befanden sich auch der bisherige Anführer von „El Centro“ und ein Begleiter. Diese beiden hatten wie berichtet mit knapp 80 Angehörigen ihrer Bruderschaft in der vergangenen Woche die Seiten gewechselt. Anführer der Hells Angels hatten am Sonnabend zu einer Sitzung am Vereinshaus ihres Unterstützer-Clubs „Brigade 81“ an der Gärtnerstraße geladen. Dabei sollte es um die neue Situation und um Risikoabwägungen gehen.
Denn nicht alle Hells Angels sind nach Aussagen eines Ermittlers glücklich über die neue Entwicklung. In Polizeikreisen heißt es: „Diese Rocker haben ihre Aufnahmekriterien stets restriktiv durchgesetzt, Ausländer wurden nicht aufgenommen. Mit dem Übertritt der ehemaligen Bandidos-Unterstützer haben sie gleich eine Vielzahl von Türken in den eigenen Reihen.“ Zudem müsse jetzt jederzeit mit Racheakten der alteingesessenen Bandidos gerechnet werden. Darauf bereiten sich offenbar auch die Hells Angels vor – bei dem Einsatz in Alt-Hohenschönhausen wurden Brechstangen, Teleskopschlagstöcke, Äxte und Axtstiele, Quarzhandschuhe und Pfefferspray sichergestellt.
http://www.welt.de/die-welt/regionales/article6297568/Angst-vor-Rockerkrieg.html
http://www.spiegel.de/panorama/justiz/0,1518,675823,00.html

Paris
Posträuber kamen im Ganzkörperschleier
http://derstandard.at/1263706915410/Postraeuber-kamen-im-Ganzkoerperschleier

Alltagswahnsinn, britisch
Von Michael Paulwitz
Wer bei der Lektüre heimischer Gazetten glaubt, der alltägliche politisch korrekte und Multikulti-Irrsinn wäre nicht mehr zu toppen, der werfe gelegentlich mal einen Blick in die englische Boulevardpresse. In „Daily Mail“ zum Beispiel war gestern die groteske Geschichte des griechisch-zypriotischen Grundschullehrers Nicholas Kafouris zu lesen.
http://www.sezession.de/11881/alltagswahnsinn-britisch.html#more-11881

How Labour threw open doors to mass migration in secret plot to make a multicultural UK
http://www.dailymail.co.uk/news/article-1249797/Labour-threw-open-doors-mass-migration-secret-plot-make-multicultural-UK.html
http://www.pi-news.net/2010/02/blairs-multikulti-politik-war-kampf-gegen-rechts/

Ärtzin entschuldigt sich nach Wirbel um „Cihad“
http://www.focus.de/panorama/welt/gesellschaft-aertzin-entschuldigt-sich-nach-wirbel-um-und132cihadund147_aid_477303.html

Bundesweite Razzia
Ermittler durchsuchen Wohnungen von Islamisten
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,675741,00.html

Kontakte zu Sauerland-Gruppe?
Gericht bestätigt Ausweisung von Haßprediger Sadat
http://www.faz.net/s/Rub8D05117E1AC946F5BB438374CCC294CC/Doc~EA8FC9730674E496792483A31C86A8472~ATpl~Ecommon~Scontent.html?rss_googlenews
http://www.op-online.de/nachrichten/offenbach/offenbach-darf-imam-ausweisen-618714.html

Verhandlungen abgebrochen
Einigung über Hamburger Schulreform geplatzt
Von Jochen Leffers
Abbruch in der sechsten Runde: Die Verhandlungen über die Schulreform in Hamburg sind gescheitert, der schwarz-grüne Senat und Reformgegner fanden keinen Kompromiß. Damit dürfte es im Sommer zum Volksentscheid kommen – in einem bundesweit bisher beispiellosen Schulkampf.
http://www.spiegel.de/schulspiegel/wissen/0,1518,676103,00.html

Neukuhren soll Moskau entlasten
In Pionerskij, dem ehemaligen Neukuhren, wird eine Residenz der russischen Zentralregierung gebaut. Als deren Fundment dienen die Reste eines so genannten Bismarckhauses.
http://www.koenigsberger-express.com/main/show_artikel.php?id=2050&kat=6&PHPSESSID=452f50112656d243970ed1ce7372d440

Welch Wunder: Die Russen sind Europäer. Vom Gegenteil waren wohl nur Napoleon und Hitler überzeugt ...
Wie viele europäische Gene stecken im Russen?
Von Manfred Quiring
Im Moskauer Kurtschatow-Institut hat man sein Erbgut entschlüsselt – Tataren-Erbe geringer als erwartet
http://www.welt.de/die-welt/wissen/article6328010/Wie-viele-europaeische-Gene-stecken-im-Russen.html

Die Sentinelesen – das isolierteste Volk der Welt
„Man kann nicht so tun, als gäbe es sie nicht“
Mit dem Tod der letzten Angehörigen ist nun der Stamm der Bo auf der indischen Inselkette Andamanen ausgestorben. Die Bo waren ein Unterstamm des Großen-Andamanesen-Stamms, der einmal aus zehn Untergliederungen bestand und zu dem auch die Sentinelesen gehören.
http://www.faz.net/s/RubCD175863466D41BB9A6A93D460B81174/Doc~EACBD0D488D1F4E5AACE4FA58DC1F8AE6~ATpl~Ecommon~Scontent.html

Zetazeroalfa – Nella mischia
http://www.youtube.com/watch?v=bXGlEz1T8f4&feature=related

Casapound Italia
http://www.casapounditalia.org/

JF-Interview mit der Musikerin Dee Ex ...
„Ich habe die Freiheit gewählt“
Von Moritz Schwarz
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display.154+M5cf2873145a.0.html
http://www.youtube.com/watch?v=BsN72OyUwxk&feature=PlayList&p=834B04231ED4A176&index=0
http://www.youtube.com/watch?v=3fF7IWB1u2k

Skurriles aus dem Orient ...
Vereinigte Arabische Emirate
Diplomat annulliert Ehe mit verschleierter Braut
Ein arabischer Botschafter hat unmittelbar nach seiner Hochzeit die Scheidung eingereicht, weil er sich durch den Gesichtsschleier seiner Braut getäuscht sah. Beim ersten Kuß habe er festgestellt, daß sie im Gesicht stark behaart sei und schiele, berichtete die emiratische Zeitung „Gulf News“. Vor einem Scharia-Gericht in Dubai machte der Diplomat geltend, die Familie der Braut habe seiner Mutter bei der Eheanbahnung Fotos der Schwester gezeigt.
http://www.welt.de/die-welt/vermischtes/article6343752/Diplomat-annulliert-Ehe-mit-verschleierter-Braut.html

Da es halbwegs glimpflich ausging, darf man auch hier lachen ...
Unfall in Istanbul: Kipplaster rammt Fußgängerbrücke
http://www.spiegel.de/video/video-1043411.html

vendredi, 19 février 2010

A l'assaut de l'Eurasia

A l'assaut de l'Eurasie

Au début du siècle dernier, stratèges et théoriciens Anglo Saxons définissent les impératifs pour l’Angleterre, puis l’Amérique afin de maintenir leurs positions dominantes. Très succinctement, ces puissances "navales", géographiquement isolées doivent éviter l’émergence d’un concurrent fort, surtout si celui-ci est sur le continent. L’effondrement de l’Angleterre et l’avènement des empires en Europe confirmera aux Américain l’impérieuse nécessité pour eux de ne pas s’en faire expulser du continent, mais au contraire d’y prendre position.
OilEurasia.PNGDès le milieu du siècle, la seconde guerre mondiale offre une occasion inespérée pour l’Amérique, dans une Europe affaiblie et divisée, puisque des deux rivaux continentaux (Allemagne nazie et Russie soviétique), il n’en reste qu’un. Cette lutte contre l’URSS a en fait un autre objectif : la prise de pouvoir économique par l’accès aux matières premières et aux ressources naturelles, concentrées au cœur de l’Eurasie. Pour ce faire, l’Amérique propose à l’Europe dévastée le "plan marshall" (1947) destiné à sa reconstruction. 16 états Européens, et la Turquie se partageront les fonds en créant l’OECE dont le but public était "la coordination de l’effort de reconstruction et la libéralisation du commerce et des échanges monétaires". Ce plan Marshall nous le verrons était en fait un cheval de troie, pour "infiltrer" le continent et assouvir la domination Américaine en Europe de l’ouest dans un premier temps, puis vers l’est, au fur et à mesure de l’effondrement de l’URSS. 
Pour ce faire, les stratèges Américains n’utiliseront pas la « guerre », mais des méthodes plus subversives d’entrisme et de prise de contrôle de l’intérieur. Pour ce faire de nombreuses "associations", "institutions", "fonds" ou "ONGs" vont apparaître, qui serviront à "défendre les intérêts Américains" et " promouvoir la vision Américaine du monde", notamment sur le continent. Ces associations apparaissent en trois temps : une première vague pendant le second conflit mondial (destinées à lutter contre le nazisme), une seconde pendant la guerre froide (lutte contre l’URSS) et enfin depuis la chute du mur pour étendre l’influence Américaine à l’est et de façon bien plus offensive, servir de fer de lance à de réels coups d’états (révolutions de couleur), présentés via les relais médiatiques (dont les leurs nous le verrons) comme de simples "basculements démocratiques" dans des zones du monde en "transition démocratique".
Qu’elles soient d’obédience démocrates ou républicaines, les objectifs, méthodes et modes de financements sont très similaires. Celles ci en fait compléter le travail officieux de la CIA et permettre l’installation de gouvernements aux ordres, généralement dans des zones jugées stratégiques. Il est enfin intéressant de noter que les cerveaux de ces associations sont très régulièrement d’anciens Trotskystes, reconvertis à l’Atlantisme forcené, souvent via le néo-conservatisme (america uber alles). Ces « intellectuels » viennent en fait presque tous de la gauche, radicale et ce jusqu’en 1970 date à laquelle l’évolution de l’ultra gauche contre la guerre du Vietnam heurte la perception de l’Amérique qu’ont ces enfants d’immigrants qui ont fuit l’Europe pour le nouveau continent. Ceux-ci rallieront donc dans un premier temps Reagan, puis Clinton et Bush après le 11/09. On peut traduire ce courant comme étant un : « produit de l’influente branche juive du trotskysme américain des années 30 et 40, qui a évolué en libéralisme anticommuniste des années 50 aux années 70, puis en une sorte de droite impériale et interventionniste sans précédent dans l’histoire politique ou la culture américaines. » Parmi les « noms » les plus éminents de ces anciens rebelles de gauche passés à l’interventionnisme évangélique militaire et à une vision unilatérale du monde, on peut citer Paul WolfowitzAlbert WohlstetterIrving KristolWilliam KristolDavid HorowitzMichael Ledeen,Danielle PletkaDavid FrumMichael NovakElliott AbramsRobert KaganJames WoolseyWilliam BennettZalmay KhalilzadGary SchmittNorman Podhoretz, ou encore Richard Perle.
Cette infiltration et prise de contrôle des anciens trotskystes au sein d’associations qui orientent la politique intérieure et extérieure Américaine, influent sur les politiques ou les dirigeants de la CIA voir de grandes multinationales présente une similitude avec les pays Européens, France en tête. En France en effet de nombreux « ex Trotskystes » ont des positions influentes d’intellectuels renommés (Bernard henry levy, Finkelkraut, Gluksman, Goupil, Brukner..) ou encore sont à la tête de mouvements politiques majoritaires (Kouchner, Cohen-Bendit, José Bové ..). Ces « nouveaux intellectuels » sont rangés au cœur du système et non plus dans sa périphérie et ont la faveur de nos médias nationaux, voix du « système » qu’ils étaient si prompt à critiquer. Du soutien à Mao ils sont passés au soutien à l’Amérique. Ils ont combattu les Soviétiques et applaudi la désintégration de la Russie sous Eltsine. Ils ont soutenu la révolution indépendantiste Tchétchène, même si elle était en partie dirigée par des Wahabites, se faisant l’écho des indépendantismes ethnico-religieux tant rêvés par les ennemis prométhéistes de la Russie. Fidèles à la volonté de leur maitres, ils ont religieusement soutenu la guerre de l’OTAN contre la Serbie, et soutenu les nationalismes Croates et Bosniaques, fondé sur la le sang et la religion. Ils se voudraient les guides moraux d’une république qui vient affirme sous le gouvernement Sarkozy son asservissement Atlantiste. Ils sont partisans d’une ligne « dure » contre le Kremlin et les fer de lance d’une Russophobie suintante dans nos médias nationaux. Enfin deux des plus fameux (BHL et Gluksmann) étaient les conseillers Russie des deux finalistes de la présidentielle Française, respectivement Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy.

L’après guerre …

Freedom House à été créé en 1947 pour répondre à la menace nazie et pousser l’opinion publique à l’interventionnisme dans le conflit mondial. FH soutiendra le plan Marshall en 1949 et se fera rapidement et vigoureusement l’avocat de la politique Américaine en soutenant l’action militaire en Irak, le développement de l’OTAN et en aidant les sociétés postcommunistes dans l’établissement de « médias indépendants, groupe de réflexion non gouvernementaux, et des institutions de base pour des élections politiques ». En 1982, Paul Wolfowitz et les néoconservateurs font entrer en nombre les militants trotskistes dans ces divers organismes, spécialistes de l’entrisme, les seconds défendront les premiers. En 1986, Freedom House met en place à Londres une officine de diffusion d’articles de commande dans la presse internationale via un programme financé par la CIA et lequel seront employé Vladimir Bukovsky, Adam Michnik, André Glucksmann, Jean-François Revel, et quelques autres. Les articles sont repris au Royaume-Uni dans The Daily Mail, The Daily Telegraph et The Times et dans le Wall Street Journal. En 1999, Freedom House a créé le Comité américain pour la paix en Tchétchénie (The American Committee for Peace in Chechnya - ACPC), dirigé par un trio (Zbigniew Brzezinski, Alexander Haig et Stephen J. Solarz) qui a organisé, financé et soutenu le Jihad contres les Soviétiques en Afghanistan. FH compte 120 permanents dans 12 pays (Jordanie, Ukraine, Serbie ..), dirigés par un board de directeurs composé de démocrates comme de républicains et dans lequel on retrouve à la fois l’ancien directeur de la CIA ou encore des stratèges comme Brezinski. FH affirme avoir soutenu des citoyens engagés dans des révolutions en Serbie, en Ukraine, et au Kirghizistan, mais à également œuvré en Jordanie, Algérie, Ouzbékistan et Vénézuela. FH se veut une organisation non lucrative et est financée en grande partie par le gouvernement Américain, mais également par de nombreux donateurs. FH a longtemps été présidé par le représentant démocrate du Nouveau Mexique, Bill Richardson qui cumulait ses fonctions avec celles de vice-président de l’Institut démocrate pour les Affaires internationales (NDI), aux côtés de Madeleine K. Albright. James Woolsey, l’ancien patron de la CIA et inventeur du Congrès national irakien, lui a ensuite succédé et depuis 2005 Freedom House est dirigé par Peter Ackerman (dont nous reparlerons, gardez bien ce nom en tête).
Toujours lié au plan Marshall sera créé en 1972 une institution qui porte son nom : le German Marshall Fund of the United States. Elle se développera rapidement (dès la chute du mur) en Europe de l’est, pour "contribuer" à la transition démocratique des ex-pays communistes. L’institution qui se veut indépendante et apolitique qui a pour ambition de promouvoir les relations transatlantiques, en encourageant un échange d’idées et une coopération accrue entre les États-Unis et l’Europe. 

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L’USAID , créé en 1961 sous le gouvernement Kennedy gère l’aide économique et humanitaire dans le monde. Le directeur de l’USAID est nommé par le président des états-unis et confirmé par le sénat Américain. L’USAID finance de nombreuses autres ONGs comme la NDE ou Freedom House, chargées de soutenir par des moyens légaux le travail de la CIA et notamment l’infiltration des partis politiques pro Occidentaux. L’organisation est soupçonnée de soutenir les partisans de l’Amérique à tous les niveaux (notamment politique). Un exemple ? Lorsque le Yémen a voté contre la résolution américaine d’utilisation de la force en IRAQ en 1990, l’ambassadeur des nations unies Thomas Pickering a trouvé l’ambassadeur Américain en lui disant " ce non vote va vous coûter cher". Dans les jours qui suivirent, l’aide Américaine via USAID fut coupée, le Yémen eu des problèmes avec la banque mondiale et le FMI, et 800.000 yéménites furent exclus d’Arabie Saoudite.

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En 1961 sous la coupe de Kennedy fut également créé le "corps pour la paix" et "l’alliance pour le progrès" paravent destiné à oeuvrer contre la menace communiste en Amérique du sud. L’alliance fut néanmoins un échec et disparu en 1973.

La connection Washington ?

Egalement lié au plan Marshall, la "Brookin institution" à un rôle important. L’institution connu son heure de gloire lorsqu’un de ses membres, léo pasvolsky, également membre du Conseil des Relations Etrangères (un think tank qui a pour vocation a analyser la politique mondiale et comprend plus de 4.000 membres issus du milieu des affaires, de la politique et de l’économie) contribuera dès 1942 à conseiller le président Roosevelt, notamment pour l’établissement du système de "nations unies" (il en rédigea la charte) mais également pour le fonctionnement du "plan marshall". Les experts de l’institution démontreront leur influence après le 11/09 en "témoignant devant le congrès et l’opinion publique Américaine pour réaffirmer le rôle moteur de l’Amérique à l’étranger".
En face de celle ci, de l’autre côté de massachusset avenue à Washington, se situent deux autres "institutions" intéressantes : L’institut Peterson et également la fondation Carnégie qui est une organisation non gouvernementale ainsi qu’un cercle de réflexion et d’influence global dédiée au développement de la coopération interétatique et à la promotion d’un engagement actif des États-Unis sur la scène internationale. Devenu l’un des plus riches et importants think-tanks libéraux du monde, la fondation à joué un rôle prédominant en Russie en ouvrant une filiale à Moscou en 1993 qui a conseillé l’ex président Eltsine dans le processus de privatisation de l’économie ex-soviétique, grâce à l’interface de personnalités comme Yegor Gaidar, récemment disparu. La fondation prendra ensuite position pour défendre Mikhail Khodorkovsky, qui était régulièrement orateur dans les locaux de Moscou.
Néanmoins la Brookin institution (citée plus haut) ayant été jugée très proche des démocrates, elle à son miroir de droite, libéral avec l’American Enterprise Institute (AEI) a été fondé en 1943 pour faire concurrence à la Brookin Institution (citée plus haut et été jugée très proche des démocrates, ) et a été un des architectes majeurs des politiques du gouvernement Républicain de Georges Bush. L’institution se veut défendre le "capitalisme démocratique". L’AEI a longtemps eu comme mentor Irving Kristol ancien trotskyste reconverti, fondateur s’il en est de l’idéologie néoconservatrice. Décédé en septembre dernier, son fils william kristol ayant largement repris le flambeau familial puisque fondateur de la revue néo-conservatrice "weekly standard", fut un des artisans de la réélection de G. Bush, de l’attaque de l’Irak en 2003, mais également fondeur du Projet pour un Nouveau Siècle Américain (PNAC) et membre du comité de l’American Enterprise Institute, fondé par son père. Anecdote : celui ci titrera un article "vive la France", pour se féliciter du votre contre le traité Européen, démontrant ainsi la gêne des américains face à l’émergence d’un concurrent politique et économique. L’AEI héberge dans ses locaux le PNAC fondé par Kristol serait arrêté depuis 2006 et avait pour objectif d’assurer le leadership mondial des états-unis.

Enfin dans la même zone géographique, on trouve également la Hoover Institution qui est à la base une bibliothèque financée par la fondation Rockefeller pour collecter un maximum d’archives sur l’arrivée des communistes au pouvoir en Russie. La bibliothèque deviendra un think tank formant une partie de l’élite républicaine, et recevant des fonds de divers multinationales comme Merryl linch, JP Morgan, Exxon etc etc et partageant ses directeurs avec l’AEI (ci dessus). La fondation a également sponsorisé un groupe de chercheurs 
En 1998, un groupe de chercheurs de la Hoover Institution pour former George W. Bush aux questions internationales dans sa maison d’Austin (Texas). Ce groupe comprenait de nombreuses personnalités comme Condoleezza Rice., Dick Cheney, Stephen Hadley, Donald Rumsfeld, Paul Wolfowitz et même Colin Powell. En retour, en 2001, Condoleezza Rice a été nommée conseillère de sécurité nationale et sept salariés de la Hoover Institution ont été nommés au Pentagone parmi les trente membres du Comité consultatif de politique de Défense (Defense Policy Board Advisory Committee). 

Au cœur de la guerre froide

Le New Endownment for Democracy a été créé en 1983 sous le gouvernement Reagan et son financement passe par le congrès Américain via l’USAID. Elle redistribuerait l’argent reçu du gouvernement pour moitié à ces quatre organisations qui agissent au niveau international :

* National Democratic Institute for International Affairs, lié au Parti démocrate, et présidé par l’ancienne secrétaire d’État Madeleine Albright.
* International Republican Institute, lié au Parti républicain et présidé par le sénateur John McCain, rival malheureux de George Bush aux primaires de 2000 et aujourd’hui candidat républicain à la présidence des États-Unis.
* American Center for International Labor Solidarity, fondé par l’AFL-CIO. 
* Center for International Private Enterprise, fondé par la Chambre de commerce des États-Unis.

L’autre moitié des fonds va à plusieurs centaines d’ONG réparties dans le monde. Le NED a financé ou financerait des groupes politiques luttant officiellement pour la démocratie en Europe occidentale dans les années 1980 ainsi que dans les années 2000 dans les pays de l’ex-union soviétique comme en Ukraine, ou encore dans les pays d’Asie centrale comme le Kirghizistan ou l’Ouzbékistan. La NED a développé un système d’institut satellite qui s’inspire de ce qui avait été mis en place par les États-Unis, en tant qu’armée d’occupation, en Allemagne avec la Friedrich Ebert Stiftung, la Friedrich Naumann Stiftung, la Hanns Seidel Stiftung et la Heinrich Böll Stiftung. Aussi, utiliserait-elle ces fondations comme relais financiers dans ce pays plutôt que ses propres instituts. Sur le même principe, la NED aurait trouvé des partenaires dans divers États alliés, membres de l’OTAN ou de l’ex-ANZUS, notamment : la Westminster Foundation for Democracy (Royaume-Uni), Droits et Démocratie (Canada), la Fondation Jean-Jaurès et la Fondation Robert Schuman (France), l’International Liberal Center (Suède), l’Alfred Mozer Foundation (Pays-Bas).
La NED publie le Journal of Democracy et organise des conférences avec les intellectuels qu’elle sponsoriserait (par exemple l’historien François Furet et le journaliste Jean Daniel pour la France). Celle ci forme également des cadres politiques et syndicaux, partout dans le monde, à l’exercice de la démocratie. La NDE finance et encadre actuellement plus de 6.000 organisations politiques et sociales dans le monde. Elle revendiquerait avoir entièrement créé le syndicat Solidarność en Pologne, la Charte 77 en Tchécoslovaquie et Otpor en Serbie. Ces mouvements ont animé les révolutions de couleur dans les pays concernés, ou été des meneurs dans la lutte anti-Soviétique et par défaut pro-Américaine. Le financement de ces syndicats a comme corollaire que les gouvernements qui découlent de ces renversements de régimes entraine une politique pro-US sans faille (commandes militaires de F16 malgré l’entrée dans l’UE, alignement total sur les positions de la Maison Blanche en Europe de l’Est, participation au partenariat pour la paix en 2005 pour la Serbie, collaboration avec le TPI ..) Enfin, le NED aurait été impliqué dans les campagnes de référendum et le coup d’Etat avorté d’avril 2002 contre la présidence d’ Hugo Chávez au Venezuela.
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On peut citer également l’institut Aspen , Atlantiste et dédié au "commandement éclairé, à l’appréciation d’idées et valeur éternelles, et pour un dialogue ouvert sur des thèmes actuels". En France il organise des débats avec des intellectuels Atlantistes comme le président Nicolas Sarkosy. L’institut est financé par des sociétés comme CapGémini ou encore la chaine d’information (!) Euronews.
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La Jamestown fondation a été créé par la CIA sous le règne Reagan pour mettre en scène les transfuges communistes à l’époque Reagan, elle édite des bulletins spécialisés sur le monde post-communiste et sur le terrorisme qui servent de référence aux think tanks de Washington. A la chute du mur, l’institution reprend du service via le responsable de l’époque de la CIA James Woosley et également par Zbigniew Brzezinski pour ajuster le discours guerre froide (3ième guerre mondiale) à un discours préparant une 4ième guerre mondiale. L’institution publie des bulletins informatiques notamment : 
* Chechnya Weekly : bulletin officiel de l’American Committee for Peace in Chechnya (Comité américain pour la paix en Tchétchénie) de Zbigniew Brzezinski et Alexander Haig, lequel est une filiale dela Freedom House. 
* Eurasia Daily Monitor enfin qui est la publication phare de la Fondation est devenu le quotidien de référence pour les intérêts US dans l’espace post-soviétique. Il stigmatise la Russie de Poutine et célèbre la « démocratisation » en marche des « révolutions » des roses, orange, des tulipes etc.
En réalité la Jamestown Foundation est un élément d’un dispositif plus vaste chapeauté par la Freedom House et connecté à la CIA et est en réalité devenu une agence de presse spécialisée sur les États communistes et postcommunistes et sur le terrorisme. 
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Toujours dans le domaine de la communication, la fondation héritage a également été l’un des plus actifs soutiens de la politique Reagan, axée sur le soutien aux mouvements anticommunistes notamment en Afghanistan ou en Angola. Depuis, la fondation a légèrement basculé du côté démocrate et à été listé comme l’un des think tank les plus influent du pays. Jusqu’à 2001 la fondation publiait une revue (foreign review) qui a depuis été acquis par la Fondation Hoover (voir plus haut). En 2006, la fondation a créé le Margaret Thatcher Center for Freedom pour renforcer les liens "Américano-Anglais". En 2009, la fondation a créé un "scandale" en affirmant que l’armée rouge n’avait pas "libéré" l’europe de l’est du fascisme mais instauré un nouveau totalitarisme. Cette affirmation confirme l’offensive anti-Russe en cours, passant par une révision totale de l’histoire destinée à a terme décrédibiliser tout rôle de la Russie dans l’histoire récente de l’Europe, et ce afin de "repousser" la Russie hors d’Europe, physiquement mais également dans les esprits.

Après la chute du mur

Après la chute du mur, profitant du flottement général et de l’aspiration des nouvelles nations d’Europe de l’est à intégrer l’Europe, ces diverses associations vont bien évidemment contribué à étendre l’influence Américaine en Europe centrale et de l’est, occupant le terrain abandonné par les Soviétiques. Pourtant depuis 1990 leur activité ne s’est pas arrêtée, pas plus que ne s’est arrêté l’activité de Freedom-House après la chute du régime nazi. Toutes ces fondations, institutions, ONGs ont continué à œuvrer "vers l’est", dans un "drang nach osten" sous bannière étoilée et dirigé contre la Russie, l’URSS n’étant plus. Dans cette offensive, il faut citer comme acteur phare le milliardaire Soros, qui a créé en 1993 et 1994 de nombreuses organisations trop peu connues du grand public : l’Open Society, ou encore Human Right Watch, le democracy coalition project. Ou encore l’International Crisis Group. Cette dernière a d’abord été actif en afrique, puis en ex-Yougoslavie et est aujourd’hui présidée par l’ancien président Finlandais Martti Ahtisaari, qui sera nommé par l’ONU envoyé spécial pour le Kosovo. L’ICG a dans son conseil d’administration des anciens conseillers nationaux de sécurité (Richard Allen et Zbigniew Brzezinski), on trouve le prince koweïtien Saud Nasir Al-Sabah, l’ancien procureur du Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie Louise Arbour, ou l’ancien commandeur suprême de l’OTAN pendant la guerre de Yougoslavie le général Wesley Clark. Quelques relations financières comme l’ex-président philippin Fidel Ramos ou l’oligarque russe Michail Khodorkovsky, tous membres du Carlyle Group. Figurent aussi des personnalités françaises : Simone Veil, présidente du mémorial de la Shoah, et la journaliste Christine Ockrent, épouse de l’ex-gouverneur du Kosovo Bernard Kouchner. 
Le project syndicate enfin est une agence de presse indépendante qui a racheté différents organes de presse, a financé des radios « indépendantes » (comme B92 en Serbie ou alors radio free europe) et se pose comme un des fers de lance médiatique de la guerre énergétique contre la Russie et cela depuis de longues années. Il est enfin à noter que les organisations de Soros ont été expulsées de Russie fin 2003 et qu’en 2006 un réseau d’espionnage anglo saxon a été démantelé en Russie, dans lequel les agents étaient liés à des organisations étrangères, l’Open Society ayant été impliqué dans l’affaire.

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Nous reviendrons dans un prochain article sur les implications de ces diverses associations dans les révolutions de couleurs et notamment sur le trio : « freedom house » « réseau soros » et « albert einstein institute » dans l’organisation des révolutions de couleurs, ces coups d’états démocratiques destinés à « placer » des gouvernements aux ordres du Pentagone, et ce afin de servir de tête de pont pour l’Amérique dans sa lutte contre la Russie.
Enfin, pour terminer cette étude sur l’agression larvée permanente (toujours basée sur des principes trostkystes de « révolution permanente »), nous nous intéresserons à la pénétration du lobby Américain dans la scène politico-médiatique Française et la conséquence pratique pour la France : servir de tête de pont à l’Amérique, au même niveau qu’une Géorgie ou qu’une Serbie renversée militairement ou par une révolution de couleur.

Du prométhéisme au Heartland

brzez.jpgL’histoire du mouvement prométhéen remonte au début du siècle, lorsque des responsables de « républiques Russes », notamment musulmanes se concertent afin de discuter leur "indépendance". Au début du siècle, lors de ces premiers congrès, deux lignes s’opposent, les partisans d’un nationalisme territorial et les partisans d’une union panturque (le rôle d’intellectuel Turc appelant à la réunification panturque étant relativement importante au sein de ce mouvement). Rapidement, ces questions d’indépendance gagneront les républiques non musulmanes de Russie, notamment dans le Caucase. 
Au sein de cette ligne, l’Ukraine jouera un rôle fondamental, en effet les idées prométhéennes se développent rapidement dans l’entourage du président Petlioura et l’Ukraine enverra même une mission en Géorgie négocier avec le Khanat de Kokand (Turkestan Russe, aujourd’hui Ouzbékistan et dirigé à l’époque par Mustafa Tchokay). Le but de ces "indépendantistes" étaient de s’attirer les grâces des démocraties Occidentales et à ce titre un "appel" fut lancé dans au congrès de Versailles, supposé promouvoir l’émergence des nations. Les Bolcheviques ne laissant guère de place à de quelconques volontés indépendantistes, en 1922, les principaux responsables politiques indépendantistes (Ukrainiens, Georgiens, Bashkirs, Tatars, Azéris ...) s’exilent dans deux directions différentes :
- Une première vague vers Istanbul, mais en lien avec les pays d’Europe de l’ouest. Cette relocalisation forcée contribuera à développer la "conscience Turque" au sein du mouvement Prométhéen mais le discréditera en le diluant dans un rêve expansionniste panturque, nationaliste et impérialiste et jugé peu crédible par les Européens (sur les décombres de l’empire Ottoman) ni par les Bolcheviques.
- Une seconde vague émigre en Europe (ce sera le cas de Tchokay) notamment en France et en Allemagne. Des réseaux se créeront entre Georgiens, Ukrainiens, Russes blancs exilés et de nombreux Azéris. La France est déjà qualifié à cette époque par le Bachkir Zeki Velidov de "centre de combat Turco-musulman" (!) contre la Russie.
En 1924, à Berlin, une rencontre à lieu entre Velidov et un officiel Polonais (Stempovsky) qui lui explique l’idée de la Pologne de lancer un mouvement des "indigènes" de Russie et d’aider ces peuples à obtenir leur indépendance. Les liens entre ces deux personnages datent de la guerre Russo-Polonaise de 1921 durant laquelle la Pologne a engagé de nombreux soldats musulmans des républiques de Russie afin de lutter contre l’armée rouge. 
En 1926, Petlioura est assassiné et c’est Pilsudksi qui prend le pouvoir en Pologne et se fera le chantre de la protection des "peuples" contre l’URSS. La même année, Veki Selidov repart en Turquie apporter son soutien au mouvement prométhéen à Istanbul.
La revue Prométhée se développera dès lors dans de nombreux pays (France, Allemagne, Angleterre, Tchécoslovaquie, Pologne, Turquie, Roumanie..) mais la montée du nazisme en Allemagne rend l’anti-communisme (pierre angulaire du prométhéisme) caduque et cet argument n’est désormais plus repris que par l’extrême droite Européenne. Jusqu’à 1938, le mouvement prométhéen est dirigé par le Georgien Gvazawa et les colonnes de la revues publient des articles de partisans d’Hitler ou de Doriot en France ... Le mouvement semble totalement au mains des fascistes Européens jusqu’en 1938 ou l’Ukrainien Alexandre Choulguine prend les commandes du mouvement, et de la revue. Après le pacte Germano-Soviétique le mouvement se déclare ’anti nazi et anti soviétique’ et les prométhéens se rangeront du côté de l’Angleterre et de la Pologne, contre l’Allemagne et l’URSS.
Dès lors le mouvement bénéficiera de soutiens forts en Pologne (soutien financier) et en France (comité France-orient) sous le parrainage du président du sénat Paul Doumer. Le principal projet sera la création de cette fédération du Caucase (sur le modèle helvétique) mais qui n’aboutira pas, la SDN reconnaissant finalement les frontières de l’URSS, et surtout les tenants de ce prométhéisme se révélant incapables d’unité contre un double front (blanc et rouge) ni même de solidarité.
En 1939, la perte de la Pologne fut un choc pour le mouvement qui fut rapidement happé par l’Allemagne et le gouvernement de Hitler qui dans une logique "post pacte Molotov-Ribbentrop", les stratèges nazis envisageant très bien un éventuel morcellement de l’URSS en petites entités, plus faciles à contrôler, dominer, ou à vaincre militairement. Les Allemands créeront notamment une légion Turkestan constituée de Tatars et Turkestanais mais celle-ci échouera, tout comme l’offensive Allemande à l’est.
A la fin de la guerre, l’URSS est plus forte que jamais et les Prométhéens se tournent vers l’Amérique avec la création d’une "ligue prométhéenne de la charte de l’Atlantique". Le mouvement deviendra un élément au main de la CIA et de lutte contre l’URSS en pleine guerre froide via la création d’organisations tel que " l’institute for the study of URSS" ou " l’american comitee for liberation of bolchevism" (lire à ce sujet la manipulation des mouvements nationalistes Ukrainiens par la CIA à cette époque).
La grande confusion idéologique qui ressort de cette période amènera au développement d’une ligne "prométhéenne" qui se définira par défaut comme "antirusse
Cette analyse d’un mouvement peu connu du grand public doit nous amener à quelques réflexions essentielles pour une bonne compréhension des évènements géopolitiques récents.
Réflexions sur les morcellements territoriaux 


Tout d’abord le projet fondé sur le nationalisme ethnico-régional est un projet "contre" la stabilité de la fédération, c’est le projet de son démembrement et de son éclatement en entités de petites tailles, facilement contrôlables et dominables. Cette tactique que les Polonais et les Allemands souhaitaient appliquer contre la Russie (ou plutôt l’URSS à l’époque) et est très curieusement la "même" tactique qui a été appliqué par l’Amérique et Bruxelles pour l’intégration dans l’Union Européenne et l’OTAN : éclatement de la Tchécoslovaquie, éclatement de la Yougoslavie, demain éclatement probable de l’Ukraine ?
Encore plus curieux pour un novice c’est également le but avoué de certains stratèges militaires anglo-saxons : l’éclatement de la Russie en 3 entités (russo-européenne, centro-sibérienne et extrême orientale), tel qu’expliqué dans le livre le grand échiquier de Zbigniew Brezinski, car la Russie serait : "le seul pays à ne pas avoir été occupé ni soumis à la rééducation politique des vainqueurs". 
En parallèle à cette évolution souhaitée mais inachevée contre la Russie, regardons l’évolution en Europe :
- La première guerre mondiale à achevé l’ère des empires et affirmé l’ère des nations en Europe, notamment via la Société des nations (ancêtre de l’ONU) alors sous patronage Américain, et bien que l’Amérique n’en fit "jamais" partie.
- Le second conflit mondial entérine le processus de perte d’autonomie de ces mêmes nations et ouvre la voie à une hyper-intégration supranationale (du traité de Paris au traité de Lisbonne) tout en favorisant à l’émergence des régions (niveau infranational).
- La fin de la guerre froide entraîne l’extension de cette hyper structure Européenne à l’Europe centrale (2004) et l’Europe de l’est (2007), en morcelant les entités réfractaires (Tchécoslovaquie, Yougoslavie, Ukraine demain ?).
Il serait peut être bon de se demander si le processus de morcellement et de perte d’autonomie de chaque sous entité au sein du territoire Européen est bien comme l’on nous le répète une étape inévitable de l’intégration euro-européenne « ou bien » si au contraire il s’agit d’un processus voulu, souhaité et mis en œuvre afin d’éviter que l’Europe ne devienne une zone du monde autonome, souveraine et capable de volonté politique ainsi que d’indépendance économique et militaire. 
L’idée en vogue (notamment chez les centristes radicaux et les écologistes européens) de renforcement des prérogatives des régions est hautement suspect précisément dans le cas européen ou l’entité comprenant ces régions n’est elle même dotée d’aucune souveraineté réelle. Doit on rappeler que ceux la sont les soutiens inconditionnels de l’Amérique et de l’OTAN et les piliers de la Russophobie qui frappe la planète politique et médiatique Française et Européenne ?


La politique Américaine et la division de l’Europe


Ensuite, l’histoire nous apprend que les voisins proches de la Russie ont souvent été en conflit avec elles et visiblement les complots ne sont pas que d’un côté, pour preuve l’alliance à l’échelle turco-européenne pour "découper la Russie", projet repris par les Allemands lors du second conflit mondial, puis pendant la guerre froide et depuis par les Etats-Unis.
Cet évènement n’est pas anodin et est à mettre en lien avec trois choses :
- Le rôle éminent des Américains dans la déstabilisation politique et militaire de l’Europe (révolutions de couleurs) et de la "Russie" (co-participations à des opérations militaires en Tchétchénie et en Géorgie ..)
- L’analyse Américaine d’une Europe de nouveau divisée entre une "vieille Europe" et une "Nouvelle Europe" n’est en effet pas satisfaisante ni facteur d’apaisement et contribue à asseoir dans l’opinion l’idée que l’Europe n’est pas unie. En réalité cette nouvelle Europe est un ensemble regroupant les nations les plus hostiles à la Russie, de la Pologne aux états Baltes, et la nouvelle vague d’entrant dans la communauté transatlantique et au sein de l’OTAN- Bien plus qu’au sein de l’Europe.
- Le but Américain inavoué est d’utiliser ce territoire de la nouvelle Europe (plus proche de la frontière Russe) pour y installer des bases militaires et des rampes de missile, comme il l’ont fait en Serbie (Bondsteel) et projetaient de le faire en Pologne.. 
Cet objectif fait partie d’un plan plus large dans lequel le contrôle des frontières Russes est essentiel pour maitriser les futurs zones énergétiques mondiales, des frontières Européennes (bondsteel en Serbie, contrôle des mer noire et baltique) au Caucase (Géorgie, bataille des projets de gazoducs ..) et Asie centrale (contrôle du Kirgystan et de l’Afghanistan et donc de la route de la soie).
La prise de contrôle de territoires passe par la prise de contrôle des peuples
L’histoire du mouvement prométhéen est également instructive en ce sens qu’elle témoigne parfaitement de l’objectif ultime que les Américains se sont fixés, à savoir affaiblir la Russie et utiliser les réseaux et les systèmes de lobbies pour affaiblir leur adversaire. Après l’effondrement de la puissance navale anglaise le 20ième siècle voit la montée en force de la puissance Américaine qui s’immisce désormais dans les affaires continentales alors que c’était l’inverse avant.
A la fin de la guerre civile Européenne donc, l’Europe est divisée en deux et les Américains ont parfaitement saisi l’importance capitale de rester dans la course pour maitriser le monde et de vaincre leur ennemi unique : l’union soviétique. Pour cela il faut avant tout contrôler l’espace géographique essentiel que représente le Heartland et que les stratèges anglo-saxons (issus d’école de pensée d’états non continentaux rappelons le) ont théorisés comme étant la clef pour ne pas être isolés des affaires du monde.
La confrontation militaire n’étant que peu réalisable, et les Européens pouvant être insoumis (l’exemple de De Gaulle étant le plus parlant), les américains ont parfaitement compris le rôle de la prise de pouvoir politique par tous les moyens et notamment le reformatage des esprits. Nous ne rentrerons pas dans les détails "mais" indiquerons que cette conspiration Prométhéene a été aspirée et utilisée par la CIA à la fin de la guerre via des ONGs destinées à lutter contre l’URSS ...


Pour la première fois dans notre histoire commune, Polonais, Ukrainiens, Géorgiens, Azéris vont servir les intérêts Américains et être utilisés comme fusible dans le plan géopolitique de maitrise de l’Eurasie. L’échec "provisoire ?" du mouvement prométhéen en tous les cas n’a absolument pas signifié l’arrêt de l’agression Américaine contre l’Europe et le vieux continent.

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Sources :